Catégorie : Journalistes

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Ferme florale Paris

Ferme florale urbaine

Ferme Florale Urbaine, une entreprise de l’ESS créée en mai 2019 par deux jardiniers passionnés formés à l’Ecole du Breuil.
Notre premier site est né en mai 2019 à la Porte des Lilas, sur les terrasses de l’Hôpital Robert Debré, dans le cadre de l’appel à projet Parisculteurs initié par la Mairie de Paris. Nous louons à l’APHP un espace jusqu’ici inoccupé pour y cultiver des fleurs, en créant ainsi une activité insolite dans l’hôpital. 
Aujourd’hui, 85% des fleurs vendues en France sont importées, souvent de très loin, avec un bilan carbone déplorable. De plus, la filière horticole est souvent opaque sur ses pratiques : usage de pesticides et engrais chimiques, régulateurs de croissance, conservateurs, serres chauffées au fioul, circuit froid énergivore, … 
Notre rêve : retrouver des fleurs coupées porteuses de rêve et de sens, en développant un modèle de micro-ferme urbaine horticole, viable et réplicable. 
Ainsi, nos fleurs sont zéro-carbone, cultivées à la main, sans aucun produits chimiques et livrées à vélo.
Plein Air est la première ferme florale urbaine de Paris, située au pied du réservoir de Belleville, derrière le cimetière de Belleville. 1200m2, mis à disposition en 2017 par la Mairie de Paris dans le cadre de l’appel à projets Parisculteurs 1. Cet espace abrite aujourd’hui plus de 250 espèces de plantes à fleurs.

Paris 20ème — Depuis 2017
Sans pesticide, sans insecticide, sans engrais chimique, la méthode de culture employée par Plein Air allie biodynamie et utilisation des micro-organismes efficaces, pour une floriculture pleinement respectueuse de l’environnement. À la ferme, les nombreuses variétés sont soigneusement choisies pour leur beauté, leur parfum, leur durée de vie en vase et leur compatibilité avec le climat francilien, saison après saison. Cette sélection est d’une grande diversité, avec des dizaines de fleurs et feuillages en simultané. La récolte se fait dans le respect de la plante, pour encourager une floraison longue et abondante.

Une ferme parisienne à visiter
Découvrez la ferme avec notre guide audio ! Durant la saison, participez à une visite sonore guidée de la ferme florale parisienne. L’occasion de découvrir les aspects techniques de la floriculture urbaine et les enjeux, défis et beautés de la vie en plein air et en plein champ.
 
Promenade sonore de 20 minutes à travers la ferme, conçue avec l’artiste sonore Antoine Bertin.
12 personnes maximum par session. À l’entrée, vous serez équipé d’un lecteur et d’écouteurs à conduction osseuse (compatibles avec aides auditives). Attention, seule une partie de la ferme est accessible aux personnes à mobilité réduite et aux poussettes.
 
Il n’est malheureusement pas possible de visiter la ferme en dehors des dates de visites proposées, car l’équipe a besoin de se concentrer sur les nombreuses tâches quotidiennes au champ.

Ikebana au champ Atelier 3h
Une initiation à l’ikebana, l’art floral traditionnel japonais. Pendant cet atelier à la ferme, découvrez les principes de l’arrangement floral japonais. L’ikebana ???, littéralement “faire vivre les fleurs”, est une pratique très calme, faite d’observation et de patience, et qui, pour nous, commence par une récolte douce à travers champ. Le matériel nécessaire vous est prêté pendant l’atelier, vous repartirez avec vos fleurs pour pouvoir recréer votre composition chez vous.

2021, naissance de la nouvelle ferme florale.
En mai 2021, nous débutons l’installation d’une seconde ferme florale d’envergure aux Portes de Paris : plus d’un hectare en pleine terre. Nous louons cet espace au Département du Val de Marne pour y développer notre projet de ferme florale bas-carbone. 

La ferme florale du parc des Lilas à Vitry sur Seine.
La ferme florale de l’Hôpital Robert Debré Paris XIXe.

www.fermeflorale.paris

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Château Bellini

Des vignes à l’ombre d’un grand Chêne

Le Chateau Bellini à Brignoles.
Un rond-point, un dernier virage, et l’on pénètre dans une histoire. L’histoire d’un homme, l’histoire d’une famille. L’histoire de Tom Bove, seigneur en son royaume : le Chateau Bellini. De l’argile rouge entre ses doigts, un savoir-faire innovant, une détermination inébranlable, et voilà l’assemblage de ce propriétaire récoltant, amoureux passionné de la région varoise, qui accomplit des miracles : retourner des collines provençales pour transformer une terre à cailloux en un terroir d’exception et en tirer des vins remarquables.

Le portail à peine franchi, les vignes sont là, immédiatement de part et d’autre d’un chemin qui serpente jusqu’à la bastide. Celle-ci, entourée de ses bâtiments annexes, surgit, imposante, majestueuse. L’ocre doré des façades faites de pierres arrachées aux entrailles du domaine dès le Xème siècle, rayonne d’une lumière chaude…. Couleurs d’or aux nuances roses pour ces pierres, serties d’un paysage paisible fait de vignes et de forêts de chênes….

Un homme de passion
Nous pourrions parler évidemment, exclusivement, de vin comme l’ont déjà très bien fait, depuis longtemps, les plus fameux chroniqueurs œnologues. Laissons donc à ces spécialistes ce travail de spécialistes ! Car, au commencement, et bien avant le vin, il y a ce visionnaire, ce prophète, cet homme de passion, Tom Bove. Un business man avisé, américain d’origine italienne, qui n’a jamais hésité à prendre les risques que lui impose son tempérament audacieux, et dont le but est de transformer ses ambitions en réussites, ses rêves en réalités.

Toute une histoire
Arrivé des Etats-Unis, c’est en 1992 qu’il a un coup de foudre pour le vieux domaine varois, Château Miraval, il l’achète aussitôt avec le dessein d’en faire une maison familiale où il fera bon vivre, loin de l’agitation des grandes métropoles et de la fureur du monde.
Mais il est très vite ensorcelé par ce domaine, piqué du désir de créer son propre vin, et grisé par le plaisir du « wine business ». Quand il se lance dans l’aventure, il ignore que ce n’est là qu’un début ! Le succès appelle le succès. Et au fil des années, devenu un authentique « winemaker », c’est une dizaine de domaines que Tom Bove achète, réinvente, puis revend dès qu’ils sont lancés sur la voie de la réussite ! Le Miraval sera le 1er domaine à être revendu en 2007, à d’autres américains, le célèbre couple Angélina Jolie et Brad Pitt.

Le temps ne compte pas
Vingt-cinq ans se passent, et ces domaines vont ressusciter un à un entre les mains de Tom Bove. En vigneron entreprenant autant qu’imaginatif, il bouscule les habitudes et le fatalisme qui ont condamné de vieux vignobles à une lente agonie ou plutôt un endormissement. Il en sera ainsi des domaines de Saint-Jean de Villecroze, Lajoux, La Bergerie d’Aquino, Bomont de Cormeil, et La Mascaronne (agrandie d’une partie de la Bernarde).

Le Château Bellini avec ses 35ha de Coteaux Varois en Provence, va naître !
C’est en 2016 enfin que Tom Bove fait l’acquisition du Domaine de Fontlade, qu’il rattache au Domaine de Mira Luna, en sa possession depuis de longues années, et produisant un rosé de gastronomie, Le Mira Luna, assemblage de Syrah et de Mourvèdre.
Des ceps de vignes sont sélectionnés et plantés, avec le plus grand soin pour une reconversion en bio. Et de nouveaux cépages, tel le roll, le grenache blanc ou le sémillon, vont plonger leurs racines dans le rouge de ce sol d’argile et de calcaire. Sol indocile, encombré d’énormes roches qu’il faut extraire et concasser. Ces rochers ainsi fractionnés se transforment en pierres, les mêmes que celles utilisées dès le Xème siècle pour la construction de la bastide, puis aujourd’hui, en murets de restanques.

Un avenir prometteur
Le vignoble ainsi créé, le Château Bellini se prépare maintenant à devenir également un lieu de réception haut de gamme. Des cuisines où tout est conçu pour servir une gastronomie inspirée. Une salle-à-manger à la fois intimiste et spectaculaire. Des chambres où le confort est imaginé dans les moindres détails. Des terrasses installées à l’extérieur qui permettent de choisir le meilleur endroit, selon l’heure du jour et de la saison, pour s’y attabler.

Et enfin, une ravissante petite chapelle qui sera consacrée afin de pouvoir y célébrer mariages et baptêmes ! ….
L’homme qui a transformé ses rêves en réalité, Tom Bove, promet maintenant pour que son bonheur soit total, de transformer nos rêves en réalité ! Et il met tout en œuvre pour cela, en esthète, en épicurien, en altruiste…
Tel un grand chêne à l’heure de l’angélus, il domine son domaine, et étend sur son vignoble une ombre allongée bienfaisante. Sans doute écoute-t-il murmurer dans la ramure des chênes environnants, un chant biblique venu du fond des siècles, les bénédictions divines du bonheur terrestre, La nourriture et le travail :
«J’ai donc loué la joie, parce qu’il n’y a de bonheur pour l’homme sous le soleil qu’à manger et à boire et à se réjouir ; c’est là ce qui doit l’accompagner au milieu de son travail, pendant les jours de vie que Dieu lui donne sous le soleil.» Ecclésiaste 8 :15

Catherine Paranque

Château Bellini
1484 RD79,
Route de Cabasse
83170 Brignoles, France
 +33 4 98 14 84 89

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DANI for ever

Didier Galibert rend un bel hommage pictural à la chanteuse Dani !

En hommage à la chanteuse et comédienne DANI, décédée le 18 juillet 2022, son amie et complice depuis toujours, Didier Galibert lui a consacré une première exposition intitulée DANI FOR EVER, lors de la remise du Gand Prix Littéraire de l’Afjet, le 16 octobre 2023 à LA BONNE FRANQUETTE, lieu mythique de Montmartre datant du XVIe siècle, halte prisée des impressionnistes et des postimpressionnistes.

Dès l’âge de 12 ans, Didier découvre le dessin quand ses parents l’inscrivent aux cours d’Edmond Mathis, peintre et professeur d’Art Plastique, dans son atelier situé rue du Pont de Caville à Mazamet. Dix années plus tard, après avoir quitté son Sud-ouest natal, il s’inscrit à l’Ecole Supérieure des Arts Appliqués Duperré, rue du Petit-Thouars à Paris, dans la catégorie Art Graphique et Composition Décorative, avant de devenir journaliste au sein des rubriques Culture, Loisirs & Bien-être dans la presse écrite grand public, puis auteur avec, entre autres, Johnny l’Hommage chez Larousse ou Pièges amoureux, en sortir aux éditions Trédaniel.

En 2022, il revient vers ses pinceaux et renoue avec ses premières amours : l’Art et la peinture. Dès lors, son univers créatif va s’enrichir d’une série de Portraits de stars et de Nus artistiques à la gouache aux couleurs  vives à l’image de son atypique parcours.

Les nombreux invités de ce Grand Prix Littéraire de l’Afjet ont pu contempler ses gouaches aux couleurs écatantes rendant un hommage plus que vivant à DANI qui a vécu durant quelques années à Montmartre et qui ne manquait pas de flâner dans le quartier des Abbesses. Lors de cette premières exposition Didier Galibert nous déclarait avec une certaine émotion : Le lieu de LA BONNE FRANQUETTE n’a pas été choisi par hasard car Dani aimait souvent se rendre à deux pas chez Marie-Rose Guarniéri, la joyeuse fondatrice de la librairie des Abbesses et, il y a quelques années, j’avais eu le plaisir d’interpréter en duo avec Dani la chanson « Quand ça t’arrange », sur la scène des Folies Bergère, accompagnés à la guitare par Jean-Félix Lalanne. Et après le concert nous étions allés faire la fête à La Bonne Franquette. Cette première exposition est donc pour moi un retour aux sources !.

 

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170 ans du musée UNTERLINDEN

Colmar n’est pas seulement la « carte postale » de l’Alsace.
Elle abrite aussi une institution qui fête cette année ses 170 ans d’existence.
Il s’agit du musée UNTERLINDEN.

Il y a effectivement plus d’un siècle et demi, quelques érudits regroupés autour de Louis HUGOT, archiviste et bibliothécaire de la ville de Colmar, ont fondé la SOCIETE SCHONGAUER du nom d’un peintre colmarien de la fin du moyen âge et été à l’origine du musée UNTERLINDEN installé dans l’ancien couvent des Dominicaines « sous les tilleuls ».
Aujourd’hui il est un des rares, si ce n’est le seul, Musée de France géré et administré par une association de droit privé.
Il abrite notamment une exceptionnelle collection de peintures, sculptures et gravures des XVème et XVIème siècles œuvres d’artistes du Rhin supérieur.

Mais surtout figure parmi celles-ci le retable d’Issenheim réalisé en 1516 par le peintre Matthias GRUNENWALD et le sculpteur Nicolas de Haguenau qui ornait le maître autel du couvent des Antonins d’Issenheim dont la mission était d’accueillir et de soigner ceux qui souffraient du mal des ardents.

Ce retable tant au niveau pictural, symbolique et même théologique marque le passage du moyen âge à la Renaissance et à la Réforme.

Il continue d’inspirer des artistes contemporains. Certains sont d’ailleurs présents dans la nouvelle extension du musée, consacrée aux collections d’art moderne et contemporain. Celle-ci a été conçue par les architectes stars bâlois HERZOG et de MEURON qui ont réaménagé l’ancienne piscine de 1906 et imaginé la jonction avec l’ancien couvent médiéval.

Cet anniversaire est marqué par une exposition autour des onze personnes incontournables ayant joué un rôle important dans l’histoire du musée, l’action et la personnalité de chacune d’entre elles étant illustrées par des témoignages, des œuvres ou plus simplement des objets.

Musée UNTERLINDEN
Place des Unterlinden, 68000 COLMAR

Exposition-anniversaire 14.10.2023-04.03.2024

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110 ans du Negresco

Comme les ruelles du vieux Nice, la cathédrale Sainte-Réparate ou les Studios de la Victorine, Le Negresco fait partie du patrimoine niçois.
Aussi est-ce la ville entière qui, à l’unisson de tous ses visiteurs, français ou étrangers, célèbre son 110e anniversaire à travers cette exposition.

Sélectionnées par Paris Match, les photos rares, voire inédites, de l’exposition sont richement légendées et réparties entre le hall d’entrée, le salon royal, les terrasses de l’Hôtel, ainsi que sous la pergola de la promenade des Anglais. Une balade quasi historique qui replonge le visiteur dans un monde à ne pas oublier.

Chaque photo raconte une histoire et fait revivre des souvenirs.

Tous à l’expo du 110e anniversaire avant le 3 décembre.

Contacts Exposition 
Commissaire d’exposition : Marc Brincourt
Assistantes Responsable de projet : Zoé Mahieu
Responsable de projets : Roxane N’Goma
Directrice du Développement : Gwenaëlle de Kerros

Contact Presse
presse@lagarderenews.com

GRAND PRIX DU LIVRE

Remise du prix 2023

Sixième édition du Grand Prix Littéraire de l’AFJET !
Paris sera toujours une fête !

La nuit était déjà tombée sur la butte Montmartre, quand dans un salon, au fond du restaurant « A la bonne franquette », commençaient à arriver les premiers invités.

Eliette Pascal, présidente du Grand Prix, était à pied d’œuvre depuis un moment afin de régler scrupuleusement les derniers détails, plus complice que jamais avec Magali Aimé, présidente de l‘Association Française des Journalistes et Ecrivains du Tourisme, venue lui prêter main forte, et c’est peu dire, pour cette remise de prix 2023 !

   
Les premiers invités

La soirée a très vite battu son plein avec une assistance brillante et enthousiaste, ravie de se retrouver pour les uns, ou de se rencontrer pour les autres, à l’occasion de la remise du Grand Prix Littéraire de l’AFJET.

C’est en présence du charismatique 1er ministre de la République de Montmartre, Pierre Passot, de Martine Robinot représentante de la Maison de la francophonie, de la déjà célèbre écrivaine et journaliste Nora Bussigny «Les Nouveaux Inquisiteurs» (éditions Albin Michel, 2023) et d’autres journalistes, auteurs, photographes ou amateurs de littérature que la présidente a déclaré la cérémonie ouverte. Le déroulement de cette soirée a été sans faille, parfaitement conduit du début jusqu’à la fin.

Les deux lauréates, Arianne Bois pour son ouvrage « Ce pays que l’on appelle vivre » lauréate  2023 de l’AFJET, et Laure Gasporotto coup de cœur 2023 de l’AFJET, auteure de « Si tu veux la paix, prépare le vin », ont pris tour à tour la parole, émues, mais aussi passionnées l’une que l’autre, pour nous parler de leur ouvrage, de leur travail, de leur cheminement respectif…


Laure Gasparotto, Eliette Pascal, Arianne Bois   Laure Gasparotto à gauche                                    Arianne Bois

 
Arianne Bois entourée de sa famille

Après de très chaleureux applaudissements, la séance de dédicace a débuté pendant que le buffet offrait ses largesses à ceux dont l’appétit avait été aiguisé par tant d’émotion ! Quant au vin du Château de l’Arnaude (Var), il n’avait pas attendu pour emplir nos verres, car c’est dès l’arrivée de chacun qu’il s’est offert à la dégustation. Sans doute faut-il y voir un lien de cause à effet (immédiat) avec l’esprit festif qui s’est emparé dès les premiers instants de cette joyeuse assistance !

   

Dani, reine de la nuit et de Montmartre
A l’occasion de ce Grand Prix, un hommage pictural était rendu à la chanteuse, mannequin et actrice Dani, bien connue des montmartrois.

On a pu ainsi admirer les gouaches joyeuses et colorées de l’artiste journaliste et auteur Didier Galibert, tout en buvant un verre et en dégustant les mets du copieux buffet pour ne pas faillir à la devise de la maison « Aimer, Manger, Boire et Chanter ».

Une belle soirée, un beau succès pour l’AFJET et une légitime reconnaissance pour Arianne Bois et Laure Gasporotto, deux auteures talentueuses.

En savoir plus :
« Ce pays qu’on appelle vivre » – Plon – Arianne Bois. Un roman d’amour et de résistance à travers l’histoire des Milles (Aix-en-provence).
« Si tu veux la paix prépare le vin » – Grasset – Laure Gasparotto. Eloge de la Bourgogne à travers l’histoire de son vignoble.

AFJET : Association Française des Journalistes et Ecrivains du Tourisme.
https://www.afjet.fr/ Une association fondée en 1936 par un petit groupe de chroniqueurs et écrivains de tourisme déterminés à valoriser la profession.
Au fil des années l’AFJET développe ses champs d’actions et entre à la FIJET.
FIJET : Fédération Internationale des Journalistes et Écrivains de Tourisme. 32 associations nationales sur les cinq continents.

Restaurant « A la bonne franquette » Maison du 16ème siècle au cœur du vieux Montmartre, La Bonne Franquette fait vivre la tradition montmartroise de gaîté, de convivialité, d’accueil d’artistes, de vignerons comme d’amateurs de bon vin et de bonne chère, fidèle à sa devise « Aimer, Manger, Boire et Chanter »

Contact et réservation
+33 (0)1 42 52 02 42     paris@labonnefranquette.com

Angle 2 rue des Saules / 18 rue Saint Rustique
Montmartre – 75018 Paris