Musée de l’homme

EXPOSITION “PRÉHISTOMANIA”

Au “Musée de l’Homme”, Place du Trocadéro à Paris 16ème
Une exposition du 17 Novembre au 20 Mai 2024

Le musée de l’homme présente, en partenariat avec l’institut Frobenius pour la recherche anthropologie culturelle (Allemagne), une exposition sur l’art rupestre et les “relevés”. En effet, ces peintures sur papier reproduisant les œuvres peintes ou gravées sur les parois des roches ou des abris de roche, ont été réalisées à partir du 19ème siècle lors d’expéditions scientifiques lancées, à travers le monde, à la recherche des origines de l’humanité.

Le premier espace de l’exposition présente des relevés emblématiques, de grand format, qui donnent l’impression d’être dans les grottes et d’être devant un “choc” esthétique de leurs découvreurs. Nous sommes transportés dans le temps et dans l’espace, à travers l’Afrique australe, le Tchad, l’Afrique du Nord, la Papouasie et l’Europe.

Le deuxième espace montre l’organisation des expéditions, les outils et les équipes parties explorer ces contrées lointaines.
Ces expéditions ont été organisées par l’Abbé Breuil, Léo Frobenius, Gérard Bailloud et Henri Lhote et correspondent aux débuts de l’étude de la Préhistoire à l’échelle mondiale.
Les photos prises des expéditions permettent de comprendre le travail de ces pionniers et pionnières.  Une quinzaine de dessinatrices, photographes et scientifiques femmes participèrent et, pour certaines, connues, par la suite, pour leurs contributions scientifiques.

La troisième partie de l’exposition met en lumière cette irruption de la préhistoire dans l’art moderne. Jean Arp s’est inspiré des relevés dans les formes et structures de ses œuvres, Paul Klee emprunte à l’art rupestre des motifs et couleurs, Jackson Pollock se nourrit de l’art rupestre dans sa symbolique abstraite.

La quatrième partie montre les méthodes employées aujourd’hui pour décrypter les figures rupestres.
Le relevé, aujourd’hui, fait appel à des techniques et technologies plus respectueuses des œuvres préhistoriques car, en effet, planent sur elles, l’érosion et la destruction.

Ainsi le relevé remplit sa mission, la conservation d’œuvres fragiles ou effacées pour la postérité.

Cette exposition offre au public l’opportunité de contempler ces magnifiques réalités historiques sans avoir à se déplacer dans une contrée lointaine et est un voyage temporel. 

Informations pratiques :
Du 17 Novembre 2023 au 20 Mai 2024
Plein tarif : 13 €
Tarif réduit : 10 €
Moins de 26 ans : gratuit
Ouvert tous les jours de 11h à 19h, sauf le mardi.

Texte et photos Angélique Galiffi

Ingres/Montauban

  Ville de Montauban

DEUX NOUVELLES EXPOSITIONS
Du 19 janvier au 19 mai 2024

Le musée Ingres Bourdelle de Montauban (82) ouvrira le 19 janvier 2024 avec deux nouvelles expositions inédites.
La première, intitulée Un printemps impressionniste, célèbrera le 150ème anniversaire de la naissance de l’impressionnisme. À cette occasion le musée Ingres Bourdelle accueillera deux œuvres prestigieuses de Gustave Caillebotte.
La seconde, Quoi de neuf les Amis ? retracera vingt années d’acquisitions et de dons du musée Ingres Bourdelle permis grâce à l’association des Amis du musée Ingres Bourdelle.

Ces deux rendez-vous culturels seront à découvrir jusqu’au 19 mai 2024.

Un printemps impressionniste
En 2024, à l’occasion de la célébration du 150ème anniversaire de la naissance de l’impressionnisme, le musée d’Orsay prêtera 178 œuvres à 34 musées de France.
Le musée Ingres Bourdelle donnera le coup d’envoi en région de ce rendez-vous d’ampleur nationale à travers Un printemps impressionniste, où seront à découvrir du 19 janvier au 19 mai 2024 deux œuvres de Gustave Caillebotte.
La première, le Parterre de Marguerites généreusement prêtée par le musée des impressionnismes Giverny, et la seconde toile, Les Soleils, jardin du Petit-Gennevilliers, peinte en 1885 et faisant partie des collections du musée d’Orsay.
Le musée Ingres Bourdelle compte parmi les trois institutions de la région Occitanie – avec le musée Fabre à Montpellier et le musée Toulouse-Lautrec à Albi – participantes à la saison impressionniste que prépare le musée.

 A partir du 19 janvier.
Dès le 19 janvier, le musée Ingres Bourdelle invite le grand public à parcourir un bout de son histoire à travers Quoi de neuf les Amis ? Peintures, sculptures, photographies, croquis… cette exposition-dossier sera l’occasion de revenir sur 20 années d’acquisitions et de dons permis grâce à l’association des Amis du musée Ingres Bourdelle.

Tout au long de ces vingt années le soutien des Amis du musée aura permis d’enrichir les collections avec notamment l’Étude dessinée pour la Jeanne d’Arc d’Ingres achetée en 2023, ou encore des œuvres contemporaines en lien avec nos collections comme La Famille Stamaty, restored de Kathleen Kilje ou le charmant Portrait présumé de Mme Marcel-Lenoir par Marcel- Lenoir artiste montalbanais dont un fonds lui est consacré au MIB.
Depuis sa création en 1924, l’association des Amis du musée Ingres Bourdelle a pour mission en étroite collaboration avec les services culturels de la mairie de Montauban, de mieux faire connaître notre Patrimoine en participant à l’enseignement de l’art à travers différents rendez-vous culturel à retrouver tout au long de l’année.

Un miroir du monde
Depuis 2019, la salle du Prince Noir, située dans les sous-sols du musée, accueille des artistes contemporains. Après Miguel Chevalier, Georges Rousse et Speedy Graphito, Anne et Patrick Poirier s’approprient, à leur tour, cet espace monumental du 14ème siècle avec une installation inédite. Et pour la première fois, l’ancienne prison est également investie.

À travers cette exposition, le duo que forment Anne et Patrick Poirier, métamorphose les lieux et nous invite à porter un nouveau regard, non seulement sur les vestiges remarquables d’une époque révolue, mais aussi par leur dimension métaphorique, sur le monde actuel.
Anne et Patrick Poirier, forment l’un des tout premiers et rares couples d’artistes et ce, depuis 1968. Nés en 1941 et 1942 dans un « monde en ruines », où « l’Ange de l’Histoire » de Walter Benjamin voit « la violence qui s’accumule », leur travail a pour fil rouge la fragilité des civilisations et de la nature avec pour corollaire la place primordiale de la mémoire. Depuis 55 ans, ils réalisent en parfaite symbiose un œuvre polymorphe et visionnaire.

Commissariat général : Florence Viguier-Dutheil,
Conservatrice en chef, directrice du musée Ingres Bourdelle, Montauban
Commissariat artistique : Laure Martin-Poulet

Contact presse:
KarineClauzade 07 86 81 55 79
k.clauzade@touspublics.com

Emmanuel Georges 06 45 64 01 27
e.georges@touspublics

Faire chorégraphes

JANVIER-JUILLET 2024
COLLECTIF FAIR-E / CENTRE CHORÉGRAPHIQUE NATIONAL DE RENNES ET DE BRETAGNE

TNB I Opera nauinale de Paris I Rennes- CCN de Rennes et de Bretagne I 
Théâtre de la Ville-Paris

Un collectif composé de Bouzid Ait Atmane, Iffra Dia, Céline Gallet, Linda Hayford, Saïdo Lehlouh, Marion Poupinet, Ousmane Sy († 2020)

Issus du hip hop et de toutes ses influences, le collectif FAIR-E est le reflet d’une nouvelle génération de chorégraphes. La danse qui les anime, au même titre que l’art brut, est née de l’autodidactie et revêt une dimension universelle qui nourrit leurs valeurs. C’est elle qui nous permet de dialoguer en transversalité avec les autres esthétiques, d’être en prise avec le réel.
Ils défendent l’usage du faire comme façon de voir le monde. Comme une manière de s’approprier par action-réaction leur environnement immédiat et injecter, là où ils le peuvent, du désir, de la poésie, de l’équité, de l’imaginaire, de la joie, du partage, du commun…
Réunis ensemble, riches de leurs différences et de leurs individualités artistiques respectives, ils sont en mesure de balayer le spectre des modalités d’écriture propres à leur champ esthétique. Ils vous invitent ainsi à découvrir leurs univers respectifs et partager avec eux une danse d’auteur qui s’inscrit pleinement dans le panorama de la danse contemporaine.
 

Raphaël Stora

Témoin — création 2023
Saïdo Lehlouh 
Témoin résulte d’un processus de travail développé depuis plusieurs années avec des danseur·ses autodidactes, « témoins » de leur époque, de leur danse et de leur génération. Si le b-boying est à la source de la danse de Saïdo Lehlouh, Témoin élargit ici le champ des possibles pour embrasser les nombreuses influences qui nourrissent le parcours de chaque danseur·se invité·e. Cette forme mouvante prend ainsi corps grâce à leur singularité, à leurs façons d’investir sur le vif le jeu de l’improvisation, pour proposer une danse nourrie par la vivacité de l’instant et de la vibration de leur rencontre.

TNB – Théâtre national de Bretagne, Rennes, festival Waterproof, du 1er au 3 février 2024 Théâtre de la Ville-Paris – du 24 au 27 février 2024 Maison de la danse, Lyon – du 3 au 5 avril 2024

Apaches — performance in situ
Saïdo Lehlouh
Ce que l’improvisation permet d’authenticité, Saïdo Lehlouh s’en saisit pour proposer un espace d’expression pour tous et toutes, néophytes comme professionnel·les. Pour le Festival de la Place, plus de 120 personnes, unies dans un même élan, tribu aussi effervescente qu’éphémère, vont vivre et révéler toute la beauté d’une danse instinctive et spontanée.

Opéra national de Paris – 20 juillet 202

Timothée Lejolivet
(Under)ground — les danses de la marge Pour 

Paris 2024, et en lien avec le label Terre de Jeux 2024, le collectif FAIR-E propose du 17 au 23 juin un événement dédié à une nouvelle génération d’artistes issue du champ underground et représentative du divers contemporain. Déployé à l’échelle de la métropole rennaise, ce temps fort reliera dans un même mouvement danses de représentation et de danses de participation, expérimentations et créations, professionnel·les du spectacle vivant et amateur·ices de danse.

Créations : Artizans, Ndoho Ange, Kaê Brown Carvalho et Jerson Diasonama, Collectif Hinterland, Sandrine Lescourant, Mounia Nassangar, Sons of Wind, X-trêm Fusion Reprises : Bouzid Ait Atmane et Saïdo Lehlouh, Iffra Dia, Mazel Freten, Carmel Loanga, Nach, Ousmane Sy
Maquettes : Mackenzy Bergile, Andrège Bidiamambu et Seren Kano, Karim Bouheudjeur, Noé Chapsal, Allison Faye, Sofian Jouini, Inès Mauricio, Lila Magnin…

Rennes – CCN de Rennes et de Bretagne, TNB, … du 17 au 23 juin 2024 
→ Nantes : extension au Nouveau Studio Théâtre du 24 au 28 juin 2024

CONTACTS PRESSE :
Pierre Laporte Communication – 01 45 23 14 14
Pierre Laporte pierre@pierre-laporte.com 
Christine Delterme christine@pierre-laporte.com

retraite souffle de vie

3 jours pour s’écouter
3 jours pour tout changer

Une drôle d’aventure !

Toute une histoire. Ils s’appellent Charlotte & Gildas et cherchent à être « les acteurs de leurs vies ». Sacré challenge. Comment faire ? Chercher et rassembler tous nos potentiels, toutes nos énergies, nos volontés et notre motivation commune.
Top départ d’une belle aventure en créant « Bien dans mes baskets ».
Passionnés par l’exploration et l’épanouissement de soi, ils nourrissent le rêve d’une humanité responsable, d’une vie riche de sens, d’une harmonie universelle.
Charlotte : formée en psychologie sociale et du travail, en coaching psycho-émotionnel et thérapie brève systémique (approche globale de la personne et de ses interactions dans son milieu).
Gildas : vit avec la maladie de Crohn depuis 15 ans. Il a longtemps cherché des réponses extérieures dans les livres, les routines, les affirmations positives, etc. Il a aussi expérimenté de nombreuses alternatives pour sa santé physique.

3 jours pour… se retrouver
« Bien dans mes baskets » avec 3 jours de retraite pour aider ceux qui souhaitent trouver ou retrouver l’harmonie dans leur vie, l’épanouissement et se redécouvrir. 3 jours de retraite baptisés : « Souffle de vie ».
    « La retraite Souffle de Vie a été spécialement conçue pour tous ceux et celles qui se sentent happés par le quotidien, la tête dans le guidon, avec le sentiment que la vie leur échappe. Pour ceux qui veulent plus pour eux, parce que vivre à moitié ça suffit ! »

Pour tout savoir :
« Souffle de Vie » :  https://biendansmesbaskets.podia.com/souffledevie
Site web : https://biendansmesbaskets.podia.com/
Instagram : https://instagram.com/bdmb_corpsesprit

Contact presse
Gildas Morice
Téléphone : 07 85 14 66 33
Email : contact@bien-dans-mes-baskets.fr

Valrhona / Café Joyeux

Gourmandise + partage + engagement
=
Une belle initiative, une belle association

Pourquoi Valrhona et Café joyeux ?
Des valeurs communes relient ces deux entreprises : Le Bien, le Bon, le Beau.
D’un côté une entreprise qui, depuis 100 ans est au service de l’excellence et travaille avec les meilleurs artisans à travers la France et le monde. Valrhona accompagne avec délice et douceur tous les amateurs de ce qui se fait de mieux.
D’un autre côté, un concept créé en 20217 : Première famille de café-restaurants solidaires qui emploie et forme exclusivement des personnes en situation de handicap mental et cognitif.

Douceur et délicatesse : les guimauves
Un projet commun : créer un produit qui symbolise la douceur, la gourmandise et rappelle l’enfance de chacun. La guimauve ! De petites pépites rondes à faire fondre les plus irréductibles.
Ces guimauves sont vendues dans un joli étui aux couleurs de Café Joyeux dans l’ensemble des restaurants joyeux et en exclusivité dans la boutique Valrhona de Tain l’Hermitage. Leur enrobage, réalisé avec le chocolat Valrhona Equatoriale Lactée, un chocolat au lait 35% de cacao, au profil aromatique rond et gourmand, se marie parfaitement avec le cœur moelleux et fondant de la guimauve.

Un acte solidaire et engagé : offrir un étui guimauves.
Généreuses et délicieuses, ne pas oublier de les glisser au pied du sapin, d’en parsemer sa table de Noël et les offrir à tous les gourmands.
Offrir ce petit étui gourmand c’est aider au financement de nouveaux « Cafés Joyeux » et de permettre l’inclusion de personnes en situation de handicap.
Osez aussi pousser la porte d’un « Café Joyeux », vous serez « servi avec le Cœur » et avec le sourire.

Relations presse
Mathilde Tabone
07 72 77 40 20
mathildetabone@14septembre.com
Alexandra Grange
06 03 94 62 47
alexandragrange@14septembre.com

L’Etui Guimauves Valrhona & Café Joyeux
135gr / 10€
Dans tous les cafés joyeux
Boutique Valrhona à Tain l’Hermitage.

L’Archiduc

Osez pousser la porte de cette petite boutique et la magie Opère

Une fois découverte, cette petite boutique va rendre addict tous les fous de senteurs, de cierges, de voyages immobiles. L’Archiduc est la boutique où l’on découvre l’Artisanat cirier, nom évocateur presque désuet et pourtant dans l’air du temps.
Une boutique incroyable aux odeurs d’encens, de cire et de fragrances d’un raffinement incontestable.

L’archiduc ? En référence à une marque de bougies éthique, raffinées originales. L’Archiduc règne en maître, car oiseau fétiche de la boutique. Ici tout ce qui est proposé est réalisé artisanalement par les propriétaires passionnés. Les bougies, les parfums transmettent toute une histoire et vont créer la vôtre. Quant aux objets de déco ! Dignes des plus rares « cabinets de curiosités » : bougeoirs sobres fait de bois naturel, lampes insolites, objets indescriptibles qui imposent un détour.
Quoi de plus agréable qu’un bel intérieur, décoré avec goût, subtilement parfumé avec une senteur raffinée et baigné d’une jolie lumière tamisée ? C’est l’écrin dans lequel aiment vivre Guillaume et Christophe. « C’est celui où nous nous refugions le soir, où nous nous ressourçons. De cette émotion, de ce sentiment de bien-être est né l’Archiduc »
Un côté vintage, une déco à la fois baroque et ordonnée, deux meubles sortis tout droit d’un roman anglais et un tourbillon de senteurs qui tourne la tête.
Il faut repartir avec une bougie faite de véritable cire, à la façon des cierges d’antan ! Aucune senteur chimique, tout est nature, tout est vrai, tout est artisanal.

En 2020 L’Archiduc fut élu plus belle vitrine de Noël.

L’Archiduc
Ecrin de senteurs
2 rue du jeune Anarchasis
13001 Marseille
09 81 76 11 12
contact@larchiduc.fr
Insta & FB : larchiduc_ecrin_de_senteur