Catégorie : La Lettre de l’Afjet

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Boucherit Nora nassira.boucherit@gmail.com

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En avant la musique

EXPOSITION EN AVANT LA MUSIQUE !
AU MUSÉE EN HERBE

Le Musée en Herbe et les producteurs du Syndicat national de l’édition phonographique se mettent au diapason pour célébrer 150 ans de musique enregistrée, avec l’exposition EN AVANT LA MUSIQUE !
Un voyage initiatique et interactif au cœur de la musique.

Dès leur arrivée au Musée en Herbe, les visiteurs font une entrée en fanfare et se retrouvent propulsés à la fin du XIXe siècle, en compagnie d’inventeurs visionnaires qui conçoivent d’étranges machines nous faisant rêver. Au milieu des cylindres et des phonographes, ils découvrent les tout premiers enregistrements, comme la voix de Gustave Eiffel lors de l’Exposition Universelle de 1889, et les premiers tourne-disques.

Une immersion dans l’univers du disque
Changement de refrain : Le XXe siècle est celui de l’industrialisation de la musique enregistrée qui s’installe dans l’espace domestique et se nomadise : Apparition du disque sous toutes ses formes, puis de la cassette et du CD. A travers la reconstitution de plusieurs scénettes, les visiteurs s’immergent dans l’univers du disque des années 20 aux années 80 et retrouvent de nombreuses pochettes emblématiques.

Une exposition adaptée pour tous les âges, de 3 à 103 ans
Quoi de plus évident pour le Musée en Herbe que de consacrer une exposition à la musique, ce langage universel facteur de lien social. On touche la corde sensible des petits et grands en les entrainant dans un studio d’enregistrement reconstitué par des experts passionnés avec une table de mixage qu’ils peuvent manipuler. Un plongeon dans les coulisses de la création musicale à travers des vidéos d’artistes en séances d’enregistrement.

Des musiques d’aujourd’hui et demain
Nous sommes à l’époque de la miniaturisation, de la diversification des modes d’enregistrement et d’écoute de musique. Le streaming cohabite avec le retour en force du vinyle ! L’acquisition de supports musicaux a fait place à un accès illimité aux répertoires du monde entier et à tous les styles musicaux grâce à des applications. De nombreuses manipulations autour du son et de la musique permettent au public de jouer avec leur voix et de « sampler » pour mieux appréhender l’innovation dans l’écoute et la production de la musique.

Un parcours artistique accessible à tous
Dans cette exposition, art et musique se côtoient : pochettes de vinyles réalisées par des artistes (Keith Haring, Salvador Dali, Invader, Joan Mirô, Pablo Picasso ou Victor Vasarely, etc.), sculpture des Daft Punk de Xavier Veilhan, œuvre musicale de Jean-Pierre Müller ou encore les « Mistape » de Djeff. Jeux de piste, parcours interactif et immersion musicale permettent d’aborder l’histoire de la musique enregistrée par le biais du jeu, du son et de l’humour.

Didier Galibert

Infos pratiques
En avant la Musique !

Exposition jusqu’au 21 mai 2023
Le Musée en Herbe – 23 rue de l’Arbre-Sec, 75001 Paris
Tél. : 01.40.67.97.66
Réservations en ligne sur www.musee-en-herbe.com
Métro : Les Halles – Chatelet – Louvre-Rivoli – Pont Neuf
Ouvert tous les jours de 10h00 à 19h00

 

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Voyager Léger

Voyager Léger ? Simple comme un savon de Marseille !

Aucune hésitation, mettez un savon de Marseille dans votre valise ou votre sac à dos. Si la savonnerie «Le Fer à Cheval» est la plus ancienne de Marseille, fondée en 1856, elle en est aussi la plus moderne. Elle colle à l’air du temps. 100% huile d’olive avec des packagings sobres, élégants et pratiques à emporter en voyage. Pourquoi le savon de Marseille ?
Recommandé par les dermatologues pour la peau ; reconnu par les écolos car biodégradable, végétal, antiallergique, mieux que les gels hydroalcooliques ; apprécié par tous les voyageurs.
En copeaux, liquide ou en cube il est multifonction : dentifrice, lessive, produit vaisselle, antiseptique, gel douche, démaquillant et… il respecte l’environnement.
Alors aucune hésitation, en cube petit ou gros, en copeaux ou liquide n’hésitez pas à en faire votre fidèle compagnon de route pour un maximum d’efficacité, et un minium d’encombrement et un coût imbattable !

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La Savonnerie

La Savonnerie, La table de Jérôme Caprin.

Ce n’est pas une savonnerie et ce n’est pas un acteur de série française ou américaine !
En effet, ce lieu fut une Savonnerie quant à Jérôme on le verrait plutôt en séducteur dans une bonne série. Son sourire irrésistible, son regard rieur, sa bienveillance ne sont pas étrangers à la fidélité de ses amis et de sa clientèle.
Jérôme a pourtant tenté les castings quand il était très jeune et c’est pour donner un coup de main à son frère, propriétaire d’une brasserie dans l’orléanais, que la cuisine est arrivée dans sa vie.
Il prend donc le chemin de l’apprentissage et va donner libre court à sa créativité, à son instinct, à son gré. Il ne lâche rien et veut aller toujours plus loin dans ses découvertes, ses créations… il va là où son instinct le mène. Comment définir la signature culinaire de Jérôme ?  Un cocktail de tous ses acquis au travers de ses expériences. Expériences éclectiques qui se conjuguent depuis les brasseries jusqu’aux trois étoiles et … tout son parcours se fait dans la bonne humeur avec un sourire qui ne le quitte jamais, enfin presque !
Alors que peut-on dire de sa signature culinaire ? Instinctive, au gré du jour et du marché, une cuisine décomplexée qui laisse libre court à son humeur. II lâche le traditionnel pour le retrouver, il ose des accords insolites, comme le café et les champignons ou le carré d’agneau en croute d’herbes.
«Ma cuisine est celle qui me plait sans chercher à gagner quoi que ce soit. Elle varie et joue sur plusieurs terrains selon les jours. Je passe par des périodes de grandes simplicité, d’originalité, d’invention, de création, d’essai. Ma signature est plurielle.»

A l’heure de l’apéritif «after work» un choix de tapas, là aussi selon ses envies. Un moment convivial où l’on se retrouve entre amis pour oublier la journée. Jérôme slalome entre les tables pour quelques mots à chacun. L’heure des tapas, un pur moment d’amitié et d’ambiance joyeuse. Les dîners intimistes les soirs d’hiver et aussi une salle privée, idéale pour les réunions, les repas d’affaires, les anniversaires ou tout autre prétexte festif.

Partager un moment gourmand chez Jérôme, un privilège rare car protégé d’un côté par l’Abbaye de Saint Victor, de l’autre le vieux port qui incite aux voyages et aux découvertes et bien sûr la «bonne mère» qui veille tout en haut.

Une adresse incontournable. Réservation recommandée.

La Savonnerie, La Table de Jérôme Caprin
7 place Saint Victor – 13007 Marseille

04 91 81 53 68.
Déjeuner : 25/32€
Dîner : 50/60€
Tapas : partir de 8€

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Le Koï au Couvent

Le Koï au couvent, une cuisine bistronomique dans un cadre insolite : un ancien couvent du XVe au cœur de la vielle ville de Toulon. Deux raisons pour aller partager un délicieux moment : un lieu méconnu de la vieille ville pleine de charme et un décor inattendu entre colonnades de bronze, vieilles pierres, un lieu où antiquité et modernité se répondent. Le poisson, comme emblème symbolique donnant le ton : générosité, partage et nourriture.

Une excellente adresse pour conjuguer les arts car à deux pas de l’Opéra.

Le KOÏ
31 Rue Larmodieu – 83000 Toulon
Ouvert du mardi au samedi, midi et soir
Tél : 04 94 09 44 45
Site web : www.lekoiaucouvent.com
Parking : Peiresc ou place d’Armes. Accès PMR

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Restaurant Elmer

Simon Horwitz, un jeune chef qui a déjà fait ses preuves au travers d’un parcours très diversifié. L’Asie, l’Amérique du sud, Pierre Gagnaire ou l’Oustaou de Baumanière, Simon a vécu des expériences incroyables qui lui ont donné le goût de «combinaisons et de conjugaisons» de produits nobles, de styles et de saveurs. Une priorité : les produits locaux, les circuits courts, les cuissons simples et naturelles. Simon Horwitz aime créer, innover et surtout aller toujours plus loin et faire toujours mieux.  En cette année nouvelle, «le comptoir» va proposer une expérience gustative unique en 6 étapes. Et déjà «La Table du chef» table d’hôtes privatisée pour 16 personnes, juste face à la cave à vin. Des expériences à explorer.

Simon a créé un lieu à plusieurs espaces dédiés, selon l’envie. La salle est  aérée avec de beaux volumes, la cuisine ouverte et la rôtissoire donnent le ton : ici on partage tout. Simon réhabilite le panais, le topinambour ou le hareng qu’il «gastronomise» avec bonheur pour les papilles. Ses jus… acidulés ? Une véritable signature.

Pourquoi le nom Elmer ? Un prénom adopté aux USA au XIXe qui vient de deux racines de vieil anglais : Aethel qui signifie Noble et Maer qui signifie Fameux. Bien choisit ce nom pour un restaurant qui propose des produits Nobles et les transforme en mets Fameux. Qui dit mieux ?

Elmer
30 rue de Nazareth – 75003 Paris
+33 1 43 56 22 95
https://elmer-restaurant.fr

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Le jeu de 52 cartes

Le saviez-vous ? On en apprend tous les jours !
Saviez-vous que le jeu de 52 cartes serait basé sur l’ancien calendrier lunaire égyptien ou selon certains sur le calendrier grégorien ?

Les cartes à jouer existent depuis le 1er siècle après J-C. C’est en Chine que l’on en trouve l’origine. Les cartes n’étaient alors pas un jeu pas plus qu’un divertissement, mais un moyen de prédiction. Il faudra attendre la fin du XIVe siècle pour voir apparaître les cartes chez nous via des marchands venus de Turquie. 

Rendons à César ce qui est …
C’est à la France, aux français, que l’on doit le jeu de carte sous sa forme actuelle, utilisée dans le monde entier. Tout a été calculé avec de bonnes raisons que l’on peut expliquer :

52 cartes                               52 semaines, une année.
12 figures                               12 mois de l’année
4 couleurs                               4 saisons
13 cartes par couleurs          13 semaines par saison
365 points                               365 jours par an

C’est aussi aux français que l’on doit les enseignes : trèfle, carreau, cœur, pique, qui avant étaient des feuilles, des épées, des bâtons, des cloches. Et aussi la reine qui est venue en remplacement du Cavalier, qui lui est toujours dans le jeu de tarot.

Et encore, rendons à… Napoléon l’uniformatisation des figurines en hommage à des souverains :
Roi de Carreau           :           Jules César
Roi de Trèfle               :           Alexandre le Grand
Roi de Pique               :           Le roi David
Roi de Cœur               :           Charlemagne             

Les cartes ? Prédiction et calendrier agricole
Le jeu de cartes aurait servi, outre la prédiction, de calendrier agricole. Il renseignait sur les semaines et les saisons.

Chaque nouvelle saison commençait par :
La semaine du roi, puis la semaine de la reine, puis du valet et ainsi de suite jusqu’à la semaine de l’AS. (1)
La semaine de l’AS marquait le changement de saison.
La nouvelle saison commençait avec une nouvelle couleur.