Catégorie : La Lettre de l’Afjet

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Boucherit Nora nassira.boucherit@gmail.com

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Bambouseraie

Un Été au cœur de la bambouseraie des cévennes

La Bambouseraie en Cévennes va célébrer les saisons à travers des animations, des concerts et des rencontres sur la nature qui nous entoure.

Premier rendez-vous estival avec les Pousses du Bamboo Orchestra le 2 juin suivi le 8 juin d’une séance de sophrologie.

Un Été en fête
Le 22 juin, que le fête commence. Tout va être possible avec des ateliers sur la biodiversité, une dégustation de recettes à base de pousses de bambous réalisées par les élèves du Lycée Hôtelier Marie Curie et un concert du Quatuor à cuivres de l’Orchestre de Montpellier pour les amateurs de grandes musiques.
3 rendez-vous à ne pas manquer en juillet : Le 7 Tanabata, la fête des étoiles au Japon, les 24 et 27 juillet, le cinéma au cœur du parc.
14 août, cinéma aussi et encore au cœur du parc.

Fin d’un été, bonjour l’automne
Culture et art avec la journée des peintres le 22 septembre, le 13 octobre, honneur à la nature avec la journée des plantes.

La Fête de l’automne le 31 octobre
Son dernier rendez-vous aura lieu le 17 novembre. Des rendez-vous, un hommage à Erik Borja, créateur du vallon du Dragon

La Bambouseraie en Cévennes :
Un lieu unique, un écrin de verdure où la nature est célébrée à chaque instant. Plus de mille variétés issues des 4 coins du monde sont à découvrir. Bambous, arbres remarquables, fleurs et plantes rares vous attendent pour un voyage magique.
A la Bambouseraie, vous n’aurez pas fini de parcourir le monde.

BAMBOUSERAIE DE PRAFRANCE
552 RUE DE MONTSAUVE
30140 GENERARGUES
www.bambouseraie.fr 
04 66 61 70 47

Contact presse :
M-Christine Linage
 c.linage@bambouseraie.fr 
04 66 61 73 49
 

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Étoiles du Nord

Des chiffres incroyables
13 000 dessins sont étudiés, identifiés attribués et rendus accessibles au public. Huit cent soixante-trois feuilles pour la collection de dessins des écoles du Nord au musée des beaux-arts d’Orléans. Un trésor incontestable.

Une première, ce catalogue des dessins nordiques. Découverte insolite et incroyable d’une collection méconnue. Exceptées la dizaine d’œuvres maitresses : Rubens, Jordaens, Lievens, et Goltzius.
C’est Frits Lugt (1884-1970) qui avait perçu et compris l’importance de ces œuvres lors d’une visite en 1927. Déjà en 1949 un catalogue de dessins flamands a existé mais ne fut jamais publié. Pourtant cette découverte était impressionnante avec ses 150 des plus beaux dessins hollandais, flamands, allemands et suisse de ce fonds orléanais.

Orléans, une université rayonnante
Une université de droit qui entretient des liens privilégiés avec l’Europe septentrionale.
Au XVIIé les étudiants affluaient des pays de Saint Empire romain germanique, des provinces-unies de Scandinavie. La Loire qui véhicule dans la cité ligérienne, marchands, artistes et marchandises depuis les Pays-Bas. Des liens se sont créés entre les artistes nordiques et les locaux. Aignan Thomas Desfriches se prend de passion pour ces écoles et sucite une émulation profitable au musée lorsqu’à sa fondation, en 1823_1825 les orléanais donneront leurs collections pour réunir et créer les premières collections.

Un parcours découverte
Au travers de ce moment dans le musée, l’histoire des collections orléanaises se concrétisent. Une balade au cœur de la vaste Europe Centrale et septentrionale. Au travers des dessins on voyage de la Suisse à la mer d Nord au cœur de la Renaissance au XIXe, aux Pays-Bas du XVIe.
Des artistes marqués par la manière italienne, par exemple : Jan Swart van Groningen, Jan van der Straet (dit Stradanus), Crispijn van den Broeck, Anthonie Blocklandt van Montfoort, Lambert Lombard, Hendrick Goltzius ou Dirk de Vries. 

Jacob Jordaens (Anvers, 1593 – Anvers, 1678), Le Mariage de Pélée et Théthis, Plume et encre brune, pierre noire, aquarelle, sanguine et rehauts de gouache blanche, 29,2 x 50 cm, Inv. 1716
Hendrick Goltzius (Muhlbrecht, 1558 – Haarlem, 1616), La Tentation du Christ, 1594, Plume et encre brune, 29,2 x 20 cm, Inv. DE.1825..B

L’âge d’or hollandais s’affiche
C’est dans toute sa diversité que l’école hollandaise se déploie avec, d’un côté
Les peintres d’histoire : Jan Pynas, Jacob Backer, Cornelis Bega, Govert Flinck, Floris van Schooten.
Les peintres de genre : Pieter Quast, Cornelis Dusart, Harmen Ter Borch
Les paysagistes : Jan van Aken, Joris van der Hagen, Valentin Klotz, Josua de Grave…
Pour le siècle de Rubens, autour d’une feuille du maître sont réunies des productions de son vaste atelier anversois.

Contact presse
Agence Alambert communication
Lou Lauzely
01 48 87 70 77
lou@alambert.com
Helène Jacquemin
06 24 70 23 15
helene@alambert.com

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Virebent

Le charme discret du talent.

Virebent, un héritage, un savoir-faire, une qualité. Un brevet déposé en 1831 qui va révolutionner la fabrication de briques et permettre de créer facilement corniches et cariatides.
Grace à un procédé associé aux moules à pièces, une façade d’immeuble peut être livrée en un mois.

Virebent, Une dynastie talentueuse et créative
Prosper, Sylvain, Auguste, Victor, un quatuor qui a su mettre en commun les talents de chacun. Prosper et Sylvain à la gestion financière, matérielle et administrative de la briqueterie. Auguste, architecte, créateur d’une usine artistique de céramique. Victor, avocat gérait les contentieux. Ils vont reconstruire le Château de Launaguet sur les ruines d’un ancien manoir. Cet édifice témoigne du travail que l’on peut exécuter avec la terre cuite. François cinquième frère est resté en retrait.

Une invention avant-gardiste
Auguste Virebent obtient le 18 juillet 1831 un brevet d’invention pour des procédés techniques tout à fait nouveaux. En effet, jusqu’au XIXe siècle (environ 1830), on façonna la brique selon les mêmes procédés que la brique romaine. Les presses mises au point par Virebent ont révolutionné l’artisanat de la brique en lui donnant une dimension industrielle.
Auguste inventera aussi la « plinthotomie » sorte de machine emporte-pièce pour découper sur la terre humide des formes variées. En 1845, 100 000 pièces par an sortaient de la briqueterie.

Une succession filiale
A la mort d’Auguste, Sylvain et Prosper continue à faire vivre la briqueterie devenue une véritable manufacture. Gaston le fils D’Auguste parti étudier l’émail à Paris rejoint cette équipe gagnante et y travaillera jusqu’à sa mort en 1925. L’un des fils de Gaston a continué à faire vivre la manufacture et la fabrique de Miremont.

Une autre façon de travailler
Ces inventions sont à l’origine de l’industrialisation du travail de la terre cuite et de la briqueterie. Un progrès incroyable. Les machines utilisées de nos jours sont très proches de celles mises au point par Auguste Virebent. Mais aujourd’hui les briques sont désormais réalisées par des filières plus rapides.
Quant aux presses, elles sont toujours utilisées, mais la recherche de qualité de la terre est négligée.
En effet, la brique actuelle n’a pas la finesse du produit bon marché qui constituait la masse invisible de la brique Virebent.
L’accent semble désormais se porter sur les caractéristiques mécaniques au détriment de la finesse du produit.

Une adaptation réussie
Connaissance, savoir-faire, recherche permanente perdurent et la qualité est toujours là.
Virebent travaille le gré, la porcelaine, la faïence avec une maîtrise unique et incontestée.
Un travail de recherche sur la cuisson, les émaux, la fabrication et toujours la recherche de nouveaux process.

Mairie de Launaguet
95 chemin des Combes
31140 Launaguet
05 61 74 07 16
courrier@mairie-launaguet.fr

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Nuit européenne des musées

Musée de Montmartre
Fête la nuit européenne des musées
avec Le Cabaret Madame Arthur

Une date à réserver : le 18 mai. Un cabaret s’invite au Musée de Montmartre. Une vingtième édition de La Nuit européenne. Deux lieux mythiques pour une nuit inoubliable et originale.

Les deux institutions montmartroises s’associent pour vous proposer une plongée garantie dans le Montmartre sulfureux des cabarets de l’époque à l’occasion du 130e anniversaire du célèbre Divan Japonais.

En complément de la performance envoûtante de Madame Arthur, les visiteurs pourront parcourir les espaces du musée tout au long de la soirée : les collections permanentes, l’exposition temporaire « Auguste Herbin, le maître révélé (1882-1960) », l’atelier Valadon, et profitez bien sûr des jardins et du café Renoir.

Musée de Montmartre
12 rue Cortot
75018 Paris-Montmartre

CONTACTS PRESSE

Pierre Laporte Communication

Joanna Belin | Laurent Jourdren
01 45 23 14 14
montmartre@pierre-laporte.com

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Toulouse en musique

La ville rose s’habille de musique et de festivals
Un été festif
Osez le tourisme musical

Une aubaine pour ceux qui sont prêtes à suivre les destinations touristiques musicales.
Si l’on en croit les études menées sur le sujet par Amadeus avec YouGov, 67% des personnes voyageant à l’occasion d’un concert en profitent pour visiter les environs. 
Voilà un moyen idéal de combiner passion pour la musique et découverte d’une nouvelle destination.

Depuis 2023 la ville Rose est reconnue comme « Villes des Musiques » par l’UNESCO et se trouve aujourd’hui, derrière Metz, deuxième ville française dans le domaine de la musique.
Impossible de rater ces événements.

Les temps forts

Halle Night Long : Juillet / août à la Halle Machine


Rose Festival en Occitanie : 30 août au 1er septembre


Gastronomie, partout dans la ville et toutes les formes sont proposées : Guinguettes, restos, restos traditionnels, spécialités sud-ouest et tant d’autres.

CONTACTS PRESSE
Eleonora ALZETTA
Communication • Relations presse
+33 5 61 11 02 36 • +33 6 24 49 33 56
e.alzetta@toulouseatout.com

Marine ESCH
Communication • Relations presse
+33 5 34 25 58 21 • +33 6 28 10 84 91
m.esch@toulouseatout.com

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Paris brule-t-il ?

MUSÉE DE LA LIBÉRATION
L’exposition du film
“PARIS BRÛLE- T-IL ?”
27.03.2024 au 22.09.2024.

En 1966, le livre des journalistes Larry Collins et Dominique Lapierre est adapté au cinéma et le film est réalisé par René Clément et produit par Paul Graetz et la Paramount. Il raconte la libération de Paris, vingt ans seulement après les événements.

Quand le cinéma réinvente la Libération
Alain Delon, Jean-Paul Belmondo, Yves Montand, Bruno Cremer, Kirk Douglas, Orson Welles, figurent parmi les nombreux acteurs à l’affiche du film. Cette pléiade de stars françaises et américaines contribue au succès de cette superproduction, qui reste aujourd’hui une référence cinématographique.

Un anniversaire historique
À l’occasion du 80e anniversaire de la Libération de Paris, en 2024, le musée de la Libération de Paris présente une exposition sur ce grand classique du cinéma, dont la résonance se substitue parfois à celles des faits historiques, et invite ses visiteurs à questionner les représentations. De nombreux événements sont organisés en France sur ce moment historique de la Libération.
Autour de scènes emblématiques, les visiteurs découvriront l’histoire de la Libération de Paris proposée par le cinéaste, dans le contexte politique des années 1960.
Des documents et archives de la Fondation René Clément, story board, notes ou croquis, des photographies et reportages sur le tournage, mais aussi près de 70 objets liés à la Libération de Paris issus des collections du musée, objets, photographies, documents sur le tournage seront présentés.

Un film entre documentaire et fiction
« Il faut faire du vrai plus vrai que le vrai et du vrai faux. Quand c’est trop vrai, c’est moins bon. Quand c’est interprété, c’est meilleur, c’est ça qui est important, c’est là où est la magie. » (René Clément, 1966)
Quel rapport le film entretient-il avec la vérité historique ? L’ouvrage qui l’inspire donne la clé : présenter de petite histoire qui s’enchâssent dans la « grande Histoire ».
Pour faire du « vrai faux », selon ses mots, Clément recourt à une fiction largement documentée par les témoignages. Son film livre alors des scènes tout à fait plausibles. Mais il fabrique aussi du faux vrai dans Paris brûle-t-il ? : le sort de la capitale n’a pas dépendu de la mansuétude de von Choltitz et rien ne corrobore la pose de mines sur la tour Eiffel.

Le vrai s’inspire du passé
Pour faire enfin du « vrai plus vrai que le vrai», le réalisateur s’inspire des nombreuses traces matérielles de la Libération, comme les armes ou les vêtements, aujourd’hui pièces de musée. Photographies et images d’archives lui fournissent une riche documentation. René Clément utilise habilement le documentaire La Libération de Paris tourné pendant les événements d’août 1944, qui fut très largement distribué en France et à l’étranger. Il s’inspire de certaines scènes de ce film et en intègre directement d’autres dans son œuvre.

Le triomphe au Cinéma
La sortie du film bénéficie de la même promotion fastueuse que celle déployée en 1962 pour le lancement du “Jour le plus long”. Le triomphe est immédiat. Le film est présenté dans toute la France, souvent en présence des témoins de 1944, et sa sortie s’accompagne d’une grande campagne de communication. Cinq millions de spectateurs se presseront dans les cinémas.
Les États-Unis, la Suède et l’Allemagne réservent un très bon accueil au film. En France, il est soupçonné de servir les intérêts politiques des gaullistes à quelques mois des élections. Son succès populaire et ses maintes rediffusions à la télévision ont un effet inattendu : les images authentiques de la Libération de Paris s’effacent peu à peu des esprits, tandis que s’imposent celles de “Paris brûle–t-il?”…

Informations pratiques
Musée De La Libération De Paris
Musée Du Général Leclerc
Musée Jean Moulin :
4, avenue du Colonel Rol Tanguy,
Place Denfert Rochereau-75014 Paris.
Site internet : museeliberation-leclerc-moulin.paris.fr

Du mardi au dimanche de 10h à 18h – Tarifs exposition : Plein : 9 €, Réduit 7 €

Texte & photos : Angélique GALIFFI