Jour : 4 juin 2024

Journalistes

Bambouseraie

Un Été au cœur de la bambouseraie des cévennes

La Bambouseraie en Cévennes va célébrer les saisons à travers des animations, des concerts et des rencontres sur la nature qui nous entoure.

Premier rendez-vous estival avec les Pousses du Bamboo Orchestra le 2 juin suivi le 8 juin d’une séance de sophrologie.

Un Été en fête
Le 22 juin, que le fête commence. Tout va être possible avec des ateliers sur la biodiversité, une dégustation de recettes à base de pousses de bambous réalisées par les élèves du Lycée Hôtelier Marie Curie et un concert du Quatuor à cuivres de l’Orchestre de Montpellier pour les amateurs de grandes musiques.
3 rendez-vous à ne pas manquer en juillet : Le 7 Tanabata, la fête des étoiles au Japon, les 24 et 27 juillet, le cinéma au cœur du parc.
14 août, cinéma aussi et encore au cœur du parc.

Fin d’un été, bonjour l’automne
Culture et art avec la journée des peintres le 22 septembre, le 13 octobre, honneur à la nature avec la journée des plantes.

La Fête de l’automne le 31 octobre
Son dernier rendez-vous aura lieu le 17 novembre. Des rendez-vous, un hommage à Erik Borja, créateur du vallon du Dragon

La Bambouseraie en Cévennes :
Un lieu unique, un écrin de verdure où la nature est célébrée à chaque instant. Plus de mille variétés issues des 4 coins du monde sont à découvrir. Bambous, arbres remarquables, fleurs et plantes rares vous attendent pour un voyage magique.
A la Bambouseraie, vous n’aurez pas fini de parcourir le monde.

BAMBOUSERAIE DE PRAFRANCE
552 RUE DE MONTSAUVE
30140 GENERARGUES
www.bambouseraie.fr 
04 66 61 70 47

Contact presse :
M-Christine Linage
 c.linage@bambouseraie.fr 
04 66 61 73 49
 

Journalistes

Étoiles du Nord

Des chiffres incroyables
13 000 dessins sont étudiés, identifiés attribués et rendus accessibles au public. Huit cent soixante-trois feuilles pour la collection de dessins des écoles du Nord au musée des beaux-arts d’Orléans. Un trésor incontestable.

Une première, ce catalogue des dessins nordiques. Découverte insolite et incroyable d’une collection méconnue. Exceptées la dizaine d’œuvres maitresses : Rubens, Jordaens, Lievens, et Goltzius.
C’est Frits Lugt (1884-1970) qui avait perçu et compris l’importance de ces œuvres lors d’une visite en 1927. Déjà en 1949 un catalogue de dessins flamands a existé mais ne fut jamais publié. Pourtant cette découverte était impressionnante avec ses 150 des plus beaux dessins hollandais, flamands, allemands et suisse de ce fonds orléanais.

Orléans, une université rayonnante
Une université de droit qui entretient des liens privilégiés avec l’Europe septentrionale.
Au XVIIé les étudiants affluaient des pays de Saint Empire romain germanique, des provinces-unies de Scandinavie. La Loire qui véhicule dans la cité ligérienne, marchands, artistes et marchandises depuis les Pays-Bas. Des liens se sont créés entre les artistes nordiques et les locaux. Aignan Thomas Desfriches se prend de passion pour ces écoles et sucite une émulation profitable au musée lorsqu’à sa fondation, en 1823_1825 les orléanais donneront leurs collections pour réunir et créer les premières collections.

Un parcours découverte
Au travers de ce moment dans le musée, l’histoire des collections orléanaises se concrétisent. Une balade au cœur de la vaste Europe Centrale et septentrionale. Au travers des dessins on voyage de la Suisse à la mer d Nord au cœur de la Renaissance au XIXe, aux Pays-Bas du XVIe.
Des artistes marqués par la manière italienne, par exemple : Jan Swart van Groningen, Jan van der Straet (dit Stradanus), Crispijn van den Broeck, Anthonie Blocklandt van Montfoort, Lambert Lombard, Hendrick Goltzius ou Dirk de Vries. 

Jacob Jordaens (Anvers, 1593 – Anvers, 1678), Le Mariage de Pélée et Théthis, Plume et encre brune, pierre noire, aquarelle, sanguine et rehauts de gouache blanche, 29,2 x 50 cm, Inv. 1716
Hendrick Goltzius (Muhlbrecht, 1558 – Haarlem, 1616), La Tentation du Christ, 1594, Plume et encre brune, 29,2 x 20 cm, Inv. DE.1825..B

L’âge d’or hollandais s’affiche
C’est dans toute sa diversité que l’école hollandaise se déploie avec, d’un côté
Les peintres d’histoire : Jan Pynas, Jacob Backer, Cornelis Bega, Govert Flinck, Floris van Schooten.
Les peintres de genre : Pieter Quast, Cornelis Dusart, Harmen Ter Borch
Les paysagistes : Jan van Aken, Joris van der Hagen, Valentin Klotz, Josua de Grave…
Pour le siècle de Rubens, autour d’une feuille du maître sont réunies des productions de son vaste atelier anversois.

Contact presse
Agence Alambert communication
Lou Lauzely
01 48 87 70 77
lou@alambert.com
Helène Jacquemin
06 24 70 23 15
helene@alambert.com

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Virebent

Le charme discret du talent.

Virebent, un héritage, un savoir-faire, une qualité. Un brevet déposé en 1831 qui va révolutionner la fabrication de briques et permettre de créer facilement corniches et cariatides.
Grace à un procédé associé aux moules à pièces, une façade d’immeuble peut être livrée en un mois.

Virebent, Une dynastie talentueuse et créative
Prosper, Sylvain, Auguste, Victor, un quatuor qui a su mettre en commun les talents de chacun. Prosper et Sylvain à la gestion financière, matérielle et administrative de la briqueterie. Auguste, architecte, créateur d’une usine artistique de céramique. Victor, avocat gérait les contentieux. Ils vont reconstruire le Château de Launaguet sur les ruines d’un ancien manoir. Cet édifice témoigne du travail que l’on peut exécuter avec la terre cuite. François cinquième frère est resté en retrait.

Une invention avant-gardiste
Auguste Virebent obtient le 18 juillet 1831 un brevet d’invention pour des procédés techniques tout à fait nouveaux. En effet, jusqu’au XIXe siècle (environ 1830), on façonna la brique selon les mêmes procédés que la brique romaine. Les presses mises au point par Virebent ont révolutionné l’artisanat de la brique en lui donnant une dimension industrielle.
Auguste inventera aussi la « plinthotomie » sorte de machine emporte-pièce pour découper sur la terre humide des formes variées. En 1845, 100 000 pièces par an sortaient de la briqueterie.

Une succession filiale
A la mort d’Auguste, Sylvain et Prosper continue à faire vivre la briqueterie devenue une véritable manufacture. Gaston le fils D’Auguste parti étudier l’émail à Paris rejoint cette équipe gagnante et y travaillera jusqu’à sa mort en 1925. L’un des fils de Gaston a continué à faire vivre la manufacture et la fabrique de Miremont.

Une autre façon de travailler
Ces inventions sont à l’origine de l’industrialisation du travail de la terre cuite et de la briqueterie. Un progrès incroyable. Les machines utilisées de nos jours sont très proches de celles mises au point par Auguste Virebent. Mais aujourd’hui les briques sont désormais réalisées par des filières plus rapides.
Quant aux presses, elles sont toujours utilisées, mais la recherche de qualité de la terre est négligée.
En effet, la brique actuelle n’a pas la finesse du produit bon marché qui constituait la masse invisible de la brique Virebent.
L’accent semble désormais se porter sur les caractéristiques mécaniques au détriment de la finesse du produit.

Une adaptation réussie
Connaissance, savoir-faire, recherche permanente perdurent et la qualité est toujours là.
Virebent travaille le gré, la porcelaine, la faïence avec une maîtrise unique et incontestée.
Un travail de recherche sur la cuisson, les émaux, la fabrication et toujours la recherche de nouveaux process.

Mairie de Launaguet
95 chemin des Combes
31140 Launaguet
05 61 74 07 16
courrier@mairie-launaguet.fr