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Une balade au Panthéon

Une balade au Panthéon

Exposition de Raphaël Barontini,
« We could be heroes »
jusqu’au 11 Février 2024
au Panthéon

Depuis le mois d’octobre 2023, Raphaël Barontini investit le Panthéon avec une installation monumentale évoquant l’histoire et les visages des combats contre l’esclavage. Pour clore l’exposition, ses drapeaux, bannières et autres oeuvres textiles prennent vie lors d’une procession exceptionnelle le samedi 3 février à 15h30 en compagnie de 40 musiciens du Mas antillais Choukaj. Une occasion unique de découvrir l’exposition avant sa fermeture le 11 février 2024 tout comme celle présentée dans la crypte en partenariat avec la Fondation pour la mémoire de l’esclavage. 

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Derniers jours aussi pour « Oser la Liberté »
Jusqu’au 11 février

Historique et pédagogique, cette deuxième exposition à l’initiative du Centre des monuments nationaux et de la Fondation pour la Mémoire de l’Esclavage retrace la généalogie universelle d’un combat qui traverse les époques et les continents : celui de la liberté contre l’esclavage. En mêlant cette histoire foisonnante à celle de la modernité française dont elle est une page majeure, et en convoquant la mémoire des femmes et des hommes qui l’ont écrite, l’exposition montre comment le système colonial esclavagiste a toujours suscité résistances et oppositions, et combien le souffle des figures héroïques qui les ont portées continue d’inspirer les combats d’aujourd’hui. 

PIERRE LAPORTE COMMUNICATION
Laurent Jourdren / Estelle Griette 
01 45 23 14 14
info@pierre-laporte.com

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Giverny Monet

GIVERNY, UN VILLAGE À L’OMBRE DE MONET

Barbizon aurait-il connu une aussi forte notoriété sans la présence de Corot, Millet, Ziem ou Daubigny, venus y chercher l’inspiration dès les années 1830 ?
Et Auvers-sur-Oise profiterait-il encore d’une telle renommée sans le passage funeste qu’y fit Van Gogh ?
Juste un petit village du Vexin.

Jusqu’au milieu du XIXe siècle, Giverny n’est qu’un paisible petit bourg vivant chichement de ses cultures de céréales et de la vigne. À la Révolution, c’est la famille Le Lorier qui possédait les terres et monsieur Le Lorier fut le premier maire du village en 1791. En 1800, Giverny comptait 327 habitants. Il culminera à 548 âmes en 1990 pour se stabiliser aujourd’hui à environ 500.
Ce petit village du Vexin français, situé à 75 kilomètres de Paris, est cité pour la première fois vers 1025 sous son vocable latinisé de Giverniacum. Un dolmen laisse supposer que le lieu était habité bien avant, stratégiquement situé au confluent de la Seine et de l’Epte. La paroisse est fondée sous les Mérovingiens. Elle est placée sous la protection de Sainte Radegonde dont l’église sera érigée dans le style roman entre le Xe et le XVIe siècle.
On peut y découvrir, caché à l’abri des curieux, le corbillard qui conduisit le cercueil de Monet à sa sépulture dans le cimetière jouxtant l’édifice. À remarquer également une peinture exceptionnelle représentant un Christ en croix, due au talent de Claude Cambour, l’un des derniers grands impressionnistes qui eut son atelier à quelques encablures de là.

Il a suffi d’un coup de cœur pour que tout change
C’est en 1883 que Claude Monet découvre la quiétude du lieu et y loue la maison qu’il achètera en 1890. Il réaménage le verger, plante fleurs et arbres et, en 1893, fait creuser au grand effroi des riverains son fameux étang aux nénuphars en détournant un bras de l’Epte. 
À l’image de ces villages de peintres, mondialement réputés, Giverny ne recevrait certainement pas autant de visiteurs chaque année sans l’ombre omniprésente de Claude Monet.
La municipalité, le département et la région ont beaucoup œuvré pour qu’il puisse accueillir correctement ses plus de 700 000 visiteurs entre Pâques et la Toussaint : vastes parkings, circulation réglementée, sécurité renforcée…
La vie de Giverny est ainsi rythmée pendant six à sept mois par an par l’attirance touristique quasi universelle engendrée par la maison et les jardins de Monet. Personne n’ignore qu’il fut l’un des principaux initiateurs du nouveau mouvement artistique auquel son tableau brossé au printemps 1873, Impression au soleil levant, donnera son nom. 
La peinture des Nymphéas nécessitera la construction d’un nouvel atelier dédié à la création de cette œuvre monumentale. Les panneaux en seront exposés en 1909 chez Durand-Ruel. Clemenceau, l’ami du peintre, en inaugurera le décor à l’Orangerie des Tuileries, un an après la mort de leur auteur, survenue à 86 ans, le 5 décembre 1926.
Après avoir été directeur du Grand Théâtre de Genève puis de l’Opéra national de Paris, Hugues Gall a pris en 2008 la tête de la Fondation Claude Monet qui assure la gestion et la conservation de la maison de l’artiste et de ses dépendances. Il a succédé à Gérald Van der Kemp qui en a dirigé la rénovation lorsque l’Académie des beaux-arts lui en a confié la mission. 

L’universalisme artistique
Michel Monet, dernier fils du peintre, est mort dans un accident de voiture en 1966, à l’âge de 88 ans. Sans héritier, il a légué par testament la propriété et les collections de Giverny au musée Marmottant dépendant de l’Académie des beaux-arts. La maison n’avait pas été entretenue depuis longtemps et ses jardins étaient en friche. Pour sauver ce patrimoine en péril et faute de moyens, Gérald Van der Kemp et son épouse Florence ont fait appel à des mécènes dont, en particulier, la Versailles Foundation-Giverny Inc, de New York. En 1980, la Fondation Claude Monet a été créée et, le 1er juin, la propriété a ouvert ses portes au public.
Les liens entre les États-Unis et Giverny remontent aux années 1880 quand une colonie d’artistes américains, séduits par le travail de Monet, s’y installe et fréquente l’Hôtel Baudy (81, rue Claude Monet), resté « dans son jus ». Dans son jardin, on peut encore entrer dans l’atelier construit à la demande de ces peintres, en 1887. Cézanne, Rodin, Sisley, Mary Cassatt y ont travaillé ainsi que tous les jeunes Américains venus ici avant la Première Guerre mondiale. Renoir, entre autres, venait y déjeuner fréquemment avec Monet. 
Un lien de plus avec le nouveau continent a été tissé lors de l’ouverture du Musée d’Art Américain, inauguré en 1992. Il est alors géré par la Terra Foundation for American Art, créée par le collectionneur et mécène Daniel Terra. En 2009, ce bâtiment moderne, construit par les architectes Reichen et Robert, deviendra le musée des Impressionnismes, dont Sébastien Le Cornu assure aujourd’hui la présidence. Deux expositions temporaires s’y succèdent au cours de chaque saison touristique. 

L’art, un élément rassembleur
Au-delà de la peinture, Giverny a été et reste un sujet de prédilection pour les écrivains. Michel de Decker y a écrit en 1992 l’un des meilleurs livres sur Claude Monet et, en 2010, Michel Bussi a fait du village le cadre de son roman policier à succès, Nymphéas noirs. Adrien Goetz a signé, quant à lui, un remarquable ouvrage intitulé Monet à Giverny avec de très belles photos d’Éric Sander, publié sous l’égide de la Fondation Monet et en vente à la boutique du musée. 
Parmi les personnalités célèbres, Giverny s’enorgueillit d’avoir eu Leny Escudero parmi ses habitants et d’avoir reçu la visite d’Hillary Clinton en 1996 et, en 2007, de l’Empereur du Japon, Akihito. Plus près de nous, ce sont Brigitte et Emmanuel Macron qui ont foulé en 2019 le bitume de la rue Claude Monet. Quant à Patrick Balkany, son moulin se visitera-t-il un jour comme un site historique ?

Un village aux diverses gourmandises artistiques
En dehors du restaurant Baudy, se trouvent deux autres adresses agréables à fréquenter : La Musardière, hôtel-restaurant récemment rénové, avec une cuisine à tendance bistronomique servie sur une belle terrasse, et Les Nymphéas, face à l’entrée du musée, avec un accueil sympathique pour déguster des salades composées et des plats plus traditionnels. Un peu plus éloigné du centre, Le Jardin des Plumes est un hôtel de charme doté du seul restaurant étoilé de Giverny. Concernant les galeries de peinture, nous apprécions tout particulièrement la Galerie Cambour au 101 de cette incontournable rue Claude Monet.
Un saut de puce entre Giverny et la République de Montmartre
La galerie est tenue par la veuve de ce grand artiste, qu’était Claude Cambour et est, elle-même, pastelliste de grand talent. C’est à l’initiative de son fils Nicolas, Ambassadeur de la République de Montmartre à Giverny, qu’a été réalisé en 2015 le vœu de feu son père de jumeler le village de Giverny à celui de Montmartre, deux patries-berceaux de tant d’artistes ayant marqué leur temps. 

Les bonnes adresses de Pierre & Lisbeth
Restaurant Baudy
81 rue Claude Monet
27620 Giverny
+33 232 211 003
Ouvert 7/7. A partir de 29,90€

Hôtel-Restaurant La Musardière
123 rue Claude Monet
27620 Giverny
+33 232 210 318

Les Nymphéas
Square Gérald et Florence Van Der Kemp
27620 Giverny
+33 232 212 031
Ouvert tous les jours de 9H à 18H. Le soir réservation pour les groupes.

Hôtel-Restaurant Le jardin des plumes
1 rue du Milieu
27620 Giverny
+33 232 542 635
Hôtel ouvert 7/7
Menu à Partir de 55€

Comment s’y rendre ?
En voiture :
Paris, 75kms. Autoroute A13 sortie 14 ou 16, Vernon/Bonnières ou Vernon/Douains
En train :
Eviter de passer par Mantes
Gare Saint Lazare, Grandes lignes
Ligne Paris- Saint-Lazare : Rouen/Le Havre
Descendre à Vernon-Giverny.

Pierre Passot
Photographies de Liesbeth Passot-Kambier

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Paris La Défense Les extatiques

Paris La Défense un rendez-vous incontournable

Les extatiques
Du 2 au 18 février

Si en surface, Paris La Défense est un vaste musée à ciel ouvert, avec ses 50 œuvres d’art accessibles à tous. Que cachent les sous-sols de cette vaste esplanade ?

A la découverte des entrailles de ce quartier avec les EXTATIQUES.

Cet hiver, les Extatiques – le rendez-vous incontournable des amateurs d’art contemporain au grand air – entraînent ses visiteurs dans les entrailles du plus grand quartier d’affaires d’Europe. Quelques 5000 m2 souterrains, habituellement fermés au public, vont prendre vie au rythme d’un parcours d’œuvres et d’installations imaginé par le collectif Interstices qui rassemble des artistes issus de l’exploration urbaine.

Un lieu à la fois mythique et méconnu surnommé la « cathédrale engloutie ».
Après un premier évènement artistique couronné de succès en février 2023, dans le cadre de Paris Face Cachée, la cathédrale entre-ouvre à nouveau ses portes pour permettre aux amateurs d’exploration urbaine de découvrir les installations monumentales, séries photos, peintures, sculptures, projections, œuvres numériques et cinétiques de 18 artistes qui jouent avec les volumes et les espaces. 

 Quand La puissance de l’art et de la nature se conjuguent.
Ce parcours – ponctué d’œuvres créées pour l’occasion – évoque la puissance de la nature reprenant ses droits dans des lieux abandonnés. Guidés par un médiateur, les petits groupes chemineront dans les dédales de la cavité pour une immersion entre ombre et lumière. Cet événement inédit sera aussi l’occasion de découvrir l’œuvre cachée de la Défense, le fameux « monstre » et l’atelier de Raymond Moretti.

Ouverture de la billetterie le 22 janvier 2024.

Contact presse
Pierre Laporte Communication
Stéphanie Trastour : 0620918540 – stephanie@pierre-laporte.com

Joanna Belin : 0680680016 -joanna@pierre-laporte.com

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C’est à lire

« BAR-LE-DUC
à voir & à vivre »

Michel Bernard, Coup de Cœur 2022 du Grand Prix du livre de l’AFJET, nous propose son dernier opus. 
Vingt ans après « La Meuse sentimentale », Jean-Marie Lecomte et Michel Bernard proposent par le texte et l’image « Bar-Le-Duc à voir et à vivre ». La capitale du Barrois, pétrie par les siècles, demeure au début du nouveau millénaire cette cité aux pierres blondes éblouies de soleil, aux toits roses polis par les pluies, amoureusement tenue dans sa conque de bois et de jardins. Le quartier Renaissance de la Ville-Haute, le miroir d’eau de l’Ornain entre ses peupliers, les allées ombreuses et l’ample panorama de la Côte Sainte-Catherine, le boulevard de la Rochelle, la Tour de l’Horloge, le Transi de Ligier Richier, des trésors d’art et d’architecture, des pentes verdoyantes… Aux visiteurs, le livre suggère cent découvertes. Aux Barisiens, aux habitants des environs, il ne prétend rien apprendre qu’ils ne sachent par coeur, mais souhaite les accompagner dans une déambulation sentimentale et souriante, par les rues et les chemins d’une petite patrie fière de son passé, sûre de son avenir. Un aide-mémoire pour aujourd’hui et demain.
« BAR-LE-DUC à voir & à vivre ». Michel Bernard. Jean-Marie Lecomte. David Truillard.
Editions Noires Terres – 2023 – 20 €
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Le Musée du bagage

Pourquoi ne pas faire une halte à Haguenau entre Strasbourg, l’Alsace du Nord et ses villages aux maisons à colombages comme Hunspach « village préféré des français en 2020 ».

Cette ville est injustement oubliée des circuits touristiques. Elle abrite notamment un musée aux collections originales qui devrait passionner tous les amateurs de voyage : le MUSÉE DU BAGAGE.

 Il n’y a pas de voyage, de déplacement d’hommes sans qu’ils emportent avec eux un bagage.
Que ce soit un balluchon, un sac, une valise voire une malle, le voyageur emportera dans son déplacement le strict nécessaire ou au contraire de multiples affaires selon ce qui lui parait utile voire indispensable.
A Haguenau au nord de l’Alsace un couple admiratif de la créativité et du savoir-faire des malletiers a réuni une exceptionnelle collection de bagages des XIXème et XXème siècles , unique en Europe, qui a conduit à l’ouverture du « Musée du bagage ».

Une collection exceptionnelle
Le mode de déplacement utilisé conditionne l’importance des objets et effets qui l’accompagnent. Le marcheur ne sera pas aussi chargé que le passager d’un transatlantique.

Il en est de même de l’objectif et de la durée du voyage. Qu’on parte pour un long séjour ou seulement un bref weekend, le type de bagages ne sera pas le même.
Du contenu dépend le contenant et vice et versa.
Enfin le mode de vie du voyageur joue également son rôle.
A chaque époque et à chaque classe sociale ses bagages. Ils sont révélateurs des modes de vie et de la sociologie de leur époque.
Chaque bagage raconte donc l’histoire de son propriétaire, qui peut être célèbre ou anonyme, et de son époque.  Tous nous apprennent quelque chose.
Chaque bagage par ses caractéristiques techniques et ses qualités esthétiques révèle aussi l’ingéniosité et le savoir-faire de l’industriel ou de l’artisan.

La reconstitution d’un atelier de malletier permet de percer un peu les mystères de leur fabrication.

Sont ainsi réunis à Haguenau de la simple sacoche aux réalisations ingénieuses et même artistiques des plus grands faiseurs : LOUIS VUITON, GOYARD ou encore MOYNAT…

UNE RECONVERSION A 180°
Entre l’informatique et un métier de l’artisanat d’art il existe un fossé que Jean-Philippe ROLLAND n’a pas hésité, soutenu par son épouse Marie, à franchi.

« Lassé par l’obsolescence quasi instantanée de mon travail, j’ai voulu me consacrer à sauver ou créer des objets qui traversent les temps » explique-t-il.

Passionné par le travail du bois et par les objets qu’il permet de créer, Il a abandonné les algorithmes pour se consacrer au travail minutieux et inventif du malletier.
Suprême reconnaissance, son atelier de fabrication et de réparation de malles a été consacré « entreprise du patrimoine vivant ».
Mais un amoureux des objets passant entre ses mains ne pouvait pas être également collectionneur.Avec une prédilection première, par tradition familiale, pour la période napoléonienne, il a commencé à rassembler des bagages de cette époque. Mais rapidement ses champs de recherche se sont élargis jusqu’à nos jours.
Ce sont des centaines de bagages du plus simple au plus sophistiqués que lui et Marie ont réunis.
En vrais collectionneurs Jean-Philippe et Marie ROLLAND ne pouvaient que vouloir partager avec tous leur passion.

Ainsi est né en 2016 le Musée du bagage.

DES OBJETS INSOLITES ET EXCEPTIONNELS
Si la collection, dans un souci d’exhaustivité et de pédagogie comporte des objets du quotidien, elle renferme aussi des créations qui par leur destination, leur réalisation ou leur propriétaire sortent de l’ordinaire et sont de véritables objets artistiques ou historiques.

Parmi les 200 bagages présentés, l’œil du visiteur sera attiré par la malle safari qui permettait d’emporter avec soi 80 ustensiles du quotidien du lavabo à la salière dans les contrées les plus lointaines qui rappelle l’époque où la cour allant de châteaux en châteaux faisait suivre tout son mobilier.
Comment ne pas citer ce lit de voyage conçu pour un explorateur soucieux de son confort et peut-être d’éviter de voir son sommeil troublé par quelques insectes ou reptile rampants.
Ou encore cette malle permettant à la cantatrice Lily Pons de ne pas être séparée de ses trente paires de chaussures !

Crédit photographique : Musée du bagage

Le MUSÉE DU BAGAGE
5, rue Saint-Georges

67500 HAGUENAU
Ouvert du mercredi au dimanche

Denis ATZENHOFFER

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Osons la Sarthe en février

La Cathédrale Saint Julien,
un joyau historique et architectural.

Le Mans n’est pas qu’une histoire de 24 heures ni de bruits de moteur, c’est aussi depuis plus de huit siècles le berceau de la plus belle cathédrale de France si l’on en croit le concours organisé par Henoo.

Osons la Sarthe en février
A proximité de Paris, de Rennes, Angers en quelques heures vous voilà devant la plus belle Cathédrale de France. Tout est à découvrir : son histoire et son architecture, ses vitraux et le plus vieux vitrail du monde datant du XIIe et encore là en place dans la cathédrale.
La chapelle ornée de 47 anges musiciens. Un trésor patrimonial à découvrir ou re découvrir.

Le trésor de la ville du Mans : La Cathédrale Saint Julien
Érigée au XIe siècle, cette cathédrale moitié romane moitié gothique est un chef-d’œuvre d’ingénierie médiévale. Ses imposantes voûtes, ses arcs élancés de style gothique, Plantagenêt et ses sublimes vitraux captivent l’âme des visiteurs, et offrent une expérience unique où l’art et la foi se mêlent harmonieusement. La délicatesse des sculptures qui ornent ses façades, ainsi que la finesse des détails architecturaux, témoignent du savoir-faire exceptionnel des artisans qui ont œuvré à sa construction. Sa silhouette élancée se profile fièrement dans le ciel, offrant un rappel constant de la richesse culturelle et spirituelle de cette région. Un véritable trésor du patrimoine français.

Sarthe tourisme invite au dépaysement autour de la Cathédrale :

Hôtel Leprince – spa
Hôtel 4 étoiles situé au sein de l’ancien couvent de la Visitation, au cœur de la ville du Mans, Leprince Hôtel et Spa offre aux voyageurs un véritable voyage dans le temps qui les projette au cœur d’un univers raffiné dans un lieu unique et chargé d’histoire bâti au XVIIIe siècle.  Le petit plus : le spa propose également une prestation coiffure réalisée par le célèbre coiffeur Raphael Perrier, qui fut meilleur ouvrier de France à seulement 18 ans et qui intervient ponctuellement pour des cérémonies comme les « NRJ Music Awards » ou encore l’émission « The Voice ».

Contact presse
Alycia Jonot – 01 55 02 15 02
a.jonot@open2europe.com
Camille Iparraguirre – 01 55 02 15 29
c.iparraguirre@open2europe.com