Auteur/autrice : Didier GALIBERT

Journalistes

Mas de Marie

Nuits magiques et historiques en Occitanie
au Mas de Marie !

En plein cœur du pays de Cocagne, au milieu d’un immense parc avec une jolie piscine bordée de cyprès et de lauriers roses, Le Mas de Marie est une maison Lauragaise du XVIIIe siècle restaurée en maison d’hôtes.

Des chambres personnalisées de L’Orchidée aux Iris
A seulement 3 minutes en voiture de Lavaur, mais aussi à 45 minutes de Toulouse, Albi et Castres, Le Mas de Marie est en parfaite adéquation avec un séjour reposant. Si vous préférez lézarder sur la plage ou faire des randonnées, pas de panique ! Carcassonne n’est pas très loin, et la mer et la montagne ne sont qu’à deux heures de route seulement.

Restauré en maison d’hôtes, Le Mas de Marie dispose de quatre chambres, dans le respect de la construction authentique pierres et briques. Située au rez-de-chaussée, la chambre « L’Orchidée » est une suite parentale spacieuse pour deux personnes comportant une salle de bain privative, avec double vasque, baignoire et WC. Au premier étage, la chambre « Les Pivoines » est une suite parentale cocooning pour deux personnes disposant d’une double orientation nord et sud avec sa fenêtre donnant sur le vaste jardin et son coucher de soleil apaisant. Toujours au premier étage, la chambre « Les Coquelicots » est une suite atypique pour deux personnes avec également une double orientation nord et sud. Quant à la chambre parentale « Les Roses et les Iris », c’est une suite familiale pouvant accueillir jusqu’à quatre personnes qui vous séduira par sa simplicité, son authenticité et son cachet naturel.

Un Gîte idéal pour une virée en famille
Sur un terrain de 16 000 m2 avec un bel espace piscine où il fait bon se reposer, vous apercevrez également le Gîte, une bâtisse de 97 m2 composée de deux chambres avec salle d’eau privée qui peut accueillir jusqu’à quatre personnes. Son aspect indépendant protège cette sphère privée du cocon familial. C’est un lieu idéal pour une virée en famille ! A seulement quelques minutes du Mas, la ville de Lavaur vous dévoile tout un patrimoine historique, culturel et sportif avec la cathédrale Saint-Alain et son Jacquemart, la tour des Rondes, la médiathèque Guiraude de Laurac ou les berges de l’Agout.

L’âme de ces lieux, Marie, est une personne charismatique qui s’occupe magnifiquement de son domaine. Sa passion de l’hospitalité se ressent dans chaque détail, du soin apporté à la décoration de chaque chambre jusqu’à la préparation de délicieux petits déjeuners faits maison. Les plus fins gourmets seront amplement rassasiés par les bons petits plats réalisés par Marie avec des produits du terroir. Du petit déjeuner à la planche gourmande jusqu’au menu du soir, elle saura réveiller vos papilles à tous moments.
Vous pouvez profiter également sur place d’un piano, d’une table de ping-pong, d’un set de badminton, d’une valise de pétanque et son terrain, d’une piscine, d’une balançoire, de jeux de sociétés… et de bien d’autres surprises pour passer de belles nuits magiques au Mas de Marie.

Didier Galibert

Infos pratiques
Le Mas de Marie
En Dominici
81500 Lavaur
Pour réserver votre chambre ou le gîte en direct
Tél : 06 84 35 17 42
E-mail : poteaujean@wanadoo.fr
Site : www.lemasdemarie.fr

Office de tourisme Tarn-Agout
Tél. : 05 63 41 89 50
www.tourisme-tarnagout.com

Journalistes

LE JOÜY

LE JOÜY tient toujours ses promesses… gourmandes !

Au cœur du troisième arrondissement parisien, LE JOÜY est un bistrot moderne construit comme un décor de théâtre. Mais c’est aussi un bar banché, une boîte à musique, une maison d’artistes… et surtout un restaurant distingué « Table Gourmande Toquée » par le Gault et Millau.

Deux belles terrasses loin de l’agitation des voitures

LE JOÜY, c’est d’abord un restaurant dirigé par Nicola Casties et Thomas Pastor qui qualifient avant tout leur établissement de « bistrot moderne ». Mais il suffit de se poser à l’une de ses tables pour découvrir une palette de produits frais ainsi qu’une cuisine de grand-mère revisitée par Nicola, le chef cuisinier. C’est avec plaisir que l’on s’y retrouve entre amis afin de partager un repas tout en se laissant guider par ces surprises aromatiques qui séduisent tous les palais.

Alors que l’été approche, loin de l’agitation des voitures, les belles terrasses estivales du JOÜY sont déjà de retour pour le bon plaisir des touristes et de ses fidèles habitués. Les habitants du quartier aiment bien se mélanger aux touristes de passage pour échanger le long de leurs deux belles terrasses des souvenirs de bonheur gustatif et convivial sans modération grâce à son excellent rapport qualité-prix.

Une « Table Gourmande Toquée » par le Gault & Millau

Mais LE JOÜY n’est pas simplement qu’un restaurant. C’est une petite galerie d’art qui expose des artistes magnifiquement mis en lumière dans cet endroit cosy et détonnant qui devient le rendez-vous des amoureux de l’Art sous toutes ses formes, mais c’est aussi un lieu hautement festif dans la grande salle : Au beau milieu, trône un magnifique piano quart de queue qui permet certains soirs, à des amis et musiciens invités, de caresser les touches blanches et noires de l’instrument sans faire trembler la tapisserie en toile de Joüy, d’où le restaurant porte son nom, et qui orne les murs décorés avec goût.

Si vous avez envie de fêter quelques évènements personnels ou professionnels, LE JOÜY peut louer à certaines dates sa grande salle tout comme sa galerie qui se transforment en lieu privé et festif par excellence le temps d’un moment éphémère et précieux.

On peut dire que LE JOÜY tient bien ses promesses gourmandes puisque, après avoir été distingué en 2023 par le Gault & Millau en tant que « Table Originale », il vient d’être reconnu « Table Gourmande Toquée » en 2024. C’est une fierté pour Nicola et Thomas, les deux sympathiques propriétaires, de voir leur travail ainsi récompensé.

Infos pratiques
Le JOÜY
Restaurant et Bar
10 rue Montgolfier
75003 Paris
Tél. : 01 45 68 99 86
lejouyparis3@gmail.com

Didier Galibert

Journalistes

Balades musicales

Balades musicales dans les Châteaux de la Loire
avec Roland Kern !

Artiste reconnu pour ses créations à la viole de gambe, Roland Kern est réputé pour nous faire voyager en musique dans des lieux prestigieux. Il nous promet déjà un mois de juin 2024 festif.

La musique voyage au fil du temps
En parallèle d’une enfance sportive qui l’a amené à devenir enseignant d’EPS, accompagnateur en moyenne montagne et doctorant en sciences de l’éducation, Roland Kern a, depuis l’âge de neuf ans, toujours joué de la musique.
Après avoir étudié les guitares classique et électrique pendant dix ans, notamment avec Cyril Achard, il a pratiqué la viole de gambe pendant douze ans au conservatoire d’Aix-en-Provence avec Sylvie Moquet, elle-même élève de Jordi Savall.
Dans le style baroque, à la basse de viole, au violone et au dessus, il a eu le plaisir d’accompagner une quinzaine d’ensembles baroques tels que l’Ensemble Baroque de Toulouse, la Chorale Universitaire de Montpellier, le Madrigal de Nimes
En parcourant la France avec sa viole de gambe,  Roland Kern fait voyager les sons au fil du temps et de ses passions. Il possède l’art de saisir l’âme de chacun de ses lieux de résidence qui donnent naissance chaque fois à un nouvel album afin de nous permettre de mieux découvrir sa musique, que ce soient, entre autres les Pyrénées, les Châteaux de la Loire ou l’Ardèche.

Viole de Gambe aux châteaux : la preuve par 5 !
Situé dans le val de Loire sur la commune de Saumur, dans le département de Maine-et-Loire, au confluent de la Loire et du Thouet le château de Saumur resplendit par son style Médiéval et Renaissance. Construit au cœur du plus grand parc forestier clos d’Europe et doté d’une architecture extraordinaire imaginée pour la gloire de François 1er, le château de Chambord est un monde à part, empli de mystères, où flotte l’esprit de Léonard de Vinci.

Elevé au XVIIe siècle, dans un style rigoureusement classique, le château de Cheverny a été une source d’inspiration d’Hergé dans les albums de Tintin qui en a fait le refuge de la Castafiore à Moulinsart. Le château de Talcy est un château Renaissance situé dans la ville du même nom. Il apparaît plutôt comme une « maison des champs » typique de la Beauce. Surnommé « le château des Muses », Talcy a été la source d’inspiration de grands poètes à commencer par Pierre de Ronsard. Situé à la sortie sud-est du parc de Chambord, dans la forêt domaniale de Boulogne, l’étang de Montperché apporte une touche aquatique dans cette vaste forêt.

Ce sont ces cinq lieux prestigieux que Roland Kern a élu pour ses balades musicales au son de sa Viole de Gambe du 9 au 23 juin 2024. Il ne pouvait pas trouver mieux pour faire vibrer cette véritable star de la musique qu’était la viole de gambe à la Renaissance et qu’il remet ainsi au goût du jour pour notre plus grand plaisir !

Infos pratiques
Le site de Roland Kern
Pour connaître la date et le lieu de ses concerts du 9 au 23 juin 2024 ou se procurer ses différents albums : www.rolandkern.com

Didier Galibert

 

Photos :
SAUMUR ©Sébastien Gaudard
ROLAND KERN ©Libre de droits
ROLAND KERN ©Michael Da Sylva
ROLAND KERN ©Patrick Mortain
COVER CD

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Princess Erika

Princess Erika : Je suis une artiste sans frontières !

En tant que chanteuse, mais aussi actrice, elle a conquis son public avec son franc-parler et sa bonne humeur. Elle nous revient aujourd’hui avec un nouvel album J’suis pas une Sainte qu’elle promène actuellement en tournée dans toute la France avant de l’immortaliser à Paris sur la scène du Café de la Danse.

De la chanson au cinéma en passant par le théâtre
Découverte en 1988 avec Trop de bla-bla, Princess Erika fait partie des ces chanteuses des années 90 qui ont gagné le cœur de millions de Français et dont les chansons restent gravées dans nos mémoires. Il est intéressant de préciser que cette même chanson, qui nous a permis de la découvrir, deviendra bien des années plus tard le slogan Zéro tracas, zéro bla-bla des publicités du groupe d’assurances MMA.
Cinq ans après son premier succès Princess Erika sera nommée aux Victoires de la Musique dans la catégorie « Révélation féminine » et en 1995 elle est propulsée dans le classement de tête des ventes françaises avec Faut qu’j’travaille, un nouveau succès hautement mérité.

Mais la chanteuse ne va pas s’arrêter là. C’est une femme multiple qui ne s’interdit rien. On a pu l’applaudir au théâtre dans Les monologues du vagin qu’elle interpréta sur scène avec deux autres comédiennes. Puis sur TF1, on la verra aux côtés de Laurent Ournac dans Camping Paradis, un programme qui réunissait en moyenne 7 millions de téléspectateurs à l’époque. Suite à ces passages à la télévision, Philippe Bouvard va lui proposer de rejoindre la bande des Grosses Têtes sur RTL où elle restera pendant trois ans pour le meilleur et pour le rire. L’année dernière, sur France 3 dans la mini-série policière Le meilleur d’entre nous, elle interprétait la mère de l’héroïne, un rôle qu’elle connaît bien puisque elle élève deux fils dans la vraie vie ! Et elle vient de se glisser dans la peau d’une migrante sur un bateau dans le très beau film Moi Capitaine de Matteo Garrone qui a été sélectionné comme meilleur film international aux Oscars 2024. Chanson, radio, télévision, cinéma, théâtre… Princess Erika est une artiste sans frontières.

La scène est un sport de haute volée
Ce n’est plus un secret, Princess Erika est l’une des premières femmes noires à avoir conquis l’esprit de millions de Français avec ses tubes, à avoir écrit des textes féministes, sur la violence dans le couple, bien avant le mouvement #MeToo.

Avant la musique, Princess Erika a été championne de France d’athlétisme en 1979, saut en longueur et course de haies. Mais ce n’est pas incompatible : la chanson est un sport de haute volée. C’est une course sans fin, il faut savoir tout donner sur scène ! Ses parents, camerounais, qui se sont rencontrés en France, étant très occupés, elle a été élevée par une grand-mère d’adoption, une missionnaire alsacienne, « une sainte » dit-elle, au moment de convoquer ses souvenirs. On la résume trop souvent à une artiste reggae. Ce n’est qu’un raccourci paresseux. Trop de bla-bla. Princess Erika a toujours aimé mêler les genres. Ses chansons ressemblent à sa collection de disques, elles sont multiples, hybrides, sans étiquette. Libres. Quitte à choisir, elle préfère être classée dans la variété. Le confinement ne lui a pas été néfaste. Elle a eu le temps d’écrire et le résultat est arrivé sans attendre.

Retour gagnant pour une Princesse
Son sixième album J’suis pas une Sainte, réalisé par Louis Ville, été enregistré à Saint-Maurice-sous-les-Côtes, dans la Meuse. Son titre J’suis pas une Sainte est une chanson sur les faux-semblants d’aujourd’hui. Tous ces gens qui se font passer pour ce qu’ils ne seront jamais, voilà le fil rouge de ce morceau imparable. Erika, elle, n’est donc qu’elle-même. Elle peut bien sûr jouer la comédie, le théâtre et le cinéma, elle connaît mais à l’heure de se dévoiler, elle préfère ne pas tricher : « Moi, je fais la fille carapacée mais dès que j’enlève la carapace, il y a un cœur, direct ! Il n’y a pas d’autres couches ». Voilà.

Les chansons de Princess Erika sont des voyages vers l’inconnu avec son imagination pour seul guide. Elle ose en tant qu’artiste tout ce que son cœur ose. C’est donc une chanteuse sans artifices qui promène actuellement son dernier disque en tournée dans toute la France et qui a déjà le cœur qui bat à l’approche de son retour gagnant parisien le 12 avril à 20h sur la scène du Café de la Danse

Infos pratiques
PRINCESS ERIKA EN CONCERT
Le 12 avril 2024 à 20h
Café de la Danse
5 Passage Louis-Philippe 75011 Paris
Réservations : 01 47 00 57 59
www.cafedeladanse.com

Photos : ©Maï Lucas – ©Ravaud Karlito – ©Carole Epinette

Journalistes

Voyage pictural dans le Tarn

Pierre Fabre : Voyage pictural dans le Tarn

Portrait de Pierre Fabre par Yan Pei-Ming

A l’occasion du 10e anniversaire du décès de leur fondateur visionnaire, les laboratoires Pierre Fabre s’associent au Musée Goya à Castres, au Musée du Pays de Cocagne à Lavaur et à la Cité de Sorèze, pour présenter pour la première fois au public, une sélection d’œuvres provenant de sa collection personnelle.

Visions plurielles d’un entrepreneur humaniste
En l’espace de six décennies, Pierre Fabre a marqué le Tarn et plus largement l’Occitanie de son empreinte de pharmacien et d’entrepreneur humaniste. Il est peu connu en revanche que Pierre Fabre a porté toute sa vie un très vif intérêt pour les artistes de sa région, qu’il a soutenu de nombreux projets de création et de culture et constitué au fil du temps une vaste collection d’œuvres d’art et d’objets anciens. Des natures mortes aux portraits, des portraits aux paysages, des paysages aux objets d’art, rien n’échappait à son insatiable curiosité.

C’est cette facette peu connue de l’homme que donne à découvrir l’exposition « Visions plurielles ». Elle retrace avec virtuosité ce qui animait Pierre Fabre : la puissance de la nature, les mystères de la pharmacie, la beauté des territoires et avant toute chose, la touche humaine.

Des touches de couleurs au pays du pastel
Cette exposition « Visions plurielles » pose un regard assez homogène sur l’art du paysage en France dans la première moitié du XXe siècle, débordant aux années 60 et plus rarement au-delà. Du Musée Goya à Castres à la Cité de Sorèze en passant par le Musée du Pays de Cocagne à Lavaur, vous pourrez contempler une multitude de morceaux choisis qui composent la collection personnelle de Pierre Fabre.
Le Portrait de femme aux Jonquilles de José Palmeiro, Arlequin à la mandoline et serin en cage de Georges Artemoff, Course hippique et Paysage de Fiesole de Yves Brayer, Le Moulin de la Galette de Roland Dubuc, mais aussi des peintures signées Bernard Buffet, Utrillo, André Lhote, Othon Friesz… et bien d’autres encore qui montrent à quel point Pierre Fabre était un collectionneur éclectique averti qui savait mettre à l’honneur aussi bien les artistes illustres que ceux en herbe de sa région.

Voilà pourquoi, l’Occitanie est fière de célébrer la mémoire de cet esthète qui a su apporter des touches de couleurs au pays du pastel comme autant de fenêtres ouvertes par les artistes sur le monde.

Didier Galibert

 Infos pratiques

A visiter
. Musée du Pays de Cocagne

1 rue Jouxaygues, 81500 Lavaur
Tél. : 05 63 58 56 55
Du 2 mars au 14 avril 2024

. Musée Goya
1 rue de l’Hôtel de ville, 81100 Castres
Tél. : 05 63 71 59 27
Du 14 mars au 9 juin 2024

. Cité de Sorèze
Rue Saint-Martin
81540 Sorèze
Tél. : 05 63 50 86 38
Du 8 juin au 6 octobre

A Lire
La collection Pierre Fabre
Visions plurielles
Format : 23 x 26 cm
Type : Relié
Editions Privat
192 pages, 29,50 €

Photos : © Vincent Boutin

 

Journalistes

Balanciaga

CRISTOBAL BALENCIAGA :
UNE SÉRIE TRÈS HAUTE COUTURE
TOURNÉE ENTRE L’ESPAGNE ET LA FRANCE

« Cristobal Balenciaga » la nouvelle série originale de Disney+ inspirée par la vie et l’œuvre du couturier espagnol, met en lumière la carrière flamboyante de l’un des plus iconiques créateurs de mode de tous les temps.

Le destin d’un espagnol à Paris
« Bien qu’il soit considéré par beaucoup comme le plus grand couturier de l’histoire, peu de figures du XXe siècle sont aussi secrètes que Cristobal Balenciaga. Il se laissait rarement photographier et l’accès à son atelier et à ses défilés était très restreint » déclare le trio de réalisateurs Aito Arregi, Jon Garafio et Jose Goenaga, à l’origine de cette série sur une idée de sa créatrice Lourdes Iglesias. « Cristobal Balenciaga » a été filmé sur 90 plateaux en Espagne, entre le Pays Basque, la Navarre et Madrid. Mais aussi en France, entre Paris, Bordeaux et Toulouse.

L’un des plus grands créateurs de mode de tous les temps
La série commence au moment précis où Cristobal Balenciaga présente sa première collection de Haute Couture parisienne en 1937. Il a laissé derrière lui la brillante carrière débutée dans ses ateliers de Madrid et de San Sebastian, où il habillait l’élite de la société espagnole. Mais les tenues qui lançaient les tendances en Espagne ne rencontrent pas le même succès à Paris, capitale de la mode et de la sophistication où Chanel, Dior et Givenchy sont les références en matière de Haute Couture. Guidé par le besoin obsessionnel de contrôler tous les aspects de sa vie, Cristobal Balenciaga va définir son style et devenir l’un des plus grands créateurs de mode de tous les temps.

Gabrielle Lazure dans le rôle de Carmel Snow
« Cristobal Balenciaga » compte sur une magnifique distribution d’acteurs et d’actrices internationaux, avec à leur tête Alberto San Juan dans le rôle de Cristobal Balenciaga, Anouk Grinberg dans celui de Coco Chanel, Nine D’Urso dans celui du mannequin Colette et Gabrielle Lazure dans celui de Carmel Snow, une célèbre journaliste de mode connue pour son travail au sein du magazine Harper’s Bazaar. C’est Carmel Snow qui a proclamé Cristobal Balenciaga « couturier du moment et du futur » et qui a baptisé « New Look » la plus célèbre collection du couturier Christian Dior. Gabrielle Lazure apparaît en Carmel Snow à deux moments forts de la série, à la fin des années quarante, puis vingt ans après à l’approche des années soixante.

Au fil de ses six épisodes, cette série de Disney+ nous montre avec une approche psychologique la grande importance que Balenciaga a eue et a encore aujourd’hui dans le monde de la mode.

Infos Pratiques
« CRISTOBAL BALENCIAGA » est disponible en exclusivité sur Disney+. Ce biopic de six épisodes, créé par la scénariste Lourdes Iglesias, entourée des trois réalisateurs Aitor Arregi, Jon Garano et Jose Mari Goenaga, s’inspire de la vie et de l’œuvre du célèbre couturier espagnol à partir de 1937, date à laquelle il a présenté sa première collection dans la capitale française. Photos ©David Herranz.

Didier Galibert