Catégorie : GRAND PRIX DU LIVRE

GRAND PRIX DU LIVRE

Remise du prix 2023

Sixième édition du Grand Prix Littéraire de l’AFJET !
Paris sera toujours une fête !

La nuit était déjà tombée sur la butte Montmartre, quand dans un salon, au fond du restaurant « A la bonne franquette », commençaient à arriver les premiers invités.

Eliette Pascal, présidente du Grand Prix, était à pied d’œuvre depuis un moment afin de régler scrupuleusement les derniers détails, plus complice que jamais avec Magali Aimé, présidente de l‘Association Française des Journalistes et Ecrivains du Tourisme, venue lui prêter main forte, et c’est peu dire, pour cette remise de prix 2023 !

   
Les premiers invités

La soirée a très vite battu son plein avec une assistance brillante et enthousiaste, ravie de se retrouver pour les uns, ou de se rencontrer pour les autres, à l’occasion de la remise du Grand Prix Littéraire de l’AFJET.

C’est en présence du charismatique 1er ministre de la République de Montmartre, Pierre Passot, de Martine Robinot représentante de la Maison de la francophonie, de la déjà célèbre écrivaine et journaliste Nora Bussigny «Les Nouveaux Inquisiteurs» (éditions Albin Michel, 2023) et d’autres journalistes, auteurs, photographes ou amateurs de littérature que la présidente a déclaré la cérémonie ouverte. Le déroulement de cette soirée a été sans faille, parfaitement conduit du début jusqu’à la fin.

Les deux lauréates, Arianne Bois pour son ouvrage « Ce pays que l’on appelle vivre » lauréate  2023 de l’AFJET, et Laure Gasporotto coup de cœur 2023 de l’AFJET, auteure de « Si tu veux la paix, prépare le vin », ont pris tour à tour la parole, émues, mais aussi passionnées l’une que l’autre, pour nous parler de leur ouvrage, de leur travail, de leur cheminement respectif…


Laure Gasparotto, Eliette Pascal, Arianne Bois   Laure Gasparotto à gauche                                    Arianne Bois

 
Arianne Bois entourée de sa famille

Après de très chaleureux applaudissements, la séance de dédicace a débuté pendant que le buffet offrait ses largesses à ceux dont l’appétit avait été aiguisé par tant d’émotion ! Quant au vin du Château de l’Arnaude (Var), il n’avait pas attendu pour emplir nos verres, car c’est dès l’arrivée de chacun qu’il s’est offert à la dégustation. Sans doute faut-il y voir un lien de cause à effet (immédiat) avec l’esprit festif qui s’est emparé dès les premiers instants de cette joyeuse assistance !

   

Dani, reine de la nuit et de Montmartre
A l’occasion de ce Grand Prix, un hommage pictural était rendu à la chanteuse, mannequin et actrice Dani, bien connue des montmartrois.

On a pu ainsi admirer les gouaches joyeuses et colorées de l’artiste journaliste et auteur Didier Galibert, tout en buvant un verre et en dégustant les mets du copieux buffet pour ne pas faillir à la devise de la maison « Aimer, Manger, Boire et Chanter ».

Une belle soirée, un beau succès pour l’AFJET et une légitime reconnaissance pour Arianne Bois et Laure Gasporotto, deux auteures talentueuses.

En savoir plus :
« Ce pays qu’on appelle vivre » – Plon – Arianne Bois. Un roman d’amour et de résistance à travers l’histoire des Milles (Aix-en-provence).
« Si tu veux la paix prépare le vin » – Grasset – Laure Gasparotto. Eloge de la Bourgogne à travers l’histoire de son vignoble.

AFJET : Association Française des Journalistes et Ecrivains du Tourisme.
https://www.afjet.fr/ Une association fondée en 1936 par un petit groupe de chroniqueurs et écrivains de tourisme déterminés à valoriser la profession.
Au fil des années l’AFJET développe ses champs d’actions et entre à la FIJET.
FIJET : Fédération Internationale des Journalistes et Écrivains de Tourisme. 32 associations nationales sur les cinq continents.

Restaurant « A la bonne franquette » Maison du 16ème siècle au cœur du vieux Montmartre, La Bonne Franquette fait vivre la tradition montmartroise de gaîté, de convivialité, d’accueil d’artistes, de vignerons comme d’amateurs de bon vin et de bonne chère, fidèle à sa devise « Aimer, Manger, Boire et Chanter »

Contact et réservation
+33 (0)1 42 52 02 42     paris@labonnefranquette.com

Angle 2 rue des Saules / 18 rue Saint Rustique
Montmartre – 75018 Paris

GRAND PRIX DU LIVRE

remise Prix du livre 2022

Grand Prix du livre AFJET 2022
Association Française des Journalistes et Écrivains du Tourisme

Cette année : 2 Prix
Le Grand Prix et Le Coup de Cœur du jury

Voilà, le quatrième prix littéraire a été remis ce 14 octobre à deux auteurs talentueux dont la reconnaissance n’est plus à faire.

Une soirée charmante, festive, chaleureuse et amicale. Nos amis montmartrois sont venus en nombre pour honorer nos lauréats ainsi que nos amis parisiens et quelques courageux venus de leurs villes et de leurs régions.

Nos partenaires aussi ont participé à la soirée par leurs cadeaux, tel le Fer à Cheval, par un objet inattendu et original qui fut apprécié par nos deux lauréats. Notre ami, vigneron en Provence, Jean-Jacques Bréban avec les vins de son domaine, « Château l’Arnaude » dont les trois couleurs furent fort appréciées par nous tous.

Quant à Pascal Bataillé, Président de la chaîne ADONIS, sa présence effective a été un grand plaisir et nous a donné l’occasion de le connaître et de découvrir sa personnalité.

Voilà, le prix 2022 est terminé, vive le prix 2023, notre Présidente va s’y atteler.

Merci à tous ceux qui étaient présents.  Merci à ceux qui vont suivre notre page Facebook et Instagram.


GRAND PRIX DU LIVRE

GRAND PRIX DU LIVRE AFJET 2022

LA PRÉSÉLECTION

Une édition 2022 ambitieuse

L’édition 2022 du Grand Prix du livre AFJET engage manifestement l’association sur une nouvelle route, en direction des sommets. Cette destination ambitieuse, visée par le Conseil d’Administration et par le comité  de sélection du Grand Prix du Livre, se traduit ici par une présélection prestigieuse. Le lauréat 2022 sera certainement un des meilleurs ambassadeurs de la dynamique de l’AFJET autour du tourisme qui ose…, d’un tourisme fédérateur, riche en découvertes insolites de nos territoires.

Hier, Pierre ADRIAN et Philibert HUMM (Equateurs littérature 2018), René FRÉGNI (Gallimard 2020), Catherine FAYE (Fayard 2021) comme aujourd’hui et demain, les auteurs deviendront à leur tour, acteurs de cette promotion.

Découvrons-les :

«Un barrage contre l’Atlantique»
Frédéric Beigbede

«Ce livre a été écrit dans un endroit qui devrait être sous l’eau». F. B.

Au hasard d’une galerie de Saint-Jean-de-Luz, Frédéric Beigbeder aperçoit un tableau représentant une cabane, dans une vitrine.Au premier plan, un fauteuil couvert d’un coussin à rayures, devant un bureau d’écrivain avec encrier et carnets, sur une plage curieusement exotique. Cette toile le fait rêver, il l’achète et soudain, il se souvient : la scène représente la pointe du bassin d’Arcachon, le cap Ferret, où vit son ami Benoît Bartherotte. Sans doute fatigué, Frédéric prend cette peinture pour une invitation au voyage. Il va écrire dans cette cabane, sur ce bureau. Face à l’Atlantique qui à chaque instant gagne du terrain, il voit remonter le temps. Par vagues, les phrases envahissent d’abord l’espace mental et la page, réflexions sur l’écriture, la solitude, la quête inlassable d’un élan artistique aussi fugace que le désir, un shoot, un paysage maritime. Puis des éclats du passé reviennent, s’imposent, tels «un mur pour se protéger du présent».
«Un barrage contre l’Atlantique» Frédéric Beigbeder. 2022 Grasset 272 pages / 20 €

«Paris Briançon»
Philippe Besson

Le temps  d’une  nuit  à  bord  d’un  train-couchettes,  une dizaine de passagers, qui n’auraient jamais dû se rencontrer, font connaissance, sans se douter que certains n’arriveront jamais à destination. Un roman aussi captivant qu’émouvant, qui dit l’importance de l’instant et la fragilité de nos vies. Rien ne relie les passagers montés à bord du train de nuit n° 5789. À la faveur d’un huis-clos imposé, tandis qu’ils sillonnent des territoires endormis, ils sont une dizaine à nouer des liens, laissant l’intimité et la confiance naître, les mots s’échanger, et les secrets aussi. Derrière les apparences se révèlent des êtres vulnérables, victimes de maux ordinaires ou de la violence de l’époque, des voyageurs tentant d’échapper à leur solitude, leur routine ou leurs mensonges. Ils l’ignorent encore, mais à l’aube, certains auront trouvé la mort.
«Paris Briançon» Philippe Besson. Julliard 308 pages 2022 /19 €

«Marche en plein ciel»
Gwenaëlle Abolivier

En arpentant le chemin emprunté par Robert L. Stevenson il y a plus d’un siècle, Gwenaëlle Abolivier harmonise deux passions : l’écriture et la marche. Chaque pas qui l’éloigne de l’immobilité du quotidien, l’ouvre davantage à la littérature ; elle fait corps avec le paysage cévenol qui accueille son évasion. Sous le ballet aérien des milans royaux, elle partage l’errance du voyageur Marvejols et de Luce, son ânesse, – rencontrés au détour des sentiers – le temps d’une parenthèse consacrée à l’écoute du vivant.
Au fil de ce voyage où elle tutoie le ciel, la solitude lui ouvre l’espace nécessaire pour réfléchir à la course du monde à travers le pays découvre bien plus qu’un journal de marche, Gwenaëlle Abolivier nous offre une méditation en mouvement où le rythme et l’effort de ses pas impulsent une écriture poétique qui délivre le récit.
«Marche en plein ciel» Gwenaëlle Abolivier. 2022 Le Mot et Le Reste 122 pages / 13 €

«Les flammes de pierre»
Jean-Christophe Ruffin

«Rémy et Laure partageaient le sommet de Croisse-Baulet et, si modeste qu’il fût, il faisait pour eux de cet instant un moment inoubliable. Rémy connaissait trop la force de cette communion pour y mêler les gestes minuscules de l’amour. Il sentait que son désir était partagé, que cette émotion avait la valeur d’une étreinte et que Laure, pas plus que lui, ne pourrait l’oublier. Tout devait garder son ampleur, sa grâce. Les petites effusions, les maladroites caresses humaines, dans ces décors de lumière, d’espace et de vent, sont dérisoires et même insupportables. Il fallait laisser l’esprit se mouvoir sans contraintes. Le regard était suffisant pour exprimer l’émoi et celui de Laure parlait sans ambiguïté. Ils retirèrent les peaux de phoque des skis, réglèrent les fixations pour la descente et raccourcirent les bâtons. Puis, sans se hâter, l’esprit plein d’un moment qu’il était inutile de faire durer tant il était saturé d’infini, ils s’élancèrent dans la pente.»
Avec ce chant d’amour à la vraie montagne, celle de la périlleuse et âpre beauté des cimes, Jean-Christophe Rufin réussit son pari de renouer avec la littérature de montagne la plus pure, comme dans une version moderne de Frison-Roche. Et c’est avec le plus grand plaisir que l’on goûte avec lui cette ivresse des sommets, qu’il connaît si bien pour l’avoir expérimentée.
«Les flammes de pierre» Jean-Christophe Rufin. Gallimard 352 pages / 21 €

«Les bourgeois de Calais»
Michel Bernard

Quand Omer Dewavrin entre dans l’atelier d’Auguste Rodin, dédale de formes humaines de pierre et de glaise, il a la certitude d’avoir fait le bon choix. Notaire et maire de Calais, il a confié au sculpteur à la réputation naissante la réalisation d’un monument en hommage à six figures légendaires… de la guerre de Cent Ans : les Bourgeois de Calais. Nous sommes en 1884, et Dewavrin ne sait pas encore qu’il s’écoulera dix ans avant que l’artiste, en quête de perfection, se décide à déclarer son travail achevé. La bouleversante chorégraphie de bronze n’existerait pas sans ce bourgeois du XIXème s. qui, devinant le génie du sculpteur, l’obligea à aller au bout de lui-même et imposa son oeuvre en dépit du goût académique et des controverses idéologiques. Sa femme Léontine et lui sont les héros inattendus de cette histoire, roman de la naissance d’une amitié et de la création du chef-d’œuvre qui révolutionna la sculpture.
«Les bourgeois de Calais» Michel Bernard. 2022 La Table Ronde 208 pages / 20 €

Remise du Prix du Livre à Catherine Faye GRAND PRIX DU LIVRE

Remise du Prix du Livre à Catherine Faye

La remise du Prix littéraire AFJET 2021

s’est déroulée le 5 octobre à Paris
dans une ambiance chaleureuse, conviviale et amicale.

Merci à nos amis et adhérents Montmartrois, qui sont venus nombreux, ainsi que nos membres parisiens et amis. 
Nous avons  regretté de ne pas avoir pu partager avec vous toutes et tous ce moment de fête.
Nous sommes restés trop longtemps éloignés à cause du Covid et cet événement nous a permis de nous retrouver.
Notre lauréate, Catherine Faye est une auteure talentueuse d’une grande simplicité et d’une véritable authenticité. Nous avons pu partager avec elle à la fois le plaisir et les difficultés d’un  écrivain.
Une soirée festive dans un lieu intime et fort agréable. 
Vous trouverez des photos sur Facebook et Instagram si le cœur vous en dit ainsi que sur notre site et aussi pour mieux connaître Catherine Faye, feuilletez le Carnet de Voyage N° 14. 

Vous pouvez voir ici la vidéo de cette soirée : ICI

 

GRAND PRIX DU LIVRE

GRAND PRIX DU LIVRE AFJET 2021

 

 

Le jury a voté, et c’est Catherine FAYE qui est la lauréate du
GRAND PRIX DU LIVRE AFJET 2021 avec son ouvrage :
« L’Heure blanche » (Fayard)
C’est un vrai coup de cœur… A la recherche de soi !
Une écriture onirique, fluide, concise, parfois violente, souvent poétique. On entre pas à pas dans l’imaginaire de l’auteure avec délice. On se laisse porter par cette histoire lourde, solitaire, douloureuse mais au final joyeuse. Comme libératrice !

L’Heure blanche @editionsfayard

 

La presse parle de notre lauréate du GRAND PRIX DE L’AFJET 2021, Catherine Faye.
Nous sommes tous très fiers de la compter parmi les lauréats de ce prix qui nous tient à cœur !

 
Merci à
Prima & Femme Actuelle
@amelie_cordonnier