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Domaine Roustan

Domaine Roustan – La Fare les Oliviers
Osez aller fêter la vigne et l’olivier
12 novembre

Le Domaine Roustan, domaine familial situé au cœur du village provençal de La Fare les Oliviers, organise le 12 novembre 2023 un grand événement au sein de son domaine.
Au programme : jeux, dégustations, danses, cueillette, et encore beaucoup d’autres surprises !!
L’occasion pour petits et grands de s’amuser et de découvrir les mystères de la fabrication du vin et de l’huile d’olive au cœur de notre belle culture provençale.

Un village en fête
La Fare les Oliviers, petit village typiquement provençal, sera en fête le 12 novembre au domaine Roustan.
Un Domaine familial imprégné d’histoire, ouvrira ses portes de 9h à 17h pour une expérience unique ouverte à tous.

Visite découverte
Les visiteurs, guidés par Sylvaine Roustan elle-même, auront la chance rare d’explorer les secrets de la vinification et de la production d’huile d’olive au cœur même de ce domaine séculaire. Ils pourront même contribuer à ce processus de fabrication lors de la cueillette aux olives, dans la plus pure tradition provençale.

Et aussi des animations.
La journée sera animée d’ateliers et jeux variés : fabrication de produits provençaux (aïoli, tapenade…), dégustations à l’aveugle, quizz, conférences.
L’Association des Compagnons de l’Olivier (ACOPA) co-organise cette journée.
Sa présidente, Jacqueline RIAS, et plusieurs bénévoles, animeront différents ateliers.
La célébration de la culture provençale ne serait pas complète sans l’authentique groupe de danse provençale, Lei Dindouleto dou Roucas, de Vitrolles, qui vous fera découvrir les danses traditionnelles de la région.

Un dimanche festif et culturel à ne pas manquer
Ce programme familial garantira aux visiteurs de tout âge, amusement et découverte.
L’entrée à cet événement est gratuite, mais nous vous recommandons vivement de vous inscrire à l’avance pour que nous puissions anticiper le nombre de visiteurs.
Il sera possible à midi de se restaurer sur place avec participation aux frais.

Domaine Roustan
30 avenue Louis Pasteur
13580 La Fare les Oliviers
06.63.61.11.86
contact@domaineroustan.fr

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Musée du vin

Un véritable lifting pour la Renaissance de ce lieu mythique et historique rebaptisé :
 « Le M. Musée du vin ».
Repris en février 2023 par une nouvelle génération d’entrepreneurs, amis passionnés par le monde du vin, l’amour des choses de l’art et des belles choses. Olivier Chandés, chef de la « bande » dirige le M.

7 mois de travaux pour rendre à ces 1200M2 une deuxième jeunesse, une nouvelle vie et y créer un nouveau concept.
Le M. Musée du vin devint un lieu culturel à part entière, tout y est possible : dégustations, certes, cours d’œnologie, restauration, expos temporaires, une boutique-épicerie fine, des événements les vendredis soir pour retrouver le rythme festif aux nuits parisiennes.

Le M. Musée du vin
Aussi bizarre que cela puisse paraître les caves du musée du vin se trouvent dans la rue des Eaux à Passy depuis le XIVe. Ces caves voûtées abritaient au moyen âge des carrières de calcaire creusées dans la roche sous la colline de Passy.
 
Au XIVe siècle, les moines franciscains de l’ordre des Minimes feront construire un monastère le long de l’actuelle rue Beethoven. 
Entouré de jardins, de vergers et de vignes, ils y produiront un joli vin clairet entreposé dans les anciennes carrières transformées en galeries.
Longues de 7km, ces galeries allaient jusqu’à Neuilly, Balzac qui habitait au-dessus de l’actuel Musée du Vin sous un nom d’emprunt, poursuivi par ses créanciers, s’échappait bien souvent par ces couloirs souterrains.
De nombreux crus furent conservés pendant des décennies dans ces caves.
Le couvent fut désaffecté à la Révolution et l’ensemble de ses bâtiments détruits sauf les celliers qui conservaient de bons crus ! Réhabilité après 1950, ils servirent un temps de caves au restaurant de la tour Eiffel avant de se métamorphoser en Musée du Vin en 1984.
Le Conseil des Échansons de France (confrérie bachique regroupant des amateurs-puristes du vin) en furent les propriétaires jusqu’en 2023.

Une restauration inspirée
Les chefs R.Labiadh et M.Ranger aux fourneaux du M., concoctent une cuisine traditionnelle française, généreuse, inspirée du terroir et composée de produits de saison, la carte se renouvelle tous les mois. Parmi les spécialités du M., le foie gras mi-cuit et son succulent chutney, le confit d’agneau et ses pommes grenailles confites. Le M. dévoile une très large sélection de vins pour accompagner chaque plat, experts et sommeliers du M guident les clients dans leurs choix avec une carte de plus de 200 références.
Parmi les vins au verre du moment, un chablis du Domaine Jean-Paul et Benoît Droin 2022, un Touraine-Chenonceaux, Les Souterrains 2021, un Crozes-Hermitage, cave de Tain 2021, un Touraine, Robert de Courtenay 2016, un Gaillac du Château Labastidié 2015…
  
Des menus accessibles, 30€ pour une entrée ou dessert et un plat.
Le menu Bacchus propose la découverte de 3 vins en accord avec les mets (entrée/plat, sélection de 3 fromages et dessert).
Le restaurant est ouvert le midi du mardi au samedi sur réservation et le vendredi soir sur réservation pour des soirées festives.

Des espaces dédiés
Il faut absolument aller découvrir le M. Musée du vin. Le « Bar Marilyn » qui, à lui tout seul est toute une histoire, les salles de dégustations, le fumoir et … un lieu exceptionnel pour les événements. Exceptionnel parce que conçu comme un appartement de l’hôtel particulier, la salle de réunion, et … une master suite pour les week-end œnologique avec son salon, son bar… tout pour accueillir 4 convives ou organiser des soirées privées pour 25 personnes.

Un lieu très réussi et une belle renaissance.


Infos pratiques
Le M. Musée du vin
5 Square Charles Dickens
75016 Paris
Métro Passy

Ouvert au public : mardi au samedi de 10h à 18h
Soirées du vendredi jusqu’à 1h.

Crédit Photos : JCR Paris
Crédit Photos Le M.L’Appartement : Brice Normand & JCR Paris
 
 Contact presse :
Agnès de Montenon 
 agnes@airpresse.com 
Tel : 06.12.70.50.23

www.lemparis.com
www.mondesign.com
www.5bevent.com

 

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Château de Boussac

Cannes en stock au château de Boussac (Creuse)

Le château de Boussac est un lieu à découvrir à en toutes saisons : L’été, les visites mettent l’accent sur le domaine apprécié par George Sand qui y avait ses appartements. On en parcourt les pièces, de cuisine en salons, de vestibules en salles à manger, de boudoirs en chapelles, comme autant de cabinet de curiosités, chargés d’histoires et d’objets hétéroclites. Si l’accès est plus restreint en basse saison, il est toutefois loisible de profiter d’expositions permanentes en toutes circonstances sur rendez-vous.

Lurçat et Dom Robert, maîtres de la tapisserie « moderne »
La propriétaire des lieux, Bénédicte Blondeau a réuni une collection d’œuvres monumentales des deux artistes qu’elle expose fièrement dans l’entrée et une salle aménagée au premier étage. La mise en valeur de ces tentures fait l’écho aux très nombreuses tapisseries qui décorent les chambres du château de Boussac. On ressent l’attachement de la châtelaine à ces pièces uniques et tout particulièrement à la tapisserie « Liberté » de Lurçat, symbolique d’une renaissance.

Les cannes en plus et sans décodeur !
La curiosité des curiosités se trouve également au premier étage, tout au fond de la salle d’exposition de tapisseries. Jugez donc ! Plus de 200 cannes sont présentées, démontrant toute la fantaisie de leurs créateurs au cours des siècles. Un véritable parcours dans les us et coutumes de chaque époque à travers leur usage : On y trouve des cannes « pratiques », utiles pour se déplacer, se poser…, faites de bois solide ou d’osier fragile, tressées ou ciselées, ornées de pièces d’ivoire, de métal ou d’autres matières « précieuses », ouvragées à dessein, décorées de corps ou de têtes d’animaux, de drôles de volatiles, d’animaux domestiques et de compagnie. On y trouve aussi des cannes « surprises » cachant des épées, des scies, des pointes, des plumes selon… l’office, l’envie (le délire…) et la destination de l’objet.
Alors, venez à Boussac, venez au château… Yes, you cannes !

   

Plus d’informations sur le Château de Boussac
Château de Boussac : ouvert tous les jours de Pâques à La Toussaint .
Du lundi au vendredi 9h/12h – 14h/18H
RDV recommandé.
 chateaudeboussac@orange.fr
06 08 43 38 36.
https://www.chateaudeboussac.com/
https://www.tourisme-creuse.com/offres/chateau-de-boussac-boussac-fr-2312763/

Accès par la N145 sortie 45 (Jarnages) ou échangeur 43 (Gouzon).
Depuis Aubusson, prendre direction Gouzon.
Pour toute question à propos de l’accessibilité : +33 (0)5 55 65 07 62
 chateaudeboussac@orange.fr

Château de Boussac :
23600 Boussac.
 www.chateaudeboussac.com
Plus d’informations sur https://www.chateaudeboussac.com/ et https://www.tourisme-creuse.com/offres/chateau-de-boussac-boussac-fr-2312763/

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Osez la Bretagne en hiver

Osez la Bretagne en hiver

Ses éléments naturels spontanés. Son univers sonore. Ses city trips urbains. Ses expériences gastronomiques réconfortantes. Ses refuges-cocons. Ses étendues à perte de vue. Ses grands-écarts culturels.
De novembre à mars, en Bretagne on garde ses sens en éveil.

Voilà au moins 6 bonnes raisons d’Oser la Bretagne en hiver :

1. Plonger dans les temples du bien-être  
Faire le plein d’énergie et de minéraux version iodée ou chlorophyllée. A Ouessant, on mise sur la méditation en pleine conscience au Sport Ouessant & Spa, inspiré de l’architecture traditionnelle ouessantine. A l’hôtel restaurant & spa La Butte à Plouider, cours de yin yoga, pratique méditative et cours de Hatha yoga le tout dans un confort absolu. A 15 mn de Lorient au Manoir des Eperviers, on remet les compteurs à zéro avec une cure détox où se mêlent étirements, sophrologie, massage et méditation. Au Sofitel Quiberon, on craque pour son offre brunch & spa, le suivi Thalasso à la maison ou ses nouveaux modelages « au bonheur du ventre ». A Roz Marine à Perros Guirec, on mise sur l’immersion Terre & Mer aux bienfaits marins « in & out » : longe-côte, marche nordique « revisitée » et apnée statique complétés par des bains hydromassants, enveloppement d’algues et de boues bretonnes. 

2. Grandes marées, couleurs glaz et grands espaces
 On plonge dans un nuancier qui n’existe nulle part ailleurs et dont la traduction n’a pas d’équivalent en français. Du bleu profond, du vert et du gris. Jamais à bout de souffle?: les éléments bretons promettent de l’iode, des expériences ventées, des grandes marées et des tempêtes d’écume. Et pour vivre les grandes marées direction l’île éphémère Callot en Baie de Morlaix pour s’adonner à la pêche à pied, à Saint-Malo pour voir l’un des plus grands marnages de France cerner les remparts, aux dunes de Keremma pour voir le chaos granitique partiellement sous l’eau, à Ploubazlanec sur la Côte de Granit Rose pour voir l’archipel de Bréhat saisi par les vagues, à Saint-Cast-le-Guildo pour voir la culture du bouchot et des parcs à huîtres à découvert puis enchainer sur une session dégustation. Clapotis, effervescence des fous de Bassan, embruns… territoire sensoriel jusqu’au bout des oreilles. Pour embrasser l’horizon seul au monde, direction les parcs naturels de Bretagne?: le Golfe du Morbihan, les marais de Brière, le territoire d’Armorique ou encore la mer d’Iroise abritant l’une des eaux les plus pures du monde. Immersion dans de grandes étendues de sables, des prairies bocagères entre phoques, dauphins et oiseaux migrateurs. Plutôt panorama de dunes?? Le grand site Gâvres-Quiberon, le plus vaste massif dunaire de Bretagne, offre un paysage océanique et sauvage. En contreplongée dans des espaces ultra-chlorophyllés, le lac de Guerlédan, le plus grand de Bretagne, zoome sur des paysages vallonnés, des forêts et des landes. Du côté de la Presqu’île de Crozon, on embarque sur un bout de terre entre la rade de Brest et la baie de Douarnenez pour des randos comme à l’assaut d’un Nouveau Monde !

3. Ouvrir la porte sur le monde de la gastronomie bretonne
  Le territoire fourmille d’expériences de goûts?: qu’il s’agisse de se lancer dans des food tours, des déambulations culinaires urbaines, de dormir chez un chef étoilé, d’apprendre à faire sa crêpe chez Œuf néo-crêperie rennaise ou de se délecter de dégustations chez des ostréiculteurs ou mytiliculteurs. On fouine du côté des producteurs comme à la ferme La Froment du Leon pour son beurre que l’on retrouve sur des tables étoilées ou pour déguster du thé breton à Filleule des Fées. On piste le nectar breton. Le sarrasin, l’or de la Bretagne a tout bon sous toutes ses formes?: chips, boissons, gâteaux bretons, confitures ou chocolat.
 Les algues s’offrent en cueillette sur l’estran, en boisson ou chez certains récoltants comme Begood Alg’ qui les récolte à la main. Et pour se réconforter face aux frimas hivernaux, on déguste du Kouign Amman à Douarnenez, berceau de cet emblème de la gourmandise bretonne. 

4. Savoir-faire et délits d’initié
Des biscuiteries, du maritime, du portuaire, de l’ostréiculture, de la cosméto, en passant par l’artisanat au textile marin et à la mode, on explore la création néo-bretonne et ses coulisses et on rencontre des passionnés qui retwistent les codes bretons. A Dinan, chez Adrian Colin, meilleur ouvrier de France, on s’initie aux techniques de soufflage. A Plédéliac, on plonge dans l’univers d’un coutelier chez les Lames de K pour fabriquer son couteau de marin. On peut apprendre à faire son bol breton dans le Golfe du Morbihan. Chez l’artisan confiseur Maison Guella, on découvrir les secrets de fabrication des gâteaux bretons. A moins que l’on ne préfère plonger dans les coulisses de l’iconique caban chez Dalmard Marine.

5. (Ur)bains pulsés
On mixe art urbain, shopping défricheur et festivals vibrants… A Rennes, le temps d’un week-end, on carbure à la culture urbaine. Pour s’immerger on teste une visite
guidée en version slam, où l’on se laisse entrainer du street art à l’Art Déco. En novembre, le festival Yaouank, immense festival de culture bretonne fait voltiger comme nul autre les traditions avec comme point d’orgue un fest-noz, le plus grand de Bretagne ! Pour dénicher les tendances musicales de demain, direction Les Transmusicales en décembre. On profite de ces immersions urbaines pour pister les sites historiques reconvertis en spots trendys (anciens chantiers navals, hôpitaux ou prison).
A Lorient, au bord de la mer, galeries éphémères, et gastronomie, la ville assume sa « coolitude ». On ne manque pas Lorient La base, l’ancienne base de sous-marins réhabilitée et qui abrite bars et boutiques colorées, mais aussi la fascinante et immersive Cité de la Voile Eric Tarbaly. On ne manque pas non plus le Festival Les IndisciplinéEs en novembre. Des concerts dans un bunker…. 10 jours pour découvrir des groupes émergents de la scène européenne et française.
A Brest, au cœur de l’une des plus belles rades de France, la ville mêle modernisme, néoclassicisme, Art Nouveau, Art Déco. Les quais s’improvisent sentiers de promenade dans la ville. A hauteur d’albatros, on découvre la ville depuis le téléphérique. On file ensuite en immersion au plateau des Capucins, dans les anciens ateliers destinés à la construction navale réhabilités en espace de travail et en lieux d’arts. En décembre, le Festival No Border autour des musiques du monde, met Brest, la métropole océane en émoi.

6. Oser s’aventurer au sport d’hiver maritime ! 
On file to schuss à la mer ! Grand bol d’air pur assuré. On teste le Ice Swimming à Plouha, une nage en pleine mer et sans combi. Islandais, Russes, Finlandais sont accros. Sur la Côte des Abers, on part à l’assaut de l’Aber Wrac’h et l’Aber Benoît, fjords bretons. Voir le phare de l’Ile Vierge depuis l’eau, c’est renversant. Pour faire sa thalasso en pleine mer, on mise sur la marche aquatique?: on enfile sa combinaison, ses chaussons en néoprène pour garder les pieds au chaud. On se laisse masser par l’eau sur la Riviera Bretonne à Cap-Coz, à Saint-Lunaire ou aux abords de la plage de Trestaou face à l’Archipel des 7 îles. Char à cerf-volant, char à voile ou kite surf font planer les plus sportifs pour allier vent et mer. Quel que soit le sport, on en sort avec les idées claires, re-boostés pour l’hiver ! 

Plus d’information sur : tourismebretagne.com |   
 Infos presse sur : pro.tourismebretagne.bzh |

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Un hiver blanc au sommet

Un hiver blanc au sommet

Suivre les traces du loup dans le Vercors, jouer au trappeur canadien dans l’Aubrac ou remonter le temps au cœur d’une vallée secrète du Briançonnais… La montagne s’explore ici en pente douce, à l’écart des grandes stations de ski. Dépaysement garanti, déconnexion assurée.
L’immensité des espaces neigeux, cotonneux, silencieux où l’on ne se bouscule ni sur les pistes ni aux remontées mécaniques…… un vrai plaisir.

Au pays du loup : Le Vercors
3 jours pour pister le loup avec un guide naturaliste dans une vallée sauvage bordant les hauts plateaux du Vercors. Paisible et peu fréquentée, le loup en a fait son habitat permanent. Au cours de sorties en raquettes, les randonneurs observent ses traces et ses habitudes avant de regagner le Refuge de la ferme d’Esparron, un lieu magique, non gardé.
«Les loups des hauts plateaux du Vercors», à partir de 490 €. Accessible en train.
Durée : 4 jours. Prochain départ le 29/12/2023.

Combo raquettes & bien-être dans le Briançonnais
Depuis les alpages jusqu’aux forêts de pins et de mélèzes, les voyageurs arpentent en raquettes l’authentique vallée de Cervières et ses hameaux d’estive. En fin de journée, place à la détente aux incontournables Grands Bains de Monêtier ou dans l’espace bien-être du chalet en bois, entièrement privatisé pour le groupe.
«Cervières, la perle du Briançonnais en raquettes». A partir de 860 €. Accessible en train de nuit. Durée : 7 jours. Prochain départ le 07/01/2024

L’Aubrac, dans la peau d’un trappeur en famille
Cet hiver, l’Aubrac enneigé devient un immense terrain de jeu pour les familles. Au programme : construction d’igloo, recherche de traces d’animaux dans la neige, sorties en raquettes, initiation à la conduite d’attelage, soirée au coin du feu dans un buron traditionnel… Une vraie aventure pour partager avec ses enfants le goût de l’exploration.
«Aventures hivernales sur le plateau de l’Aubrac», à partir de 790 €. Durée : 6 jours. Prochain départ le 24/12/2023.

Terre d’aventures
Le spécialiste et Le leader du voyage insolite, original, à pied depuis plus de 45 ans, reconnu pour son savoir-faire et sa connaissance très pointue de la randonnée.
Depuis 1976, Terre d’Aventure fait voyager et rêver 40 000 personnes chaque année dans plus de 120 pays, des vents glacés du Grand Nord aux chaleurs du désert. Terres d’Aventure calcule les émissions carbone de tous ses voyages, résolument tournés vers l’exploration et la rencontre de l’autre, les réduit au maximum et participe à l’absorption de 100% du reliquat. www.terdav.com

Contacts : Agence Le Burô
Camille Tomasi
camille@leburo-rp.com
06 59 43 55 20
Pauline Gonnin-Meilleur
07 65 22 17 09
pauline@leburo-rp.com
Marianne Furlani
mfurlani@terdav.com
01 58 71 15 64

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Georges Hugo

Exposition :
10 Novembre 2023 / 10 Mars 2024
Vernissage jeudi 9 novembre
9h30 / 13h.
Dilettante de grand talent, Georges Hugo fut le chroniqueur proustien de son époque. Immortalisé aussi dans l’œuvre de son Victor Hugo « L’art d’être Grand-Père », est le premier peintre de la lignée familiale.
Cette exposition s’inscrit dans une double logique de programmation : présenter une série de monographies de peintres liés d’une façon ou d’une autre à Victor Hugo et illustrer la mémoire artistique familiale.
Georges Hugo, fils de famille, il fera son service militaire comme simple matelot. Pour autant Georges Hugo était un homme raffiné, esthète, mondain et ardent patriote. Quinquagénaire il s’engagera en 1914 comme agent de liaison.
UN homme plein de paradoxe à la fois timide, séducteur, flamboyant et mélancolique. Petit-fils unique de Victor Hugo qu’il appelait « Papapa » et à qui il sera fidèle toute sa vie à sa mémoire et à l’amour de l’art.
Cet artiste fait partie des peintres sans atelier, posant leur chevalet dans un salon ou sur le pont d’un navire. On ne sait pas toujours où, ni surtout quand il a peint. Son langage de prédilection est le dessin. Un carnet à la main, il consignait sa vie et son monde d’un trait rapide en usant de son esprit vif et de son œil acéré. Il dépeignait les scènes de cafés où il passait l’essentiel de son temps, les scènes de spectacles qu’il aimait fréquenter, celles du front dont il voulait témoigner, les représentations d’homme et de femme dont il traquait la cocasserie ou l’élégance, ou portraiturait ses proches.
 C’est la première exposition monographique consacrée à son œuvre.
 
La Maison de Victor Hugo créée par Paul Meurice à l’occasion du centenaire de Victor Hugo en 1902 n’aurait pu voir le jour sans le soutien de la famille Hugo et particulièrement celui de Georges Hugo, qui fit des donations successives afin de constituer le fonds initial du musée d’environ 600 œuvres.
 
 
Maison Victor Hugo
6 Place des Vosges
75004 Paris
maisonsvictorhugo.paris.fr
01 42 72 10 16
 
Accès :
M1 Bastille Saint PaulBus 20, 29, 65

Vélib : 27 BD Beaumarchais.