Catégorie : La Lettre de l’Afjet

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Journalistes

Cité du vitrail Troyes

TROYES
Un monde de lumières. 
Les vitraux de Francis Chigot et de son atelier.

 Jusqu’au 8 mars 2024

La Cité du Vitrail vous invite à Troyes pour fêter son premier anniversaire en découvrant une exposition exceptionnelle, dédiée à l’œuvre du maître verrier Francis Chigot (1879-1960). 
Une exposition qui montre toute la diversité de l’art du vitrail, ainsi que son évolution au fil du temps, sans cesse renouvelé dans sa modernité.
Une trentaine de vitraux, une soixantaine d’esquisses, maquettes et documents d’archives de l’artiste sont à découvrir au fil d’une scénographie délicate et aux multiples ambiances.

Pierre Laporte Communication
Frédéric Pillier | 06 42 82 28 67
Joanna Belin | 06 80 68 00 16
citeduvitrail@pierre-laporte.com

Journalistes

C’est à lire

« Les vies rêvées de la baronne d’Oettingen »
Thomas Snégaroff

Albin Michel – Janvier 2024 – 246 pages – 19,90€

Qui était Hélène d’Oettingen, née Elena Miontchinska en Ukraine avant de devenir l’une des grandes figures de la Belle Epoque ? Peintre, poétesse, romancière, cette femme passionnée et avant-gardiste fut à la fois muse et mécène, empruntant autant de pseudonymes que de vies. Derrière, une seule et même personnalité hors du commun. 

Habité par la légende de son arrière-grand-père, célèbre imprimeur d’art et ami d’Hélène, Thomas Snégaroff retrace le destin de cette femme mystérieuse, morte dans l’anonymat et la pauvreté. Au fil d’une enquête littéraire, il fait de la vie d’Hélène d’Oettingen un roman. 

C’est toute la bohème fiévreuse de Montparnasse qui est ici convoquée, celle de Modigliani, d’Apollinaire, du Douanier-Rousseau ou de Picasso, dans les ombres et les lumières des vies rêvées d’une femme éprise de liberté. 

Thomas Snegaroff, journaliste et historien, est l’auteur d’essais consacrés à l’histoire de l’Amérique, et d’un roman « Putzi », le pianiste d’Hitler (Gallimard 2020) qui a rencontré un grand succès. 

Nouvel ouvrage (à quatre mains) de Catherine Faye, lauréate du GRAND PRIX DU LIVRE AFJET 2021 pour « L’heure blanche » (Fayard) :
« A la vie à la mort – Sur la route avec Thelma et Louise »
Catherine Faye – Marine Sanclemente. 

Paulsen – Janvier 2024 – 244 pages – 21€

Deux journalistes, deux femmes, ont sillonné le sud-ouest des Etats-Unis en reprenant exactement l’itinéraire des deux héroïnes du film de Ridley Scott.  » Mieux vaut ne pas regarder en arrière, ou tu pourrais finir par pleurer. Mieux vaut ne pas regarder vers le bas, si tu veux continuer à voler.  » C’était il y a un peu plus de trente ans. Thelma et Louise se faisaient la malle le temps d’un week-end, et les paroles de BB King avaient quelque chose de prophétique. 
A défaut de les sauver, leur soif de liberté les précipitaient dans le fossé. L’accomplissement de soi les fauchant en plein vol, après la tentative de viol sur le parking du Silver Bullet Saloon, le coup de feu fatal, l’irréparable. Leur cavale spectaculaire dans des paysages infinis nous acculait avec elles dans l’impasse, immortalisée dans la dernière séquence, intense, tragique. Film culte des années 1990, pamphlet féministe du cinéma américain, Thelma et Louise est aujourd’hui vu et revu par toutes les générations. 
Plus de trente ans après sa sortie, Catherine Faye et Marine Sanclemente ont parcouru l’Arkansas, l’Oklahoma, le Nouveau-Mexique et l’Arizona en suivant l’itinéraire de ces deux figures mythiques pour revivre leur aventure et tenter de comprendre ce que sont les Etats-Unis aujourd’hui. Le duo est l’image de nos héroïnes cinématographiques : une génération les sépare et des conceptions différentes de la liberté de la femme en découle. 
Qui plus est, elles ont atterri sur le sol américain peu de temps après l’abrogation de l’arrêt Roe vs Wade, remettant en cause le droit à l’avortement. Au fil de milliers de kilomètres, des rencontres, des échanges et des débats, elles n’ont eu de cesse d’interroger la société contemporaine et ces frontières ténues entre le bien et le mal. Pour que plus jamais le bord du précipice soit l’unique issue.

« Paris dans tous ses siècles »
Charles Dantzig

Grasset – Janvier 2024 – 352 pages – 22€

Que peuvent avoir en commun Victor, écrivain vieillissant qui ne publie plus et devient un commentateur d’actualité grincheux, son amie Gabrielle, galériste quinquagénaire éprise d’un homme beaucoup plus jeune, le fils de Victor, la mère et la fille de Gabrielle, des étudiants qui tentent de devenir artistes, des provinciaux qui rêvent de se faire une place, un escort brésilien, le chat Xanax et le teckel Guillaume, un cadavre qui disparaît, un éléphant qui s’échappe et tant d’autres personnages de cette ronde qui efface les frontières entre les espèces, les espaces et les temps  ?  

Tous vivent à Paris, cette scène du jugement perpétuel. Or, « Paris est un combat ». Certains cherchent la clef pour conquérir la capitale, d’autres croient l’avoir, d’autres l’espèrent, d’autres pensent qu’elle n’existe pas. Qu’adviendra-t-il des ambitions de chacun ?

Parmi les mille inventions de ce roman qui fourmille de trouvailles, de traits d’esprit, de brio et de profondeur, soulignons quelques surprises :
Au début de chaque chapitre, un animal parle, animal domestique ou symbolique du personnage qui va suivre, et traité à égalité avec lui. De temps à autre, les rues de Paris se complètent de « déroulés historiques » : leur bitume est retiré, des rambardes s’élèvent et les passants assistent, comme du balcon d’un théâtre, à des scènes du passé, celles de la Libération aussi bien que des conversations des « précieuses » de l’hôtel de Rambouillet.
En bas de page, quand les personnages se trouvent dans la rue, sont notées des bribes de phrases qui forment la bande passante de conversations saisies au vol en marchant. On n’est pas plus obligé de les lire que de les écouter, mais elles contribuent à donner sa tonalité à la capitale.
Une façon nouvelle de raconter des vies nouvelles, dans un Paris désordonné, vivace, imprévisible, créatif. Sous les auspices de l’Ulysse de Joyce, du Berlin Alexanderplatz de Doblin et du Pétersbourg de Biély, une histoire à la fois contemporaine et mythologique, un grand roman de la ville.

« Le Carnaval sauvage »
Pierre de Cabissole

Grasset – Janvier 2024 – 216 pages – 20€

Chaque année à Cambaron, petit village du Sud de la France, le carnaval sauvage vient clore les vendanges. Le temps d’une journée, la population s’adonne à un rituel païen et orgiaque où les hommes, masqués et habillés comme des bêtes, chassent les femmes vêtues de blanc, victimes consentantes bientôt traînées dans la lie de vin et les excréments.
Maria n’y a pas assisté depuis qu’elle a intégré l’Ecole Normale Supérieure et enfin pu quitter son « village d’arriérés » où la jeunesse croupie et les femmes comme elle, les homosexuelles, sont moquées ou rejetées. Ce jour-là, elle a laissé son père, veuf taciturne et mutique, en se disant qu’elle devait vivre. Et Agnès, son premier amour, pensant qu’elle pourrait l’oublier. Elle n’a pas pu. Elle revient trois ans plus tard, à l’occasion des vendanges, pour, pense-t-elle, la sauver en la tirant de là. Tandis que la fête sauvage se prépare, son retour ravive les tensions et les haines, prêtes à exploser le jour du carnaval…
Construit comme une bombe à retardement, le roman s’ouvre en pleine bataille, au milieu du carnaval dans lequel Maria cherche Agnès. Il revient ensuite en arrière, au jour de son retour, et avance ainsi jusqu’à rejoindre les festivités et se clore dans le bain de sang de leurs dernières heures. Pierre de Cabissole s’y révèle maître du suspens, aussi fin observateur des nobles sentiments que des ressorts de la rage et de la jalousie. Un livre palpitant, contemporain, une héroïne complexe, et la découverte d’un romancier de talent…

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C’est à voir

 

VERNISSAGE PRESSE
Mercredi 13 mars 2024 à 9h

Accueil café et croissants
+ visite guidée à partir de 9h30

en présence de Fanny de Lépinau, directrice du musée de Montmartre,
et des commissaires d’exposition :
Céline Berchiche Docteure en histoire de l’art moderne et contemporain, responsable de la conservation de la succession Ladislas Kijno
&
Mario Choueiry Historien de l’art, enseignant à l’École du Louvre et à la Sorbonne Abu Dhabi, chargé de mission à l’Institut du monde arabe

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Une balade au Panthéon

Une balade au Panthéon

Exposition de Raphaël Barontini,
« We could be heroes »
jusqu’au 11 Février 2024
au Panthéon

Depuis le mois d’octobre 2023, Raphaël Barontini investit le Panthéon avec une installation monumentale évoquant l’histoire et les visages des combats contre l’esclavage. Pour clore l’exposition, ses drapeaux, bannières et autres oeuvres textiles prennent vie lors d’une procession exceptionnelle le samedi 3 février à 15h30 en compagnie de 40 musiciens du Mas antillais Choukaj. Une occasion unique de découvrir l’exposition avant sa fermeture le 11 février 2024 tout comme celle présentée dans la crypte en partenariat avec la Fondation pour la mémoire de l’esclavage. 

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Derniers jours aussi pour « Oser la Liberté »
Jusqu’au 11 février

Historique et pédagogique, cette deuxième exposition à l’initiative du Centre des monuments nationaux et de la Fondation pour la Mémoire de l’Esclavage retrace la généalogie universelle d’un combat qui traverse les époques et les continents : celui de la liberté contre l’esclavage. En mêlant cette histoire foisonnante à celle de la modernité française dont elle est une page majeure, et en convoquant la mémoire des femmes et des hommes qui l’ont écrite, l’exposition montre comment le système colonial esclavagiste a toujours suscité résistances et oppositions, et combien le souffle des figures héroïques qui les ont portées continue d’inspirer les combats d’aujourd’hui. 

PIERRE LAPORTE COMMUNICATION
Laurent Jourdren / Estelle Griette 
01 45 23 14 14
info@pierre-laporte.com

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Giverny Monet

GIVERNY, UN VILLAGE À L’OMBRE DE MONET

Barbizon aurait-il connu une aussi forte notoriété sans la présence de Corot, Millet, Ziem ou Daubigny, venus y chercher l’inspiration dès les années 1830 ?
Et Auvers-sur-Oise profiterait-il encore d’une telle renommée sans le passage funeste qu’y fit Van Gogh ?
Juste un petit village du Vexin.

Jusqu’au milieu du XIXe siècle, Giverny n’est qu’un paisible petit bourg vivant chichement de ses cultures de céréales et de la vigne. À la Révolution, c’est la famille Le Lorier qui possédait les terres et monsieur Le Lorier fut le premier maire du village en 1791. En 1800, Giverny comptait 327 habitants. Il culminera à 548 âmes en 1990 pour se stabiliser aujourd’hui à environ 500.
Ce petit village du Vexin français, situé à 75 kilomètres de Paris, est cité pour la première fois vers 1025 sous son vocable latinisé de Giverniacum. Un dolmen laisse supposer que le lieu était habité bien avant, stratégiquement situé au confluent de la Seine et de l’Epte. La paroisse est fondée sous les Mérovingiens. Elle est placée sous la protection de Sainte Radegonde dont l’église sera érigée dans le style roman entre le Xe et le XVIe siècle.
On peut y découvrir, caché à l’abri des curieux, le corbillard qui conduisit le cercueil de Monet à sa sépulture dans le cimetière jouxtant l’édifice. À remarquer également une peinture exceptionnelle représentant un Christ en croix, due au talent de Claude Cambour, l’un des derniers grands impressionnistes qui eut son atelier à quelques encablures de là.

Il a suffi d’un coup de cœur pour que tout change
C’est en 1883 que Claude Monet découvre la quiétude du lieu et y loue la maison qu’il achètera en 1890. Il réaménage le verger, plante fleurs et arbres et, en 1893, fait creuser au grand effroi des riverains son fameux étang aux nénuphars en détournant un bras de l’Epte. 
À l’image de ces villages de peintres, mondialement réputés, Giverny ne recevrait certainement pas autant de visiteurs chaque année sans l’ombre omniprésente de Claude Monet.
La municipalité, le département et la région ont beaucoup œuvré pour qu’il puisse accueillir correctement ses plus de 700 000 visiteurs entre Pâques et la Toussaint : vastes parkings, circulation réglementée, sécurité renforcée…
La vie de Giverny est ainsi rythmée pendant six à sept mois par an par l’attirance touristique quasi universelle engendrée par la maison et les jardins de Monet. Personne n’ignore qu’il fut l’un des principaux initiateurs du nouveau mouvement artistique auquel son tableau brossé au printemps 1873, Impression au soleil levant, donnera son nom. 
La peinture des Nymphéas nécessitera la construction d’un nouvel atelier dédié à la création de cette œuvre monumentale. Les panneaux en seront exposés en 1909 chez Durand-Ruel. Clemenceau, l’ami du peintre, en inaugurera le décor à l’Orangerie des Tuileries, un an après la mort de leur auteur, survenue à 86 ans, le 5 décembre 1926.
Après avoir été directeur du Grand Théâtre de Genève puis de l’Opéra national de Paris, Hugues Gall a pris en 2008 la tête de la Fondation Claude Monet qui assure la gestion et la conservation de la maison de l’artiste et de ses dépendances. Il a succédé à Gérald Van der Kemp qui en a dirigé la rénovation lorsque l’Académie des beaux-arts lui en a confié la mission. 

L’universalisme artistique
Michel Monet, dernier fils du peintre, est mort dans un accident de voiture en 1966, à l’âge de 88 ans. Sans héritier, il a légué par testament la propriété et les collections de Giverny au musée Marmottant dépendant de l’Académie des beaux-arts. La maison n’avait pas été entretenue depuis longtemps et ses jardins étaient en friche. Pour sauver ce patrimoine en péril et faute de moyens, Gérald Van der Kemp et son épouse Florence ont fait appel à des mécènes dont, en particulier, la Versailles Foundation-Giverny Inc, de New York. En 1980, la Fondation Claude Monet a été créée et, le 1er juin, la propriété a ouvert ses portes au public.
Les liens entre les États-Unis et Giverny remontent aux années 1880 quand une colonie d’artistes américains, séduits par le travail de Monet, s’y installe et fréquente l’Hôtel Baudy (81, rue Claude Monet), resté « dans son jus ». Dans son jardin, on peut encore entrer dans l’atelier construit à la demande de ces peintres, en 1887. Cézanne, Rodin, Sisley, Mary Cassatt y ont travaillé ainsi que tous les jeunes Américains venus ici avant la Première Guerre mondiale. Renoir, entre autres, venait y déjeuner fréquemment avec Monet. 
Un lien de plus avec le nouveau continent a été tissé lors de l’ouverture du Musée d’Art Américain, inauguré en 1992. Il est alors géré par la Terra Foundation for American Art, créée par le collectionneur et mécène Daniel Terra. En 2009, ce bâtiment moderne, construit par les architectes Reichen et Robert, deviendra le musée des Impressionnismes, dont Sébastien Le Cornu assure aujourd’hui la présidence. Deux expositions temporaires s’y succèdent au cours de chaque saison touristique. 

L’art, un élément rassembleur
Au-delà de la peinture, Giverny a été et reste un sujet de prédilection pour les écrivains. Michel de Decker y a écrit en 1992 l’un des meilleurs livres sur Claude Monet et, en 2010, Michel Bussi a fait du village le cadre de son roman policier à succès, Nymphéas noirs. Adrien Goetz a signé, quant à lui, un remarquable ouvrage intitulé Monet à Giverny avec de très belles photos d’Éric Sander, publié sous l’égide de la Fondation Monet et en vente à la boutique du musée. 
Parmi les personnalités célèbres, Giverny s’enorgueillit d’avoir eu Leny Escudero parmi ses habitants et d’avoir reçu la visite d’Hillary Clinton en 1996 et, en 2007, de l’Empereur du Japon, Akihito. Plus près de nous, ce sont Brigitte et Emmanuel Macron qui ont foulé en 2019 le bitume de la rue Claude Monet. Quant à Patrick Balkany, son moulin se visitera-t-il un jour comme un site historique ?

Un village aux diverses gourmandises artistiques
En dehors du restaurant Baudy, se trouvent deux autres adresses agréables à fréquenter : La Musardière, hôtel-restaurant récemment rénové, avec une cuisine à tendance bistronomique servie sur une belle terrasse, et Les Nymphéas, face à l’entrée du musée, avec un accueil sympathique pour déguster des salades composées et des plats plus traditionnels. Un peu plus éloigné du centre, Le Jardin des Plumes est un hôtel de charme doté du seul restaurant étoilé de Giverny. Concernant les galeries de peinture, nous apprécions tout particulièrement la Galerie Cambour au 101 de cette incontournable rue Claude Monet.
Un saut de puce entre Giverny et la République de Montmartre
La galerie est tenue par la veuve de ce grand artiste, qu’était Claude Cambour et est, elle-même, pastelliste de grand talent. C’est à l’initiative de son fils Nicolas, Ambassadeur de la République de Montmartre à Giverny, qu’a été réalisé en 2015 le vœu de feu son père de jumeler le village de Giverny à celui de Montmartre, deux patries-berceaux de tant d’artistes ayant marqué leur temps. 

Les bonnes adresses de Pierre & Lisbeth
Restaurant Baudy
81 rue Claude Monet
27620 Giverny
+33 232 211 003
Ouvert 7/7. A partir de 29,90€

Hôtel-Restaurant La Musardière
123 rue Claude Monet
27620 Giverny
+33 232 210 318

Les Nymphéas
Square Gérald et Florence Van Der Kemp
27620 Giverny
+33 232 212 031
Ouvert tous les jours de 9H à 18H. Le soir réservation pour les groupes.

Hôtel-Restaurant Le jardin des plumes
1 rue du Milieu
27620 Giverny
+33 232 542 635
Hôtel ouvert 7/7
Menu à Partir de 55€

Comment s’y rendre ?
En voiture :
Paris, 75kms. Autoroute A13 sortie 14 ou 16, Vernon/Bonnières ou Vernon/Douains
En train :
Eviter de passer par Mantes
Gare Saint Lazare, Grandes lignes
Ligne Paris- Saint-Lazare : Rouen/Le Havre
Descendre à Vernon-Giverny.

Pierre Passot
Photographies de Liesbeth Passot-Kambier

Journalistes

Paris La Défense Les extatiques

Paris La Défense un rendez-vous incontournable

Les extatiques
Du 2 au 18 février

Si en surface, Paris La Défense est un vaste musée à ciel ouvert, avec ses 50 œuvres d’art accessibles à tous. Que cachent les sous-sols de cette vaste esplanade ?

A la découverte des entrailles de ce quartier avec les EXTATIQUES.

Cet hiver, les Extatiques – le rendez-vous incontournable des amateurs d’art contemporain au grand air – entraînent ses visiteurs dans les entrailles du plus grand quartier d’affaires d’Europe. Quelques 5000 m2 souterrains, habituellement fermés au public, vont prendre vie au rythme d’un parcours d’œuvres et d’installations imaginé par le collectif Interstices qui rassemble des artistes issus de l’exploration urbaine.

Un lieu à la fois mythique et méconnu surnommé la « cathédrale engloutie ».
Après un premier évènement artistique couronné de succès en février 2023, dans le cadre de Paris Face Cachée, la cathédrale entre-ouvre à nouveau ses portes pour permettre aux amateurs d’exploration urbaine de découvrir les installations monumentales, séries photos, peintures, sculptures, projections, œuvres numériques et cinétiques de 18 artistes qui jouent avec les volumes et les espaces. 

 Quand La puissance de l’art et de la nature se conjuguent.
Ce parcours – ponctué d’œuvres créées pour l’occasion – évoque la puissance de la nature reprenant ses droits dans des lieux abandonnés. Guidés par un médiateur, les petits groupes chemineront dans les dédales de la cavité pour une immersion entre ombre et lumière. Cet événement inédit sera aussi l’occasion de découvrir l’œuvre cachée de la Défense, le fameux « monstre » et l’atelier de Raymond Moretti.

Ouverture de la billetterie le 22 janvier 2024.

Contact presse
Pierre Laporte Communication
Stéphanie Trastour : 0620918540 – stephanie@pierre-laporte.com

Joanna Belin : 0680680016 -joanna@pierre-laporte.com