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Mende, un séjour, un arbre !

Mende, un séjour, un arbre !
Des cadeaux aux futures générations

Selon l’auteur, Jean Giono, dans «l’homme qui plantait des arbres», c’est la générosité et la patience dont a fait preuve Elzéard qui fait de lui un homme exceptionnel et exemplaire. A travers ce texte fictif, l’auteur veut nous montrer qu’un homme ordinaire peut accomplir des choses extraordinaires en faisant preuve de patience et de détermination.

L’Office de Tourisme Mende – Cœur de Lozère plante La Forêt de Demain
Des objets souvenirs durables pour compenser l’empreinte carbone des trajets des voyageurs.
Alors que le transport est le premier secteur émetteur de CO2 et qu’il est difficile de voyager, se déplacer ou faire du tourisme sans émettre de CO2, notamment pour se rendre dans les territoires moins bien desservis en moyens de transport bas carbone, l’Office de Tourisme Mende – Cœur de Lozère expérimente sur son territoire un dispositif permettant de compenser l’empreinte carbone liée aux trajets des séjours qu’il commercialise.
Déjà engagé depuis plusieurs années sur la thématique du tourisme durable via une requalification et une adaptation de l’offre touristique de son territoire, l’Office de Tourisme souhaite aller plus loin dans cette démarche en apportant une réponse concrète aux voyageurs sans cesse plus attentifs à l’impact carbone de leurs déplacements (Etude Booking.com 2022).
Enjeu d’autant plus important pour les territoires ruraux moins bien desservis en moyen de transport bas carbone et qui souhaitent maintenir toute leur attractivité faces aux destinations plus facilement accessibles par le train ou plus proche des grands centres urbains.
Lauréat du challenge Open Innovation de l’ADEME «#Tourisme : souvenirs et territoires durables» au mois de décembre 2022, le dispositif La Forêt de Demain débute sa phase d’expérimentation sur le territoire de l’Office de Tourisme Mende – Cœur de Lozère.
La Forêt de Demain est né de l’idée de créer un lien entre la forêt, le bois et les voyageurs tout en les impliquants dans une démarche à impact positif sur le territoire qu’ils visitent.
Il s’agit concrètement de compenser les émissions de CO2 des trajets des séjours commercialisés par l’OT Mende – Cœur de Lozère en engageant une action de renouvellement forestier sur le territoire. Le financement de la parcelle forestière est assuré par l’Office de Tourisme sur la base du coût de la tonne carbone recommandé par le GIEC (100 € à l’horizon 2030). D’après une analyse menée sur les séjours commercialisés ces dernières années, l’empreinte carbone moyenne d’un trajet est estimée à 250 kg, alors qu’un arbre selon son âge et son essence va capter une quinzaine de kg de CO2 chaque année.
Dès 2023, un premier espace de biodiversité composé de 500 arbres aux essences diversifiées sera donc créé sur le territoire de la Communauté de Communes Cœur de Lozère. Si l’Office de Tourisme assure le financement de l’opération, ce sont les voyageurs qui planteront virtuellement un ou plusieurs arbres (selon l’empreinte carbone de leur trajet) via l’application «La Forêt de Demain». Bien que l’acte de plantation soit réalisé virtuellement, c’est un objet souvenir durable, fabriqué localement à partir de la ressource forestière du territoire, qui prend la forme d’une carte postale en bois sur laquelle est imprimée un QR Code qui assure la médiation entre la parcelle forestière et l’application digitale.
Objet souvenir et application qui permettront aux voyageurs, au fil du temps et des années, de se remémorer leur séjour en Lozère, de suivre l’évolution de la parcelle forestière et de mesurer l’impact environnemental de leur écogeste (captation carbone, impact sur la biodiversité,…).

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Street art à Saint Ouen

Street art à Saint Ouen

Courrez-y car cette expo «Urban Paris» se terminera le 28 février.

Les stars du Street-art investissent l’ancienne patinoire de Saint Ouen pour offrir aux amateurs une expo incroyable. Ils seront 35 à être présents dont Bansky, Invider, Obey………

Des ateliers, des workshops, des showcases tout à fait exclusifs. Ajoutez à cela un bar, des concerts de rap et d’électro et la boutique pour offrir ou garder pour soi un souvenir de cette expo. Flâner, regarder, écouter, participer aux ateliers, voilà une sortie pleine de surprise et un grand moment de plaisir.

Ce tout nouveau spot arty et éphémère se veut être une passerelle entre l’art contemporain et l’art urbain, pour une parenthèse colorée et décalée. Alors profitez en sans modération.

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Le café de La Tourelle

Le café de La Tourelle,
Un bistrot «cachet», caché au cœur du Saint Germain historique.

Le lieu est bien planqué entre deux rues, la rue Serpente et la rue Hautefeuille, à deux pas du boulevard Saint Germain et du boulevard Saint Michel. Le café occupe le rez-de-chaussée d’un ancien hôtel particulier, l’hôtel de Fécamp, à la façade discrète, habillée d’une tourelle du XVIe.

L’intérieur du café de la Tourelle ressemble à un décor de film des années 50 avec ses publicités d’alcool sur fer blanc émaillées accrochées au mur, ses tables de marbre sur galbes de fonte et son bar en bois de cerisier. Gabin ou Ventura ne seraient pas de trop ici, Simenon y avait sa table.
Côté cuisine, une carte  équilibrée dans la plus pure tradition française des bistrots, cuisinée avec délicatesse. Le boeuf bourguignon est réellement mijoté au vin, l’andouillette frites multiplie les A, le potage sent bon le légume frais, le baba est à tomber (avec modération), tous ces plats sont faits maison.
Côté vins, on dégustera à la carte un superbe Chinon rouge et un excellent Chablis.

Le service est rapide, très rapide même et l’addition est plutôt légère.
Le café ferme assez tôt en soirée (21 h) et le service n’est plus assuré à partir de 20 h 30. (22 h le samedi). Fermé le lundi.
Attention, toutefois. Le café changera de propriétaire dans quelques semaines. A priori la succession semble en continuité, mais on ne saurait aller y faire assez vite un petit tour. Au café de la Tourelle.

À proximité
La rue Hautefeuille est une très ancienne rue de Paris, dont on retrouve la trace au Moyen Âge sous le nom de « rue de la Barre » . Outre l’Hôtel de Fécamp, édifice classé aux Monuments Historiques depuis 1948, remarquable par son échauguette en cul-de-lampe, la balade s’impose dans le quartier où les libraires et maisons d’éditions se sont succédés, du libraire Vanier à l’éditeur Arthus Bertrand jusqu’au couple Flamand, fondateurs des éditions du Seuil.

De nombreux artistes, auteurs et peintres et politiques ont fréquenté les établissements de ces rues au XIXe, et la présence d’un cinéma d’art et essai MK2 Hautefeuille, situé au croisement de la rue Serpente, est une marque de cette forte empreinte culturelle.

Pour résider pendant un court séjour parisien, l’hôtel du Lys est idéal. Établissement de charme, situé au 23, rue Serpente, à l’adresse d’un ancien hôtel particulier ayant vu se succéder des gens de la haute noblesse jusqu’à la Révolution et qui vit Rimbaud s’y établir, il est parfaitement situé dans le quartier de la Monnaie.

Comment y accéder ?
Le café de la Tourelle 5, rue Hautefeuille 75006 Paris.

Métro 4 Station « Saint-Michel » ou
Métro 10 Station « Cluny – La Sorbonne ».
RER B et C Station « Saint-Michel – Notre-Dame ».
Bus lignes: 24, 47, 63, 86 et 87.

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L’Atelier des Lumières

L’Atelier des Lumières : un musée immersif qui sort du cadre

Au 38, rue saint Maur (Paris 11), les anciennes fonderies du XIXe (Plichon) accueillent depuis 2018 un lieu où la peinture se donne les moyens de séduire de nouveaux publics. Pour les amateurs d’art ou les néophytes, la découverte de cet espace est incontournable.

Le président de Culturespaces, Bruno Monier présente l’atelier des lumières comme un centre d’art numérique, un lieu de culture populaire. Il est vrai que «réduire» l’expérience à un musée serait faire injure aux prouesses techniques dont il se prévaut.

Imaginez : plusieurs fois par jour, en continu, il est proposé de visionner un véritable spectacle de son et lumière autour de l’œuvre d’un peintre ou de plusieurs réunis, voire d’une époque de l’histoire de l’art. Le site des fonderies est un endroit emblématique : le patrimoine industriel des années 1900 mérite d’être réhabilité. La préservation et la transformation de ces sites (Halles, moulins, et ici fonderies) est plus qu’un tendance, elle est nécessaire pour la mémoire collective.
D’ailleurs, chaque session s’ouvre sur les images d’époque, tout un symbole.

L’éclectisme en fil rouge
En 2018, pour son exposition inaugurale, l’Atelier des Lumières proposa de revisiter Klimt. Depuis Cézanne et Kandinsky (tout récemment), Paul Klee et Chagall (à partir du 17 février 2023), les peintres de la Renaissance (Michel-Ange, Raphaël, Léonard De Vinci), Jérome Bosch, Arcimboldo, Picasso, Dali… La liste est longue ! Les spectacles se succèdent tous les deux mois environ entre programmes courts et longs. La programmation est variée : Tintin a eu les honneurs des lieux en 2022 et a connu une importante fréquentation, obligeant à plusieurs prolongations. On croirait un langage propre au théâtre, mais il y a certainement un peu de cela, du côté de la rue saint Maur…

La création graphique et musicale en harmonie
L’originalité de ces événements tient à la recomposition artistique des œuvres. Tous les sens sont en éveil, particulièrement la vue et l’ouïe. Les tableaux de maîtres sont déstructurés, réaménagés, découpés et mis en scène en y associant des moments musicaux choisis. Rien n’est interdit dans ces scénographies : Pink Floyd, les Beatles viennent se «fondre» aux plus belles symphonies de Mozart ou de Beethoven, aux envolées lyriques de Wagner ou de Verdi… Nous sommes dans une conception populaire de la culture et chacun trouve sa place dans cet univers pictural.

Les Lumières comme lieu d’innovation.
En installant en ses murs, un espace de création graphique, l’atelier se dote d’un outil de diffusion d’œuvres contemporaines originales. À la frontière de la technologie et des arts graphiques, «le Studio» accueille des programmes diffusés «à part» sur le site. Cette recherche de l’invention est permanente, on le ressent dans chaque «œuvre», comme une continuité de l’histoire. Sans doute est-ce la clé d’un succès pérenne. On retrouve ces lieux d’expression artistique dans plusieurs villes en France : «Les Carrières de Lumières» aux Baux de Provence, «Les bassins de Lumière» à Bordeaux mais aussi à l’étranger, (Dubaï, Amsterdam, New York, Séoul,  Dortmund…), soulignant – s’il en était besoin – l’universalité du concept.

Une démarche responsable, la fondation Culturespaces.
En visitant les lieux, vous participerez à des actions d’éducation artistique et culturelle un peu partout dans le monde. Depuis 2009, la fondation lutte contre l’inégalité d’accès à l’art et au patrimoine, au bénéfice d’enfants fragilisés par la maladie, le handicap ou la précarité sociale afin de leur permettre de s’éveiller, de se développer, de se révéler. Chaque année en France, 10000 enfants de 5 à 12 ans participent à des programmes de parcours créatifs. L’Art en immersion est l’exemple de la découverte ludique de l’univers d’un artiste tout en créant des liens de proximité.

Quelques informations utiles
L’Atelier des Lumières, 38, rue Saint Maur 75011 Paris. Tél. 01 80 98 46 00 

Du lundi au jeudi de 10h à 18h. Nocturnes les vendredis et samedis jusqu’à 22h et les dimanches jusqu’à 19h.
Se présenter 15mn à l’avance. Dernière entrée 1h avant la fermeture. Durée des expositions : 1h
Une librairie-boutique est ouverte aux horaires de l’atelier des lumières Elle met en avant des ouvrages en lien avec l’actualité du centre.
En face de l’atelier, pour se restaurer sommairement et retrouver l’ensemble des gammes proposées au delà de l’actualité « le comptoir des Lumières »
Accès aux personnes mobilité réduite possible. Poussettes interdites. Chiens et animaux interdits.

Réservations en ligne : www.atelier-lumières.com
Restaurants partenaires : consulter le site.

Comment y accéder ?
En métro : ligne 9 (Voltaire, Saint-Ambroise), ligne 3 (Rue Saint-Maur), ligne 2 (Père Lachaise)

En bus : 46, 56, 61, 69.

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Ghost Galerie

Paris autrement
Ghost Galerie,

Sur la très chic, très traditionnelle et très présidentielle Rue du Faubourg Saint Honoré, une galerie d’art ose projeter l’amateur d’art dans le monde du Post-graffiti old school. Caroline Pozzo di Borgo & Stéphane Miquel, amoureux et collectionneurs ont osé proposer des œuvres signées par les plus grands noms de cet art que certains appellent street art, un art qui là, va beaucoup plus loin avec Keith Haring, Invader, Dondi White, Ero…

Ghost Galerie
62 rue du Faubourg Saint Honoré
75008 Paris
Tél. : 01 85 73 27 99

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La Délicatesse

LA DÉLICATESSE :
ALLERS-RETOURS AUX FRONTIÈRES DE L’AMOUR

Au départ, c’est une histoire d’amour «évidente» : Nathalie et François sont heureux, ils s’aiment et ils ont la vie devant eux.
Une longue traversée du désert

Mais, un jour, François décède brutalement dans un accident. Comme on se perd soi-même après un drame, s’en suit pour Nathalie une longue traversée du désert. Son cœur devient une forteresse, sa vie une routine sans âme. Elle va devoir réapprendre à vivre, presque malgré elle.

Au bon moment, au bon endroit
A la fin… c’est une rencontre improbable, avec Markus, un homme simple, délicat mais bien loin des canons de beauté. Une nouvelle histoire commence, un amour qui ne cherche plus un idéal et accepte la vie avec ses cicatrices… pour inventer le bonheur avec délicatesse : Il y a des gens formidables que l’on croise au mauvais moment et il y en a qui sont formidables car on les rencontre au bon moment.

Jean Franco et Sélène Assaf, accompagnés de Jérôme Schoof, mènent avec brio ce jeu de l’amour et du hasard dans cette pièce, d’après l’œuvre de David Foenkinos, avec une mise en scène sensible et touchante de Thierry Surace.

Didier Galibert

Infos pratiques
La Délicatesse

Jusqu’au 30 avril 2023. Du jeudi au samedi à 19h, samedi à16h et dimanche à 15h30

Théâtre de l’Œuvre
55 rue de Clichy, 75009 Paris
Réservations : 01 44 53 88 88