Jour : 12 mai 2023

Journalistes

Chaumont-sur-Loire

« Carrés d’Art » à Chaumont-sur-Loire
32e Festival International des Jardins de Chaumont-sur-Loire
« Jardin résilient » du 25 avril au 5 novembre 2023

Observatoire des tendances du jardin, le Festival International des Jardins de Chaumont-sur-Loire joue encore une fois, cette année, son rôle de passeur d’idées et de bonnes pratiques auprès de son public.
Dérèglement climatique, dégradation du monde vivant, telles sont les nouvelles données auxquelles les zones tempérées sont désormais confrontées. Sobriété́, autosuffisance grâce à la permaculture, aux forêts comestibles… tout est à mettre en œuvre pour renforcer la résilience de nos jardins, pour anticiper, agir, rebondir, réduire les vulnérabilités.

Cette année, Les concepteurs et paysagistes proviennent, une fois encore, d’univers différents, puisqu’ils sont issus du monde du végétal, de l’architecture, du design, mais aussi du dessin ou des livres. En créant des tableaux et des jardins très divers, ils ont mis en valeur les capacités de régénérescence de la nature, quand elle est subtilement accompagnée par l’homme. C’est ainsi qu’on peut voir des berges asséchées de rivières manquant d’eau, des sols craquelés sous l’effet de la chaleur, des lieux confrontés au double défi de la résistance aux incendies et de l’adaptation aux inondations. On peut aussi contempler des jardins “Kintsugi” où le végétal vient à réparer les blessures du sol, emprunter des corridors végétaux, découvrir des systèmes ancestraux et ingénieux d’irrigation, pénétrer dans une forêt sacrée où l’ombre et la fraîcheur apaisent les esprits…

Sensibiliser au merveilleux du végétal et du vivant en général, tout en transmettant des messages essentiels, sans renoncer à la magie esthétique des jardins, telle est la philosophie de cette manifestation.

Ne pas oublier la visite du château ainsi que les diverses installations artistiques judicieusement placées sur le Domaine.

LE CHANT DU SEL
Félix DE ROSEN, architecte-paysagiste et auteur, Éric FUTERFAS, architecte, et Bruno DEROZIER, pépiniériste

UNE (PRESQUE) ILE VERTUEUSE
Louise QUINTANA, paysagiste DPLG, et Guillaume COLLAUDIN, chef jardinier-Compagnon du Devoir

 

 

Domaine Régional de Chaumont-sur-Loire
41150 CHAUMONT-SUR-LOIRE
Tél : 02 54 20 99 22
WWW.DOMAINE-CHAUMONT.FR

Journalistes

Journées Doullenaises

JOURNÉES DOULLENNAISES DES JARDINS D’AGRÉMENT Citadelle de Doullens
(Doullens, Somme)
Samedi 27 et dimanche 28 mai 2023

L’une des fêtes des plantes pionnières en France consacre sa 36e édition aux plantes sauvages présentes dans nos jardins

Les plantes sauvages dans nos jardins
Accueillir des plantes sauvages dans nos jardins, c’est accepter un contraste entre l’aspect cultivé et soigné de ceux-ci et le caractère sauvage de ces végétaux. Nous

sommes sensibles à l’exotisme des plantes communes de nos jardins originaires du Sud de l’Europe, du Caucase, de Chine, des Amériques, etc. mais, des plantes tout aussi
sauvages et dignes d’intérêts poussent en nos régions septentrionales et nous l’ignorons souvent » indique Jean-Claude Marzec, le président de l’association des Amis des
Journées Doullennaises des Jardins d’Agrément. Les plantes « sauvages » seront ainsi mises à l’honneur, avec la complicité des pépiniéristes invités à cette 36e édition !
Lierres, chèvrefeuilles, stellaires, ellébores et d’autres sont moins spectaculaires que Prunus, Magnolia, lilas mais elles témoignent aussi, de l’extraordinaire diversité et richesse du monde végétal à l’état naturel.

Certaines de ces plantes qualifiées de « sauvages » sont parfois considérées comme agressives et conquérantes lorsqu’elles s’installent et se multiplient naturellement au-delà des limites du jardin. Il est donc de la responsabilité du jardinier de choisir quelle plante sauvage installer dans son jardin et veiller à la maîtrise de son extension pour ne pas être envahi par la berce du Caucase, l’ailante ou bien encore buddleja.

Journées Doullennaises Des Jardins d’Agrément : la passion des plantes et de leur histoire  (JDJA), créées en 1987 à la Citadelle de Doullens (Somme), sont une exposition-vente annuelle de végétaux organisée par des amateurs éclairés et des collectionneurs de plantes. Ces journées des plantes accueillent essentiellement des pépiniéristes- producteurs, tous animés par la volonté de faire découvrir de nouvelles variétés et de diffuser des végétaux de qualité. Jean-Claude Marzec, président de l’association qui veille à l’organisation de l’événement, aime dire combien l’histoire des plantes est liée à celle des hommes.

Une soixantaine de pépiniéristes, producteurs et collectionneurs, venus de toute la France ainsi que de Belgique, viennent à la rencontre d’un public en quête d’une plante pour leur jardin, leur terrasse ou leur intérieur : annuelles, vivaces, arbres, arbustes, rosiers, graminées, cactées, bulbes, aromatiques, buis. Les « Journées Doullennaises des Jardins d’Agrément » est la seule fête des plantes française à présenter deux Murs végétaux créés, en 1997, par le botaniste Patrick Blanc à l’occasion du 10ème anniversaire de l’événement. Les journées des plantes de Doullens bénéficient du soutien du CCVS (Conservatoire des Collections Végétales Spécialisées) et de la SNHF (Société Nationale d’Horticulture de France).

Citadelle de Doullens, Côte d’Amiens 80600 Doullens De 9h30 à 19h00
Entrée : 6 euros – Pass 2 jours : 8 euros – Gratuit pour les moins de 15 ans
06 07 27 68 79 – www.jdja.net

Amand Berteigne & Co
Amand Berteigne 06 84 28 80 65
amand.berteigne@orange.fr

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Léonard de Vinci

« Léonard de Vinci. L’invention de l’anatomie »,
Amboise, Château de Lucé
9 juin, 17 septembre 2023

L’exposition, présentée au Clos Lucé, plonge le visiteur au cœur des années de Léonard anatomiste et de l’émergence de nouvelles méthodes scientifiques comme la dissection. Trente ans d’une quête absolue afin de percer le mystère de la vie et de décrypter le corps humain dans sa mécanique, son mouvement, son fonctionnement organique.

Un parcours didactique, pluridisciplinaire, étonnant où se mêlent livres d’époque, dessins originaux du XVIe de disciples de Léonard de Vinci, fac-similés, maquettes anatomiques, instruments de dissection, installations et vidéo 3D animées. Tout cela pour faire découvrir au visiteur l’anatomie du corps humain dans les pas de Léonard de Vinci, anatomiste !

Un parcours insolite à travers les premières études concentrées sur l’anatomie superficielle et marquées par la lecture des travaux de Galien aux dissections de cadavres au tournant du XVIe siècle, les études anatomiques de Léonard de Vinci représentent l’une des plus importantes contributions à la science de l’anatomie de la Renaissance. Ces études devaient servir à un traité de l’anatomie que Léonard ne publia jamais. Par ce dévoilement du corps qui va de pair avec sa découverte des secrets de la nature et de l’univers, Léonard de Vinci se lance un défi sans fin.

Un parcours au gré des grandes thématiques de recherche de Léonard : analogie entre le microcosme du corps humain et le macrocosme du corps de la terre, proportions du corps humain, mécanique du corps (les os, les muscles et les tendons) apparentant ce dernier à une machine, logique des sens (notamment de la vision) et toutes les fonctions corporelles (digestion, respiration, circulation sanguine, reproduction). L’exposition se termine sur les rapports étroits entre les recherches anatomiques et l’œuvre picturale de Léonard de Vinci.

Un parcours qui questionne : Comment Léonard a-t-il pu reproduire le corps humain avec autant de précision ?
Convaincu de l’importance d’une approche quantitative pour percer les secrets du corps humain, Léonard a, de lui-même, élaboré une méthode originale de dissection procédant par couches ou par tranches ou encore par un regard tournant autour de l’objet (une méthode de sculpteur) avant d’opérer une synthèse. Contrairement à l’opinion communément répandue, Léonard n’a pas réalisé ses dissections en secret, mais bien au cœur des hôpitaux et en complet accord avec les autorités politiques et religieuses, du moins jusqu’à ce que ses idées matérialistes entrent en contradiction avec les bulles pontificales notamment à propos de l’embryologie. 
« Et tout ce que tu feras pour ce côté de la main, tu le referas pour les trois autres, à savoir la partie intérieure ou palmaire, la partie dorsale et la partie des muscles extenseurs et fléchisseurs. Dans le chapitre sur la main, tu procèderas donc à trente démonstrations ; et il te faudra en faire autant pour chacun des membres. Ainsi, tu acquerras la connaissance complète. » Léonard de Vinci, extrait du codex de Windsor, (LR1906r)

Un parcours qui ose aller plus loin : plus loin dans la compréhension de la méthode de travail de Léonard, une salle complète dédiée à la dissection est reconstituée. Reconstitution qui ne manquera pas d’étonner et de surprendre le jeune public. 
La méthode de dissection de Léonard est décryptée par un dialogue inédit entre ses dessins anatomiques et l’imagerie médicale d’aujourd’hui, révélant ainsi leur grande précision pour l’époque. Les vues de scanner ou d’IRM se confrontent aux célèbres planches de la collection Windsor et des codex Leicester et Huygens (fac-similés). L’art de Léonard révèle une stylisation incomparable qui apporte la clarté nécessaire à ses illustrations didactiques. Il devient aisé de percevoir ses qualités de sculpteur dans les études issues de la dissection tridimensionnelle, notamment ses représentations du fœtus, du crâne ou de l’épaule.

Un parcours qui conduit du dessin anatomique à l’œuvre d’art.
La dernière partie de ce parcours passionnant se concentre sur le lien intime qui lie le regard du scientifique à celui de l’artiste lorsqu’exactitude anatomique rime avec beauté plastique. Cette étude assidue du vivant sert sa quête absolue dans la peinture : peindre les vibrations de la vie pour s’approcher du mystère de celle-ci. Une vidéo réalisée par le Laboratoire de Traitement de l’Information Médicale de Brest montre les squelettes en 3D des apôtres de La Cène afin de mettre en lumière la position des corps. Chaque image respecte scrupuleusement l’attitude des personnages. Ainsi, le visiteur prend-il la mesure des connaissances en biomécanique de Léonard et de leur restitution dans son travail de peintre.

 

Restauration numérique de La Cène par Kiyoshi Bando © Joël Savéan, Christian Lefèvre, François Gaucher
Modélisation en 3D de La Cène à partir de la version numérisée de Kiyoshi Bando © Joël Savéan, Christian Lefèvre, François Gaucher

Olivier Sernac – Olivier.serna@c-la-vie.fr

Maylis Nicomède Consultante RP  C LA VIE – L’AGENCE DE COM
7, Rue du Général de Castelnau 75015 PARIS – FRANCE 
Port. +33 7 86 50 58 71

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Journalistes

Blacailloux

L’expérience Blacailloux :
le lieu idéal pour les vacances et séminaires/réceptions
Blacailloux, restauré avec élégance, vous propose des courts et longs séjours dans ses bastides d’exception en parfaite osmose avec la nature Mais aussi son Pôle Évènementiel moderne avec son magnifique rooftop sur les vignes pour vos séminaires, conventions ou mariage,… le lieu incontournable en Provence Verte.

Une provence authentique et préservée
Blacailloux, situé à Tourves (à 30 minutes d’Aix en Provence, 45 minutes de Toulon et Marseille), est ancré dans le territoire exceptionnel du Parc Naturel Régional de la Sainte Baume et de la Provence Verte. C’est ici que Blacailloux prend ses racines et déploie ses rangs de vignes.
Mettre le temps sur pause, se ressourcer, se reconnecter à la nature, apprécier la beauté de la Provence Verte, profiter des expériences de « ma prouvènço bello », telle est la promesse de Blacailloux dans son écrin de nature.

Une restauration de l’ancien soignée et chic
Blacailloux a souhaité recevoir ses hôtes dans un écrin préservé offrant un confort moderne et chaleureux. La décoration concilie matériaux nobles et mobiliers confortables aux  lignes pures et design. Les espaces verts sont joliment aménagés par les équipes de Blacailloux afin d’offrir des lieux de vie extérieurs très agréables.

De sublimes espaces pour les réceptions et les séminaires
Mariage, anniversaire mais également séminaire, réunion professionnelle…, Blacailloux est en mesure d’accueilir ou d’organiser tout type d’événement.
La réhabilitation d’une très belle cuverie et la mise en harmonie d’un bâtiment existant donnent un caractère unique à cette bâtisse, à la fois cave de vinification et espace de réception. Le toit terrasse et son toit terrasse de 400 m2 dévoilent une vue époustouflante à 360 ° sur les vignes, les bois et les monts provençaux.
L’espace de réception est modulaire et peut accueillir 10 à 960 convives. Les terrasses et les salles communiquent pour s’adapter aux besoins. Des équipements haut de gamme à la qualité de l’acoustique, tout est pensé pour proposer un cadre de grande qualité et une salle des vendanges pour réaliser des dîners d’exception, jouxtant une salle aux voûtes anciennes. 

Les Demeures d’hôtes Blacailloux
Blacailloux constitue le lieu idéal pour poser ses valises le temps d’un week-end ou d’une semaine pour profiter de ses grands espaces, sa forêt préservée, sa situation géographique proche des plus grands sites provençaux et son climat provençal.
Les 3 bâtisses ont été restaurées et pensées pour répondre aux attentes des clients et leur permettre de vivre une Provence Verte intimiste.
En duo, en famille, entre amis, les trois bâtisses peuvent accueillir de 2 à 14 personnes. Piscines,  tennis, terrasses privatives, et surtout loin de l’agitation du littoral, Blacailloux sait ravir ses convives !

Blacailloux
Domaine de Blacailloux, 83190 TOURVES
04 94 86 83 83 – blacailloux.frbienvenue@blacailloux.fr
Réservations sur www.blacailloux.fr ou bienvenue@blacailloux.fr

Contact Presse
Com’ en Provence – Servane Grisot- servane@comenprovence.fr – 06 23 40 41 15