Catégorie : La Lettre de l’Afjet

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Osez la Bretagne en hiver

Osez la Bretagne en hiver

Ses éléments naturels spontanés. Son univers sonore. Ses city trips urbains. Ses expériences gastronomiques réconfortantes. Ses refuges-cocons. Ses étendues à perte de vue. Ses grands-écarts culturels.
De novembre à mars, en Bretagne on garde ses sens en éveil.

Voilà au moins 6 bonnes raisons d’Oser la Bretagne en hiver :

1. Plonger dans les temples du bien-être  
Faire le plein d’énergie et de minéraux version iodée ou chlorophyllée. A Ouessant, on mise sur la méditation en pleine conscience au Sport Ouessant & Spa, inspiré de l’architecture traditionnelle ouessantine. A l’hôtel restaurant & spa La Butte à Plouider, cours de yin yoga, pratique méditative et cours de Hatha yoga le tout dans un confort absolu. A 15 mn de Lorient au Manoir des Eperviers, on remet les compteurs à zéro avec une cure détox où se mêlent étirements, sophrologie, massage et méditation. Au Sofitel Quiberon, on craque pour son offre brunch & spa, le suivi Thalasso à la maison ou ses nouveaux modelages « au bonheur du ventre ». A Roz Marine à Perros Guirec, on mise sur l’immersion Terre & Mer aux bienfaits marins « in & out » : longe-côte, marche nordique « revisitée » et apnée statique complétés par des bains hydromassants, enveloppement d’algues et de boues bretonnes. 

2. Grandes marées, couleurs glaz et grands espaces
 On plonge dans un nuancier qui n’existe nulle part ailleurs et dont la traduction n’a pas d’équivalent en français. Du bleu profond, du vert et du gris. Jamais à bout de souffle?: les éléments bretons promettent de l’iode, des expériences ventées, des grandes marées et des tempêtes d’écume. Et pour vivre les grandes marées direction l’île éphémère Callot en Baie de Morlaix pour s’adonner à la pêche à pied, à Saint-Malo pour voir l’un des plus grands marnages de France cerner les remparts, aux dunes de Keremma pour voir le chaos granitique partiellement sous l’eau, à Ploubazlanec sur la Côte de Granit Rose pour voir l’archipel de Bréhat saisi par les vagues, à Saint-Cast-le-Guildo pour voir la culture du bouchot et des parcs à huîtres à découvert puis enchainer sur une session dégustation. Clapotis, effervescence des fous de Bassan, embruns… territoire sensoriel jusqu’au bout des oreilles. Pour embrasser l’horizon seul au monde, direction les parcs naturels de Bretagne?: le Golfe du Morbihan, les marais de Brière, le territoire d’Armorique ou encore la mer d’Iroise abritant l’une des eaux les plus pures du monde. Immersion dans de grandes étendues de sables, des prairies bocagères entre phoques, dauphins et oiseaux migrateurs. Plutôt panorama de dunes?? Le grand site Gâvres-Quiberon, le plus vaste massif dunaire de Bretagne, offre un paysage océanique et sauvage. En contreplongée dans des espaces ultra-chlorophyllés, le lac de Guerlédan, le plus grand de Bretagne, zoome sur des paysages vallonnés, des forêts et des landes. Du côté de la Presqu’île de Crozon, on embarque sur un bout de terre entre la rade de Brest et la baie de Douarnenez pour des randos comme à l’assaut d’un Nouveau Monde !

3. Ouvrir la porte sur le monde de la gastronomie bretonne
  Le territoire fourmille d’expériences de goûts?: qu’il s’agisse de se lancer dans des food tours, des déambulations culinaires urbaines, de dormir chez un chef étoilé, d’apprendre à faire sa crêpe chez Œuf néo-crêperie rennaise ou de se délecter de dégustations chez des ostréiculteurs ou mytiliculteurs. On fouine du côté des producteurs comme à la ferme La Froment du Leon pour son beurre que l’on retrouve sur des tables étoilées ou pour déguster du thé breton à Filleule des Fées. On piste le nectar breton. Le sarrasin, l’or de la Bretagne a tout bon sous toutes ses formes?: chips, boissons, gâteaux bretons, confitures ou chocolat.
 Les algues s’offrent en cueillette sur l’estran, en boisson ou chez certains récoltants comme Begood Alg’ qui les récolte à la main. Et pour se réconforter face aux frimas hivernaux, on déguste du Kouign Amman à Douarnenez, berceau de cet emblème de la gourmandise bretonne. 

4. Savoir-faire et délits d’initié
Des biscuiteries, du maritime, du portuaire, de l’ostréiculture, de la cosméto, en passant par l’artisanat au textile marin et à la mode, on explore la création néo-bretonne et ses coulisses et on rencontre des passionnés qui retwistent les codes bretons. A Dinan, chez Adrian Colin, meilleur ouvrier de France, on s’initie aux techniques de soufflage. A Plédéliac, on plonge dans l’univers d’un coutelier chez les Lames de K pour fabriquer son couteau de marin. On peut apprendre à faire son bol breton dans le Golfe du Morbihan. Chez l’artisan confiseur Maison Guella, on découvrir les secrets de fabrication des gâteaux bretons. A moins que l’on ne préfère plonger dans les coulisses de l’iconique caban chez Dalmard Marine.

5. (Ur)bains pulsés
On mixe art urbain, shopping défricheur et festivals vibrants… A Rennes, le temps d’un week-end, on carbure à la culture urbaine. Pour s’immerger on teste une visite
guidée en version slam, où l’on se laisse entrainer du street art à l’Art Déco. En novembre, le festival Yaouank, immense festival de culture bretonne fait voltiger comme nul autre les traditions avec comme point d’orgue un fest-noz, le plus grand de Bretagne ! Pour dénicher les tendances musicales de demain, direction Les Transmusicales en décembre. On profite de ces immersions urbaines pour pister les sites historiques reconvertis en spots trendys (anciens chantiers navals, hôpitaux ou prison).
A Lorient, au bord de la mer, galeries éphémères, et gastronomie, la ville assume sa « coolitude ». On ne manque pas Lorient La base, l’ancienne base de sous-marins réhabilitée et qui abrite bars et boutiques colorées, mais aussi la fascinante et immersive Cité de la Voile Eric Tarbaly. On ne manque pas non plus le Festival Les IndisciplinéEs en novembre. Des concerts dans un bunker…. 10 jours pour découvrir des groupes émergents de la scène européenne et française.
A Brest, au cœur de l’une des plus belles rades de France, la ville mêle modernisme, néoclassicisme, Art Nouveau, Art Déco. Les quais s’improvisent sentiers de promenade dans la ville. A hauteur d’albatros, on découvre la ville depuis le téléphérique. On file ensuite en immersion au plateau des Capucins, dans les anciens ateliers destinés à la construction navale réhabilités en espace de travail et en lieux d’arts. En décembre, le Festival No Border autour des musiques du monde, met Brest, la métropole océane en émoi.

6. Oser s’aventurer au sport d’hiver maritime ! 
On file to schuss à la mer ! Grand bol d’air pur assuré. On teste le Ice Swimming à Plouha, une nage en pleine mer et sans combi. Islandais, Russes, Finlandais sont accros. Sur la Côte des Abers, on part à l’assaut de l’Aber Wrac’h et l’Aber Benoît, fjords bretons. Voir le phare de l’Ile Vierge depuis l’eau, c’est renversant. Pour faire sa thalasso en pleine mer, on mise sur la marche aquatique?: on enfile sa combinaison, ses chaussons en néoprène pour garder les pieds au chaud. On se laisse masser par l’eau sur la Riviera Bretonne à Cap-Coz, à Saint-Lunaire ou aux abords de la plage de Trestaou face à l’Archipel des 7 îles. Char à cerf-volant, char à voile ou kite surf font planer les plus sportifs pour allier vent et mer. Quel que soit le sport, on en sort avec les idées claires, re-boostés pour l’hiver ! 

Plus d’information sur : tourismebretagne.com |   
 Infos presse sur : pro.tourismebretagne.bzh |

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Un hiver blanc au sommet

Un hiver blanc au sommet

Suivre les traces du loup dans le Vercors, jouer au trappeur canadien dans l’Aubrac ou remonter le temps au cœur d’une vallée secrète du Briançonnais… La montagne s’explore ici en pente douce, à l’écart des grandes stations de ski. Dépaysement garanti, déconnexion assurée.
L’immensité des espaces neigeux, cotonneux, silencieux où l’on ne se bouscule ni sur les pistes ni aux remontées mécaniques…… un vrai plaisir.

Au pays du loup : Le Vercors
3 jours pour pister le loup avec un guide naturaliste dans une vallée sauvage bordant les hauts plateaux du Vercors. Paisible et peu fréquentée, le loup en a fait son habitat permanent. Au cours de sorties en raquettes, les randonneurs observent ses traces et ses habitudes avant de regagner le Refuge de la ferme d’Esparron, un lieu magique, non gardé.
«Les loups des hauts plateaux du Vercors», à partir de 490 €. Accessible en train.
Durée : 4 jours. Prochain départ le 29/12/2023.

Combo raquettes & bien-être dans le Briançonnais
Depuis les alpages jusqu’aux forêts de pins et de mélèzes, les voyageurs arpentent en raquettes l’authentique vallée de Cervières et ses hameaux d’estive. En fin de journée, place à la détente aux incontournables Grands Bains de Monêtier ou dans l’espace bien-être du chalet en bois, entièrement privatisé pour le groupe.
«Cervières, la perle du Briançonnais en raquettes». A partir de 860 €. Accessible en train de nuit. Durée : 7 jours. Prochain départ le 07/01/2024

L’Aubrac, dans la peau d’un trappeur en famille
Cet hiver, l’Aubrac enneigé devient un immense terrain de jeu pour les familles. Au programme : construction d’igloo, recherche de traces d’animaux dans la neige, sorties en raquettes, initiation à la conduite d’attelage, soirée au coin du feu dans un buron traditionnel… Une vraie aventure pour partager avec ses enfants le goût de l’exploration.
«Aventures hivernales sur le plateau de l’Aubrac», à partir de 790 €. Durée : 6 jours. Prochain départ le 24/12/2023.

Terre d’aventures
Le spécialiste et Le leader du voyage insolite, original, à pied depuis plus de 45 ans, reconnu pour son savoir-faire et sa connaissance très pointue de la randonnée.
Depuis 1976, Terre d’Aventure fait voyager et rêver 40 000 personnes chaque année dans plus de 120 pays, des vents glacés du Grand Nord aux chaleurs du désert. Terres d’Aventure calcule les émissions carbone de tous ses voyages, résolument tournés vers l’exploration et la rencontre de l’autre, les réduit au maximum et participe à l’absorption de 100% du reliquat. www.terdav.com

Contacts : Agence Le Burô
Camille Tomasi
camille@leburo-rp.com
06 59 43 55 20
Pauline Gonnin-Meilleur
07 65 22 17 09
pauline@leburo-rp.com
Marianne Furlani
mfurlani@terdav.com
01 58 71 15 64

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Georges Hugo

Exposition :
10 Novembre 2023 / 10 Mars 2024
Vernissage jeudi 9 novembre
9h30 / 13h.
Dilettante de grand talent, Georges Hugo fut le chroniqueur proustien de son époque. Immortalisé aussi dans l’œuvre de son Victor Hugo « L’art d’être Grand-Père », est le premier peintre de la lignée familiale.
Cette exposition s’inscrit dans une double logique de programmation : présenter une série de monographies de peintres liés d’une façon ou d’une autre à Victor Hugo et illustrer la mémoire artistique familiale.
Georges Hugo, fils de famille, il fera son service militaire comme simple matelot. Pour autant Georges Hugo était un homme raffiné, esthète, mondain et ardent patriote. Quinquagénaire il s’engagera en 1914 comme agent de liaison.
UN homme plein de paradoxe à la fois timide, séducteur, flamboyant et mélancolique. Petit-fils unique de Victor Hugo qu’il appelait « Papapa » et à qui il sera fidèle toute sa vie à sa mémoire et à l’amour de l’art.
Cet artiste fait partie des peintres sans atelier, posant leur chevalet dans un salon ou sur le pont d’un navire. On ne sait pas toujours où, ni surtout quand il a peint. Son langage de prédilection est le dessin. Un carnet à la main, il consignait sa vie et son monde d’un trait rapide en usant de son esprit vif et de son œil acéré. Il dépeignait les scènes de cafés où il passait l’essentiel de son temps, les scènes de spectacles qu’il aimait fréquenter, celles du front dont il voulait témoigner, les représentations d’homme et de femme dont il traquait la cocasserie ou l’élégance, ou portraiturait ses proches.
 C’est la première exposition monographique consacrée à son œuvre.
 
La Maison de Victor Hugo créée par Paul Meurice à l’occasion du centenaire de Victor Hugo en 1902 n’aurait pu voir le jour sans le soutien de la famille Hugo et particulièrement celui de Georges Hugo, qui fit des donations successives afin de constituer le fonds initial du musée d’environ 600 œuvres.
 
 
Maison Victor Hugo
6 Place des Vosges
75004 Paris
maisonsvictorhugo.paris.fr
01 42 72 10 16
 
Accès :
M1 Bastille Saint PaulBus 20, 29, 65

Vélib : 27 BD Beaumarchais.

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Ferme florale Paris

Ferme florale urbaine

Ferme Florale Urbaine, une entreprise de l’ESS créée en mai 2019 par deux jardiniers passionnés formés à l’Ecole du Breuil.
Notre premier site est né en mai 2019 à la Porte des Lilas, sur les terrasses de l’Hôpital Robert Debré, dans le cadre de l’appel à projet Parisculteurs initié par la Mairie de Paris. Nous louons à l’APHP un espace jusqu’ici inoccupé pour y cultiver des fleurs, en créant ainsi une activité insolite dans l’hôpital. 
Aujourd’hui, 85% des fleurs vendues en France sont importées, souvent de très loin, avec un bilan carbone déplorable. De plus, la filière horticole est souvent opaque sur ses pratiques : usage de pesticides et engrais chimiques, régulateurs de croissance, conservateurs, serres chauffées au fioul, circuit froid énergivore, … 
Notre rêve : retrouver des fleurs coupées porteuses de rêve et de sens, en développant un modèle de micro-ferme urbaine horticole, viable et réplicable. 
Ainsi, nos fleurs sont zéro-carbone, cultivées à la main, sans aucun produits chimiques et livrées à vélo.
Plein Air est la première ferme florale urbaine de Paris, située au pied du réservoir de Belleville, derrière le cimetière de Belleville. 1200m2, mis à disposition en 2017 par la Mairie de Paris dans le cadre de l’appel à projets Parisculteurs 1. Cet espace abrite aujourd’hui plus de 250 espèces de plantes à fleurs.

Paris 20ème — Depuis 2017
Sans pesticide, sans insecticide, sans engrais chimique, la méthode de culture employée par Plein Air allie biodynamie et utilisation des micro-organismes efficaces, pour une floriculture pleinement respectueuse de l’environnement. À la ferme, les nombreuses variétés sont soigneusement choisies pour leur beauté, leur parfum, leur durée de vie en vase et leur compatibilité avec le climat francilien, saison après saison. Cette sélection est d’une grande diversité, avec des dizaines de fleurs et feuillages en simultané. La récolte se fait dans le respect de la plante, pour encourager une floraison longue et abondante.

Une ferme parisienne à visiter
Découvrez la ferme avec notre guide audio ! Durant la saison, participez à une visite sonore guidée de la ferme florale parisienne. L’occasion de découvrir les aspects techniques de la floriculture urbaine et les enjeux, défis et beautés de la vie en plein air et en plein champ.
 
Promenade sonore de 20 minutes à travers la ferme, conçue avec l’artiste sonore Antoine Bertin.
12 personnes maximum par session. À l’entrée, vous serez équipé d’un lecteur et d’écouteurs à conduction osseuse (compatibles avec aides auditives). Attention, seule une partie de la ferme est accessible aux personnes à mobilité réduite et aux poussettes.
 
Il n’est malheureusement pas possible de visiter la ferme en dehors des dates de visites proposées, car l’équipe a besoin de se concentrer sur les nombreuses tâches quotidiennes au champ.

Ikebana au champ Atelier 3h
Une initiation à l’ikebana, l’art floral traditionnel japonais. Pendant cet atelier à la ferme, découvrez les principes de l’arrangement floral japonais. L’ikebana ???, littéralement “faire vivre les fleurs”, est une pratique très calme, faite d’observation et de patience, et qui, pour nous, commence par une récolte douce à travers champ. Le matériel nécessaire vous est prêté pendant l’atelier, vous repartirez avec vos fleurs pour pouvoir recréer votre composition chez vous.

2021, naissance de la nouvelle ferme florale.
En mai 2021, nous débutons l’installation d’une seconde ferme florale d’envergure aux Portes de Paris : plus d’un hectare en pleine terre. Nous louons cet espace au Département du Val de Marne pour y développer notre projet de ferme florale bas-carbone. 

La ferme florale du parc des Lilas à Vitry sur Seine.
La ferme florale de l’Hôpital Robert Debré Paris XIXe.

www.fermeflorale.paris

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Château Bellini

Des vignes à l’ombre d’un grand Chêne

Le Chateau Bellini à Brignoles.
Un rond-point, un dernier virage, et l’on pénètre dans une histoire. L’histoire d’un homme, l’histoire d’une famille. L’histoire de Tom Bove, seigneur en son royaume : le Chateau Bellini. De l’argile rouge entre ses doigts, un savoir-faire innovant, une détermination inébranlable, et voilà l’assemblage de ce propriétaire récoltant, amoureux passionné de la région varoise, qui accomplit des miracles : retourner des collines provençales pour transformer une terre à cailloux en un terroir d’exception et en tirer des vins remarquables.

Le portail à peine franchi, les vignes sont là, immédiatement de part et d’autre d’un chemin qui serpente jusqu’à la bastide. Celle-ci, entourée de ses bâtiments annexes, surgit, imposante, majestueuse. L’ocre doré des façades faites de pierres arrachées aux entrailles du domaine dès le Xème siècle, rayonne d’une lumière chaude…. Couleurs d’or aux nuances roses pour ces pierres, serties d’un paysage paisible fait de vignes et de forêts de chênes….

Un homme de passion
Nous pourrions parler évidemment, exclusivement, de vin comme l’ont déjà très bien fait, depuis longtemps, les plus fameux chroniqueurs œnologues. Laissons donc à ces spécialistes ce travail de spécialistes ! Car, au commencement, et bien avant le vin, il y a ce visionnaire, ce prophète, cet homme de passion, Tom Bove. Un business man avisé, américain d’origine italienne, qui n’a jamais hésité à prendre les risques que lui impose son tempérament audacieux, et dont le but est de transformer ses ambitions en réussites, ses rêves en réalités.

Toute une histoire
Arrivé des Etats-Unis, c’est en 1992 qu’il a un coup de foudre pour le vieux domaine varois, Château Miraval, il l’achète aussitôt avec le dessein d’en faire une maison familiale où il fera bon vivre, loin de l’agitation des grandes métropoles et de la fureur du monde.
Mais il est très vite ensorcelé par ce domaine, piqué du désir de créer son propre vin, et grisé par le plaisir du « wine business ». Quand il se lance dans l’aventure, il ignore que ce n’est là qu’un début ! Le succès appelle le succès. Et au fil des années, devenu un authentique « winemaker », c’est une dizaine de domaines que Tom Bove achète, réinvente, puis revend dès qu’ils sont lancés sur la voie de la réussite ! Le Miraval sera le 1er domaine à être revendu en 2007, à d’autres américains, le célèbre couple Angélina Jolie et Brad Pitt.

Le temps ne compte pas
Vingt-cinq ans se passent, et ces domaines vont ressusciter un à un entre les mains de Tom Bove. En vigneron entreprenant autant qu’imaginatif, il bouscule les habitudes et le fatalisme qui ont condamné de vieux vignobles à une lente agonie ou plutôt un endormissement. Il en sera ainsi des domaines de Saint-Jean de Villecroze, Lajoux, La Bergerie d’Aquino, Bomont de Cormeil, et La Mascaronne (agrandie d’une partie de la Bernarde).

Le Château Bellini avec ses 35ha de Coteaux Varois en Provence, va naître !
C’est en 2016 enfin que Tom Bove fait l’acquisition du Domaine de Fontlade, qu’il rattache au Domaine de Mira Luna, en sa possession depuis de longues années, et produisant un rosé de gastronomie, Le Mira Luna, assemblage de Syrah et de Mourvèdre.
Des ceps de vignes sont sélectionnés et plantés, avec le plus grand soin pour une reconversion en bio. Et de nouveaux cépages, tel le roll, le grenache blanc ou le sémillon, vont plonger leurs racines dans le rouge de ce sol d’argile et de calcaire. Sol indocile, encombré d’énormes roches qu’il faut extraire et concasser. Ces rochers ainsi fractionnés se transforment en pierres, les mêmes que celles utilisées dès le Xème siècle pour la construction de la bastide, puis aujourd’hui, en murets de restanques.

Un avenir prometteur
Le vignoble ainsi créé, le Château Bellini se prépare maintenant à devenir également un lieu de réception haut de gamme. Des cuisines où tout est conçu pour servir une gastronomie inspirée. Une salle-à-manger à la fois intimiste et spectaculaire. Des chambres où le confort est imaginé dans les moindres détails. Des terrasses installées à l’extérieur qui permettent de choisir le meilleur endroit, selon l’heure du jour et de la saison, pour s’y attabler.

Et enfin, une ravissante petite chapelle qui sera consacrée afin de pouvoir y célébrer mariages et baptêmes ! ….
L’homme qui a transformé ses rêves en réalité, Tom Bove, promet maintenant pour que son bonheur soit total, de transformer nos rêves en réalité ! Et il met tout en œuvre pour cela, en esthète, en épicurien, en altruiste…
Tel un grand chêne à l’heure de l’angélus, il domine son domaine, et étend sur son vignoble une ombre allongée bienfaisante. Sans doute écoute-t-il murmurer dans la ramure des chênes environnants, un chant biblique venu du fond des siècles, les bénédictions divines du bonheur terrestre, La nourriture et le travail :
«J’ai donc loué la joie, parce qu’il n’y a de bonheur pour l’homme sous le soleil qu’à manger et à boire et à se réjouir ; c’est là ce qui doit l’accompagner au milieu de son travail, pendant les jours de vie que Dieu lui donne sous le soleil.» Ecclésiaste 8 :15

Catherine Paranque

Château Bellini
1484 RD79,
Route de Cabasse
83170 Brignoles, France
 +33 4 98 14 84 89

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DANI for ever

Didier Galibert rend un bel hommage pictural à la chanteuse Dani !

En hommage à la chanteuse et comédienne DANI, décédée le 18 juillet 2022, son amie et complice depuis toujours, Didier Galibert lui a consacré une première exposition intitulée DANI FOR EVER, lors de la remise du Gand Prix Littéraire de l’Afjet, le 16 octobre 2023 à LA BONNE FRANQUETTE, lieu mythique de Montmartre datant du XVIe siècle, halte prisée des impressionnistes et des postimpressionnistes.

Dès l’âge de 12 ans, Didier découvre le dessin quand ses parents l’inscrivent aux cours d’Edmond Mathis, peintre et professeur d’Art Plastique, dans son atelier situé rue du Pont de Caville à Mazamet. Dix années plus tard, après avoir quitté son Sud-ouest natal, il s’inscrit à l’Ecole Supérieure des Arts Appliqués Duperré, rue du Petit-Thouars à Paris, dans la catégorie Art Graphique et Composition Décorative, avant de devenir journaliste au sein des rubriques Culture, Loisirs & Bien-être dans la presse écrite grand public, puis auteur avec, entre autres, Johnny l’Hommage chez Larousse ou Pièges amoureux, en sortir aux éditions Trédaniel.

En 2022, il revient vers ses pinceaux et renoue avec ses premières amours : l’Art et la peinture. Dès lors, son univers créatif va s’enrichir d’une série de Portraits de stars et de Nus artistiques à la gouache aux couleurs  vives à l’image de son atypique parcours.

Les nombreux invités de ce Grand Prix Littéraire de l’Afjet ont pu contempler ses gouaches aux couleurs écatantes rendant un hommage plus que vivant à DANI qui a vécu durant quelques années à Montmartre et qui ne manquait pas de flâner dans le quartier des Abbesses. Lors de cette premières exposition Didier Galibert nous déclarait avec une certaine émotion : Le lieu de LA BONNE FRANQUETTE n’a pas été choisi par hasard car Dani aimait souvent se rendre à deux pas chez Marie-Rose Guarniéri, la joyeuse fondatrice de la librairie des Abbesses et, il y a quelques années, j’avais eu le plaisir d’interpréter en duo avec Dani la chanson « Quand ça t’arrange », sur la scène des Folies Bergère, accompagnés à la guitare par Jean-Félix Lalanne. Et après le concert nous étions allés faire la fête à La Bonne Franquette. Cette première exposition est donc pour moi un retour aux sources !.