Auteur/autrice : Daniel FASSINO

Journalistes

Auvergne Rhône Alpes Le PAL

Le PAL, 1er site de loisirs de la région Auvergne Rhône-Alpes ouvrira ses portes le 8 avril et fêtera ses 50 ans.

Samedi 8 avril : Ré ouverture du PAL
Un vent de folie souffle sur le parc cette année,
Les champignons fous débarquent au PAL et invitent le public à une poursuite effrénée à bord de véhicules …
Le parc qui fête ses 50 ans, continue de se démarquer : il est le seul en France, à proposer attractions, animaux et hébergements. Avec 695 000 visiteurs lors de la saison 2022 dans un département, l’Allier qui compte 300 000 habitants, le parc familial démontre sa forte attractivité. Et ce n’est pas fini, 2024 sera l’année de tous les investissements !

Un demi-siècle déjà !

Du haut de ses 50 ans, Le PAL peut s’enorgueillir d’être le plus ancien de France. L’entreprise qui n’a pas succombé aux sirènes des grands groupes, est fière d’être restée dans le giron familial. En effet, le parc a été créé par André Charbonnier, dont les parents exploitaient des terres agricoles sur le lieu-dit Le PAL.

Amoureux de la nature et des animaux, André vend son entreprise et réalise son rêve. En 1973, «les jeux sont faits», il crée une réserve animalière sur les terrains de ses parents. A la fin des années 80, il installe manèges, balançoires, petit train, tourniquets …
L’idée était géniale, le succès fut immédiat.

En 1989, Arnaud Bennet, son gendre, reprend les rênes du Parc qui poursuit son ascension. Aujourd’hui, Le PAL propose 30 attractions, 1000 animaux, 31 lodges et 60 suites au Savana RESERVE. Sa personnalité à triple facette est unique en France.
Lors de la saison 2022 (6 mois d’ouverture) 695 000 visiteurs sont venus se divertir, découvrir les espèces animales. Un défi pour un parc qui est ancré en Auvergne, sur un département l’Allier, qui compte 300 000 habitants !

►Pour marquer ce 50ème anniversaire, le Parc à mis en place une signalétique amusante, les mascottes du parc déambuleront dans les allées à la rencontre du public, des jeux sur les réseaux sociaux animeront la saison 2023.

Nouveauté 2023 Champi’Folies
A découvrir dès le samedi 29 avril 2023
Ils sont orangés, ronds, leurs yeux sont écarquillés, plutôt mignons, pas très malins et très envahis- sants… les champignons sont les acteurs de cette nouvelle attraction qui allie technologies avancées et gameplay pour petits et grands.
Ce nouveau «Dark Ride interactif» embarque les visiteurs à bord de voitures à 6 places qui les transporteront de la campagne à la ville.
L’histoire : chassés de leur forêt par la pollution industrielle, les champignons stressés se multiplient à une vitesse effrénée, s’approchent de la ville et menacent de l’envahir. Les visiteurs ont pour mission de mettre fin à cette folle reproduction des champignons …
Pour mettre un terme à cette spectaculaire invasion, les passagers doivent tirer sur les champignons avec leurs guns ce qui a pour effet de les emprisonner dans des blocs de glace et de les faire disparaître. Les visiteurs circulent d’une scène à l’autre, dotées d’écrans de 4 m x2.5m.

Voici une aventure pleine de rebondissements à partager en famille ou entre amis, où chacun peut mesurer son adresse, évaluée par des scores individuels

Coût de cette attraction familiale multimédia immersive : 3 millions d’euros. Horizon 2024, Le PAL a déjà lancé des travaux de création d’un village
nordique inspiré de la Finlande avec îles, lac et radeaux en rondins de bois, maisonnettes colorées, ainsi qu’un « roller coaster » ( montagnes russes aquatiques), qui sera la plus grosse attraction du site depuis sa création

Ouverture du Parc :
8 avril au 1er octobre 2023 inclus
Entrée adultes et enfants à partir de 10 ans : 34 € euros. Enfants moins de 10 ans : 29 euros.
Enfants de moins d’un mètre : gratuit.

50 ha de nature, 31 attractions, 1000 animaux, 31 lodges africains, 60 suites au cœur de la savane africaine.

Journalistes

ND de la Garde

Le musée de Notre-Dame de la Garde a réouvert en décembre 2022 à l’occasion d’une exposition sur Noël en Provence, qui retrace les 800 ans d’histoire de la Bonne Mère, sur un espace de 350 m². Outre les très belles collections d’ex-voto et d’objet du culte que l’on peut admirer, on y comprend le formidable attachement des Marseillais pour leur « Bonne Mère ». Plusieurs thématiques réparties en séquences successives, nous
emmènent dans un cheminement de pèlerinage et d’élévation à l’image de nos anciens.

Qu’est ce qu’on y trouve ?
Le musée a été inauguré en 2013. Son parcours propose la découverte du pèlerinage à Notre-Dame de la Garde au fil des siècles, puis les origines du
sanctuaire, et enfin sa reconstruction au milieu du XIXe siècle. Tout cela est illustré de documents anciens (y compris audiovisuels), d’ex-votos et d’oeuvres
majeures offertes à la basilique par de grandes familles, notamment une Annonciation en faïence de l’atelier florentin des Della Robbia (début du XVIe
siècle), un buste de la Mater Dolorosa de Jean-Baptiste Carpeaux (le plus grand sculpteur français du Second Empire), le modèle de la Vierge à l’Enfant de Cortot
pour la statue d’argent du Maître-Autel…
Par ailleurs, le musée accueillera désormais 2 expositions thématiques par an, l’une durant les mois d’été, l’autre autour des fêtes de fin d’année. Actuellement,
l’exposition « Noël en Provence » (en partenariat avec le Musée de Château-Gombert) est prolongée jusqu’au printemps prochain et l’expo de l’été prochain
portera sur le Saint-Suaire de Turin, complétée par des oeuvres sur le thème de la Passion du Christ et de la Mater Dolorosa. »

Télécharger le fichier Musée ND de la Garde

Journalistes

New en Provence

Picasso en Provence.

ARLES-CAMARGUE
« Comment supposez-vous que je puisse peindre sans joie ? ».

Sa passion d’Andalou pour la corrida et la présence obsédante de Vincent Van Gogh conduisent souvent l’artiste à Arles, en Camargue et dans les Alpilles.

Musée Reattu : Collection de 57 dessins donnés par Picasso, deux ans avant sa mort.
www.museereattu.arles.fr/pablo-picasso.html

 

LES BAUX-DE-PROVENCE – ALPILLES
 « Mais arriver à dire. Voilà ce que je veux. ». En 1959, à la demande de son ami Jean Cocteau, Picasso interprète le rôle du peintre du Testament d’Orphée dans les carrières géantes taillées dans les roches des Alpilles. Elles accueillent les premiers spectacles immersifs.

Carrières de Lumière, Baux-de-Provence
De Vermeer à Van Gogh : les Maîtres hollandais, Mondrian, l’architecte des couleurs [24 janvier 2023 – Janvier 2024]
Toute une année pour programmer un détour via les carrières de Lumière.
www.carrieres-lumieres.com

AVIGNON
« Je ne cherche pas, je trouve ». Picasso passe l’été 1914 à Avignon près de ses amis Braque et Derain.

Au musée Angladon, la collection Jacques Doucet abrite entre autres son Arlequin.

Musée Angladon, Collection permanente [1er février – 31 décembre 2023]
angladon.com

 

Et à ne rater sous aucun prétexte : Les Rencontres de la Photographie d’Arles.
« Must-see » incontournable au monde de la photo, nombreuses expositions, des événements, notamment dans la nouvelle Fondation Luma-Arles signée par l’architecte Franck Gehry. [3 juillet – 24 septembre 2023]

www.rencontres-arles.com

Journalistes

Phalanstère, familistère

Du Phalanstère de Fourier au Familistère de Guise : lecture en Utopie !

Des noms inhabituels, et pourtant des expériences sociales intéressantes.
Alors le phalanstère, c’est quoi, ou plutôt c’était quoi ?

Un regroupement d’habitats pour la vie harmonieuse d’une communauté. Une véritable petite cité dans laquelle chacun apportait ses compétences au service de tous. Partage qui pouvait aller jusqu’au partage des ressources. Utopie pourrait-on dire. C’est Charles Fourier- 1772-1837- qui a eu cette « folle » idée.

Et le familistère ? Idée reprise par Jean-Baptiste André Godin qui conjugua les mots famille et phalanstère. L’idée s’étoffe avec non seulement la vie communautaire mais des magasins coopératifs, des salles communes, et tous les services nécessaires à la vie quotidienne.

A croire que Charles Fourier et André Godin étaient de grands idéalistes et de grands visionnaires !

Le phalanstère, une philosophie sociale
Pour Fourier, l’homme est mû par douze passions :

Cinq sensitives qui se rapportent aux cinq sens,
Quatre affectives qui assurent les rapports entre individus (l’amitié dans l’enfance, l’amour dans l’adolescence, l’ambition dans la maturité, le « familisme », c’est-à-dire le sens de la famille, dans la vieillesse),
Trois enfin distributives qui sont fondamentales, et assure le lien sociétal : la passion d’intrigue, de rivalité, qu’il appelle la cabaliste, ou contrastante ; la passion opposée, qui pousse à l’accord et à la coopération – la composite, ou exaltante ; enfin la passion de la diversité et du changement, qu’il dénomme joliment la papillonne, ou alternante.

Toutes ces passions étant synthétisées par une treizième, l’harmonique.

«Si le phalanstère est bien une communauté, il ne prétend pas à instaurer l’égalité : il est ouvert aux riches et aux pauvres, qui, répartis en cinq classes, peuvent y vivre selon leurs moyens, dans des pièces plus ou moins grandes, en prenant des repas plus ou moins raffinés, un peu comme feraient les clients d’un hôtel qui comporterait plusieurs tarifs et plusieurs catégories de régimes. L’inégalité, pour Fourier, «entre dans le plan de Dieu». Mais, en offrant à tous les mêmes services collectifs sous le même toit, le phalanstère vise à rapprocher les esprits et les cœurs.»

(extraits du site : La Colonie de Condé-sur-Vesgre)

Un détour dans le nord de la France

A quelques encablures de la Belgique et de Paris, Guise mérite le détour. Non seulement pour son patrimoine architectural, pour les bords de l’Oise, pour sa quiétude……… et surtout pour « son Palais Social », beaucoup plus joli comme appellation que « cité ouvrière ».

Aujourd’hui entrée dans le Domaine public, la cité de Guise est devenue musée. Une visite incroyable.

Le phalanstère de Fournier, avant-gardiste, était considéré comme un hôtel coopératif. 400 familles y vivaient, cultivaient, travaillaient pour le bien de la communauté.

Ce concept a trouvé écho jusqu’aux Etats-Unis au XIXe.

Un arrêt à Condé-sur-Vesgre.
Inspirée à ses débuts des théories de Charles Fourier et rare représentante d’un projet de « phalanstère », « la Colonie » a connu diverses métamorphoses et a traversé les siècles. Elle offre aujourd’hui un cadre d’étude intéressante à tous les férus de l’histoire des premiers socialismes et organise régulièrement des colloques. Une véritable résidence partagée.

Le Bâtiment principal de « la Colonie » de Condé-sur-Vesgre. Le palais social.

La Colonie
Route de la Chesnaye, 78113 Condé/Vesgre
contact@la-colonie.org
Tél  : 06 62 71 90 35

La Cité Familistère
«Jean-Baptiste André Godin nommera sa cité « Familistère » par analogie avec phalanstère mais aussi pour l’en distinguer. Le Familistère est industriel : il s’élève non pas à la campagne mais dans les faubourgs d’une ville, à proximité de la manufacture qui emploie les travailleurs. Les 500 appartements du Familistère hébergent 1 500 à 2 000 personnes. Le système de cours et de coursives du Palais social transpose de façon originale la rue-galerie du Phalanstère : les atriums vitrés des grands hôtels parisiens sont toutefois pour Godin une référence aussi importante que celle de la rue-galerie fouriériste. Le belvédère du pavillon central et la place du Familistère sont bien sûr des « citations » de la tour d’ordre et de la place du phalanstère. Par contre, le groupe formé par les écoles et le théâtre du Familistère est parfaitement inédit.»

« Ce n’est plus à bâtir le taudis du prolétaire, la maison du bourgeois, l’hôtel de l’agioteur ou du marquis. C’est le Palais où l’HOMME doit loger. Il faut le construire avec art, ensemble et prévoyance ; il faut qu’il renferme des appartements somptueux et des chambres modestes, pour que chacun puisse s’y caser suivant ses goûts et sa fortune ; puis il y faut distribuer des ateliers pour tous les travaux, des salles pour toutes les fonctions d’industries ou de plaisir. »
Victor Considerant, Description du Phalanstère, 1848.

La cité Familistère
Place du familistère – 02120 Guise
03 23 61 35 36
accueil@familistere.com

Journalistes

Street art à Saint Ouen

Street art à Saint Ouen

Courrez-y car cette expo «Urban Paris» se terminera le 28 février.

Les stars du Street-art investissent l’ancienne patinoire de Saint Ouen pour offrir aux amateurs une expo incroyable. Ils seront 35 à être présents dont Bansky, Invider, Obey………

Des ateliers, des workshops, des showcases tout à fait exclusifs. Ajoutez à cela un bar, des concerts de rap et d’électro et la boutique pour offrir ou garder pour soi un souvenir de cette expo. Flâner, regarder, écouter, participer aux ateliers, voilà une sortie pleine de surprise et un grand moment de plaisir.

Ce tout nouveau spot arty et éphémère se veut être une passerelle entre l’art contemporain et l’art urbain, pour une parenthèse colorée et décalée. Alors profitez en sans modération.