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LE JOÜY

LE JOÜY tient toujours ses promesses… gourmandes !

Au cœur du troisième arrondissement parisien, LE JOÜY est un bistrot moderne construit comme un décor de théâtre. Mais c’est aussi un bar banché, une boîte à musique, une maison d’artistes… et surtout un restaurant distingué « Table Gourmande Toquée » par le Gault et Millau.

Deux belles terrasses loin de l’agitation des voitures

LE JOÜY, c’est d’abord un restaurant dirigé par Nicola Casties et Thomas Pastor qui qualifient avant tout leur établissement de « bistrot moderne ». Mais il suffit de se poser à l’une de ses tables pour découvrir une palette de produits frais ainsi qu’une cuisine de grand-mère revisitée par Nicola, le chef cuisinier. C’est avec plaisir que l’on s’y retrouve entre amis afin de partager un repas tout en se laissant guider par ces surprises aromatiques qui séduisent tous les palais.

Alors que l’été approche, loin de l’agitation des voitures, les belles terrasses estivales du JOÜY sont déjà de retour pour le bon plaisir des touristes et de ses fidèles habitués. Les habitants du quartier aiment bien se mélanger aux touristes de passage pour échanger le long de leurs deux belles terrasses des souvenirs de bonheur gustatif et convivial sans modération grâce à son excellent rapport qualité-prix.

Une « Table Gourmande Toquée » par le Gault & Millau

Mais LE JOÜY n’est pas simplement qu’un restaurant. C’est une petite galerie d’art qui expose des artistes magnifiquement mis en lumière dans cet endroit cosy et détonnant qui devient le rendez-vous des amoureux de l’Art sous toutes ses formes, mais c’est aussi un lieu hautement festif dans la grande salle : Au beau milieu, trône un magnifique piano quart de queue qui permet certains soirs, à des amis et musiciens invités, de caresser les touches blanches et noires de l’instrument sans faire trembler la tapisserie en toile de Joüy, d’où le restaurant porte son nom, et qui orne les murs décorés avec goût.

Si vous avez envie de fêter quelques évènements personnels ou professionnels, LE JOÜY peut louer à certaines dates sa grande salle tout comme sa galerie qui se transforment en lieu privé et festif par excellence le temps d’un moment éphémère et précieux.

On peut dire que LE JOÜY tient bien ses promesses gourmandes puisque, après avoir été distingué en 2023 par le Gault & Millau en tant que « Table Originale », il vient d’être reconnu « Table Gourmande Toquée » en 2024. C’est une fierté pour Nicola et Thomas, les deux sympathiques propriétaires, de voir leur travail ainsi récompensé.

Infos pratiques
Le JOÜY
Restaurant et Bar
10 rue Montgolfier
75003 Paris
Tél. : 01 45 68 99 86
lejouyparis3@gmail.com

Didier Galibert

Journalistes

Gergovie

GERGOVIE,
AU CŒUR DE L’HISTOIRE GAULOISE

Musée Archéologique de la Bataille
Pour les fous et les amoureux d’histoire,
Comment résister au plaisir de marcher sur les traces de Vercingétorix ?

Depuis octobre 2019, le Musée Archéologique de la Bataille de Gergovie a ouvert ses portes au public. Un constat positif 5 ans après : 150 000 visiteurs ont replongé dans la Guerre des Gaules et découvert ou redécouvert les richesses de la civilisation gauloise.
Plus que la célèbre bataille opposant César à Vercingétorix, la volonté de notre musée installé sur le magnifique plateau de Gergovie, est de mieux faire connaitre le mode de vie, la culture, les innovations des Arvernes et plus largement des Gaulois.
Posé à fleur de terre, à fleur de légende sur le mythique plateau de Gergovie, au cœur de l’Auvergne, le Musée Archéologique de la Bataille de Gergovie résonne encore de la gloire de Vercingétorix.
Aller à Gergovie, c’est pénétrer cet univers particulier
On part pour un voyage en 3D, on suit le déroulé de la victoire surprise de Vercingétorix sur Jules César, on admire les trésors des fouilles effectuées sur ce site classé et on découvre l’art de vivre de l’un des plus sophistiqués des peuples gaulois, les Arvernes qui firent de l’oppidum de Gergovie leur capitale pendant près de 70 ans.

Des paysages fascinants
Avec ses paysages immenses et fascinants, ce monde celtique disparu et réapparu grâce aux recherches archéologiques, le plateau de Gergovie vibre encore aujourd’hui du destin hors norme de ses héros devenus légendaires.
Situé à 750 m d’altitude et difficilement accessible, il s’imposait naturellement comme place forte redoutable.
Formé il y a environ 20 millions d’années, à la suite de plusieurs éruptions volcaniques, le plateau de Gergovie a conservé une richesse géologique singulière. Il est classé Monument Historique depuis 2018 pour son intérêt historique et scientifique, et inscrit comme Site Classé depuis 2022, en tant que  » Patrimoine historique et pittoresque  » avec les sites arvernes (Corent, Gondole, camps de César).
Arpenter les sentiers protègés qui parcourent ses versants labellisés zone Natura 2000 pour leur faune et flore exceptionnelle, est aussi un voyage dans le temps.
À l’horizon 2029, l’objectif est d’obtenir le classement Grand Site de France pour ce territoire de plus de 4 000 hectares et de lancer un centre archéologique et touristique à ambition européenne dont le cœur sera un grand Musée de la Civilisation Gauloise, interactif et connecté à l’actuel Musée de Gergovie.

Contact presse
Sylvie Blin
+33 608 535 034
sylvie@syvieblin.com

Musée de Gergovie
Sylvain Depale
+ 33 473 606 367
sylvain.depale@musee-gergovie.fr

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Grand Prix du livre AFJET 2024

Grand Prix du livre AFJET 2024
Sélection finale

   

« Marguerite et le mont Blanc » Michaël Sibony
Dans cette histoire, il est d’abord question de montagne, et plus précisément du massif du Mont-Blanc, aussi envoûtant que majestueux. Il y a ensuite Marguerite, à la fois sœur non-née et locomotive du Tramway du Mont-Blanc. De la musique – beaucoup –, des tours de manège – seulement quelques-uns –, un oncle, Ajzik, qui dit des choses comme «?Faut-il se priver de sauter d’un train en marche quand il nous embarque vers une mauvaise destination???» Et un garçon amoureux d’une montagne, qui va devoir se construire entre deuil impossible et passion obsédante. Une trame complexe et sensible, que Michaël Sibony dénoue avec subtilité.
Editions de l’Aube – 05/01/2024 – 192 pages – 18,90€

« Les Yeux de Mona » Thomas Schlesser
Cinquante-deux semaines : c’est le temps qu’il reste à Mona pour découvrir toute la beauté du monde. C’est le temps que s’est donné son grand-père, un homme érudit et fantasque, pour l’initier, chaque mercredi après l’école, à une œuvre d’art, avant qu’elle ne perde, peut-être pour toujours, l’usage de ses yeux. Ensemble, ils vont sillonner le Louvre, Orsay et Beaubourg.?
Ensemble, ils vont s’émerveiller, s’émouvoir, s’interroger, happés par le spectacle d’un tableau ou d’une sculpture.?Empruntant les regards de Botticelli, Vermeer, Goya, Courbet, Claudel, Kahlo ou Basquiat, Mona?découvre le pouvoir de l’art et apprend le don, le doute, la mélancolie ou la révolte, un précieux trésor que son grand-père souhaite inscrire en elle à jamais.
Grand roman d’initiation à l’art et à la vie, histoire d’une relation solaire entre une petite fille et son grand-père, Les Yeux de Mona connaît un destin fabuleux : traduit dans plus de vingt pays avant même sa parution en France, c’est un phénomène international.
Albin Michel – 01 février 2024 – 496 pages – 22,90€

« La force de nos racines » de Catherine Brechignac
Qui, remontant le temps, n’aimerait pas rencontrer ses aïeux, ascendants et ancêtres face à face ? Qui, déroulant les siècles, ne rêverait pas de les faire revivre devant ses yeux ? Qui, égrenant leurs noms et leurs destins, ne désirerait pas être leur mémorialiste à l’usage des âges futurs ?
Il fallait l’une de nos plus éminentes scientifiques de renommée internationale pour illustrer avec précision, inspiration et émotion cette passion française qu’est la généalogie. Partant en quête de sa lignée bretonne au cœur du Finistère sur quatorze générations, mobilisant registres paroissiaux, états civils, chroniques historiques, cartes géographiques, données climatiques, Catherine Brechignac ressuscite ici celles et ceux dont elle est l’héritière, les humbles paysans et ouvriers d’une simple histoire familiale sans lesquels, toutefois, il n’y aurait pas eu d’histoire de France.
Balançant entre la terre et la mer, la charrue et le bateau, l’ancrage et l’exil, voici un voyage vers nos origines où les rites le disputent aux métiers, les fêtes aux guerres, les saints aux elfes. Mais la science n’allant pas sans conscience, ce récit, qui se lit comme un roman, constitue aussi une alerte contre la déshumanisation du monde. « Un peuple amnésique est un peuple mort », nous prévient Catherine Brechignac.
Une plongée dans hier. Une fresque d’aujourd’hui. Un espoir pour demain.
Les éditions du Cerf – 01/2024 – 208 pages – 20,00€

« A Dieu vat » Jean-Michel Guenassia
« On ne choisit rien, on ne fait que mettre ses pas dans le chemin tracé, on accomplit toujours ce que l’on est. »
C’est dans l’euphorie d’un monde à reconstruire, en 1924, qu’Irène rencontre Georges. Elle est serveuse, il est menuisier aux studios de cinéma, et ressemble à s’y méprendre à Rudolph Valentino, ce qui en chavire plus d’une. Le temps d’une valse sur les bords de Marne, ils tombent amoureux.
Leur fille aînée, Arlène, fera partie pendant son enfance du carré magique : à ses côtés, il y aura Daniel, qui se destine à Saint-Cyr, et Thomas et Marie, les jumeaux de bonne famille. Ils sont inséparables. Mais Arlène n’est pas comme eux. Malgré son humble extraction, elle va s’évertuer à être l’une des premières femmes ingénieurs atomiques en France. 
Ce qui n’est pas sans embûches. Ce qui n’est pas sans sacrifices. 
Chassé-croisé d’amours éperdues, de destinées funestes et de rendez-vous manqués sur fond de bouleversements sociaux et politiques, À dieu vat est aussi l’épopée d’un siècle : celui d’une jeunesse fracassée par trois guerres successives, des filles qui voulurent échapper à leur condition, et des gens modestes qui eurent de l’ambition.
Albin Michel – 30 août 2023 – 496 pages – 22,90 €

« Le Jardin des Plantes ou De l’horrible danger de la promenade » Elvire de Brissac
En créant en 1635 un jardin des plantes médicinales à Paris, directement placé sous son autorité, Louis XIII fonde non seulement l’une des plus anciennes institutions scientifiques de France avant l’Académie des Sciences (1666) et l’Observatoire de Paris (1667), mais aussi l’une des plus modernes. Des cours gratuits, donnés en français et non plus en latin au tout-venant : du jamais vu, qui fait froncer les sourcils à la Sorbonne !   Car le succès est immédiat, les carabins s’en donnent à cœur-joie de disséquer des cadavres, de ridiculiser les Diafoirus, de découvrir une sexualité aux plantes : médecine et botanique ne font qu’un au XVIIème siècle et c’est le premier médecin du roi, Guy-Crescent Fagon, qui administre le jardin jusqu’à la fin du règne de Louis XIV.  Au XVIIIème siècle, c’est la surproduction de tout  : des espèces végétales, animales et minérales rapportées par ces missions scientifiques qui sillonnent l’univers, des cabinets de curiosité des grands de ce monde, des touristes qui affluent de toute l’Europe au jardin des Plantes pour rencontrer Buffon, l’auteur d’un des best-sellers de son temps, une Histoire naturelle en 36 volumes qui ignore sèchement son contemporain, le savant suédois Carl von Linné dont la classification fait encore autorité.  Nationalisé à la révolution, sauvé par Lakanal qui voit surtout son aspect éducatif, voici le jardin Royal transformé en muséum. Douze professeurs vont chacun occuper une chaire et administrer l’institution pendant deux cents ans et aucun des promeneurs, peintres ou écrivains qui découvrent avec délices au XIXème siècle la ménagerie, les grandes galeries, le jardin d’Acclimatation (1860), au bois de Boulogne, le musée d’Ethnographie, ancêtre du musée de l’Homme, au Trocadéro (1878) ou le zoo de Vincennes (1934) ne se doute des querelles qui agitent les coulisses de l’établissement et se nomment fixisme, transformisme, Darwinisme, colonialisme, adaptation ou refus de la révolution industrielle, déclin scientifique. L’homme est-il un singe ? La France apporte-t-elle aux peuples colonisés l’ombre ou la lumière ? A quoi sert le muséum ? Comme la pluie qui tombe dans les grandes galeries, faute de crédits, après la Seconde Guerre mondiale et surtout après les Trente Glorieuses, l’histoire naturelle est-elle en train de tomber dans l’oubli ?
  L’ADN découvert en 1953, qui révèle tout de vous, de votre passé et de celui du vieux renard empaillé ou de la roche emprisonnée, fait-il encore de nous des êtres humains ? La numérisation viendra-t-elle à bout du trop-plein des musées ? Va-t-elle rendre à leurs pays d’origine tout ce qui en a été emporté ? Et la terre qui se décroche par mottes entières sous nos yeux, où va-t-elle ? C’est dire qu’au XXIème siècle, le muséum a encore devant lui de beaux jours et de belles promenades parmi les dangers de la terre. « [Celle-ci] peut bien disparaître, disait August Strinberg en 1894, si le jardin des Plantes est épargné, la création sera sauvée. » Puisse l’avenir lui donner raison !
Grasset – 10/01/2024 – 204 pages – 22€

« Un très honnête bandit » Antoine Albertini
Le 11 octobre 1882, Jean-François Rocchini, un cultivateur de la région de Porto-Vecchio est assassiné parce qu’il est Le 11 octobre 1882, Jean-François Rocchini, un cultivateur de la région de Porto-Vecchio est assassiné parce qu’il est  soupçonné d’avoir tué le chien de ses voisins. Xavier, son fils, le venge un an plus tard. Parti au maquis, égaré sur des chemins inconnus, il commet de nouveaux crimes et gagne le surnom d’Animali, la « Bête ». Arrêté, il est condamné à mort. Il a 24 ans.

Dans ce roman tiré d’un fait divers oublié qui passionna l’opinion internationale de l’époque, Antoine Albertini raconte  une île infestée de banditi, leur monde et leurs lois, et met en  lumière les mécanismes de la violence dans la fabrication de  l’image de la Corse. Un jeune bandit, un bourreau terrifié par le sang des condamnés, un gendarme destructeur des bandits  et bègue, un coutelier magnifique, une jeune femme courageuse  : tous ses personnages disent un siècle et une île, ils sont  superbes et inoubliables.

JC. Lattès – 23/08/2023 – 448 pages – 21,90€

« Basses terres » Estelle-Sarah Bulle
En Guadeloupe, les toussotements de la Soufrière font partie du quotidien des habitants de la Basse-Terre. Mais en ce mémorable mois de juillet 1976, les explosions s’intensifient, les cendres recouvrent impitoyablement la végétation et beaucoup se résignent à partir en Grande-Terre. Au cœur de cette saison brûlante, les bourgs se vident et les destins se jouent. De l’autre côté de l’isthme, chez les Bévaro, l’heure est aux retrouvailles : dans la case d’Elias, le patriarche, s’agglutinent la famille de son fils venue de métropole et une flopée de cousins déplacés. Eucate, en Basse-Terre, n’a plus que sa petite-fille. Elle a autrefois érigé sa case sur les pentes du volcan pour fuir les vilénies de son patron monsieur Vincent et elle est bien décidée à y rester. Même si elle devait être la dernière, seule avec ses souvenirs d’un passé doux-amer.
Liana Levi – 4/01/2024 – 202 pages – 20€

« Et vous passerez comme des vents fous » Clara Arnaud
Gaspard, un berger pyrénéen, s’apprête à remonter en estive avec ses brebis, hanté par l’accident tragique survenu la saison précédente. Dans le même temps, Alma, une jeune éthologue, rejoint le Centre national pour la biodiversité, avec le projet d’étudier le comportement des ours et d’élaborer des réponses adaptées à la prédation.
Sur les hauteurs, les deux trentenaires se croisent de loin en loin, totalement dévoués à leurs missions respectives. Mais bientôt les attaques d’une ourse les confrontent à leurs failles. Les audaces de la bête ravivent les peurs archaïques, révélant la crise du pastoralisme et cristallisant des visions irréconciliables de la montagne : elle devient l’ennemie à abattre.
Dans cette vallée où jadis le dressage des ours était une tradition, la réintroduction du plantigrade exacerbe les tensions. L’histoire de Jules, jeune saltimbanque parti faire fortune à New York avec son animal, à l’orée du ˜˜e siècle, scande le récit principal et résonne puissamment avec le présent.
Interrogeant notre rapport au sauvage, Clara Arnaud offre une plongée saisissante, minutieusement documentée, dans la vie pastorale moderne. Elle signe un roman sensuel, immersif et tellurique, célébrant la beauté de la montagne sans taire sa violence.
Actes Sud – 08/2023 – 384 pages – 22,50€

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Château La Roche-Guyon

Château La Roche-Guyon
4 & 5 mai
Journées Plantes, Plaisirs, Passions
30e éditions.

Pour les amateurs d’une nature florissante, voilà un Week-end à ne pas rater. Un invité d’honneur, Patrick Blanc qui n’est autre que l’inventeur du mur Végétal.

Dans l’unique commune d’Ile-de-France labellisée « Plus beaux villages de France », situé entre la Seine et une imposante falaise de craie classée Natura 200.
Le château de La Roche-Guyon (XIIe siècle) et son domaine paysager constituent l’écrin pittoresque de Plantes Plaisirs Passions, l’une des principales fêtes des plantes franciliennes.

Patrick Blanc : en quelques dates
Biologiste et botaniste de formation, Patrick Blanc invente son premier Mur Végétal© en 1986. Trois étapes importantes vont déclencher l’éclosion des Murs Végétaux© à travers le monde. En 1994, Jean- Paul Pigeat, le créateur du Festival des Jardins de Chaumont-sur-Loire propose à Patrick Blanc de présenter un mur au festival. La France le découvre. En 2001, l’architecte d’intérieur Andrée Putman pense que ces jardins verticaux peuvent s’adapter à de grandes surfaces. A sa demande, Patrick Blanc crée un mur de 30m de haut dans la cour de l’hôtel Pershing Hall à Paris. Le monde entier remarque ce concept incroyable. Enfin, en 2004, l’architecte Jean Nouvel fait appel à Patrick Blanc pour végétaliser les murs du Musée des Arts Premiers, quai Branly à Paris. 800 m2 ! La consécration est totale.
Au Château de La Roche-Guyon, en 2002, Patrick Blanc crée la « Caverne Végétale » dans l’une des arcades de la cour des anciennes écuries avant que des travaux de sauvegarde nécessitent malheureusement sa suppression quelques années plus tard.

Photos Amand Berteigne.

Infos
1, rue de l’Audience
95780 La Roche-Guyon
01 34 79 74 42
www.chateaudelarocheguyon.fr
Facebook, Instagram
Samedi 4 mai de 10h à 19h
(le samedi la billetterie ferme 1h avant)
Dimanche 5 mai de 10h à 19h
(le dimanche la billetterie ferme 1h avant)

Contact presse
Amand Berteigne & Co
06 84 28 80 65
amand.berteigne@orange.fr

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La Venise Verte

Déconnexion au cœur de la nature
La Venise Verte vous attend

Pourquoi ne pas tenter le Tourisme zen, le tourisme qui musarde, le slow tourisme ?
Les pieds dans l’herbe, la tête vers la canopée, osez découvrir La Venise Verte.

Un camping écolabelisé par l’écolabel Européen. Tout a été conçu pour une véritable intégration dans le paysage patrimonial local.

Choisir son mode de vie
Des chalets de bois, des mobil-homes, des écolodges vous y attendent pour un week-end ou plus. Les chalets entre 24 et 60 m2 entièrement équipé de tout ce que le visiteur espère trouver. UN confort de vie au cœur de la nature.

Les mobil-homes avec terrasse, les écolodges au charme minimaliste mais certain sont faits de toile et de bois et outre une surface sympa, une grande terrasse pour vivre une nuit à la belle étoile. Et pourquoi pas ?

Côté service ?
Oublier le quotidien et vivez au ralenti, tous les services sont là pour votre immersion dans la Venise Verte. Resto, bar, coin livres et télé, location de vélos, de canoë ou de paddle, une piscine chauffée accessible au Personne à mobilité réduite (PMR) et… des animations, du sport, des tournois sportifs, des ateliers pour les enfants… Tout cela pour vivre pleinement la démarche éco-responsable.
La Venise Verte, s’attache à œuvrer concrètement pour la préservation de l’environnement.

Côté déconnection
Attention aux addicts car dans le respect du parc Régional du Marais Poitevin, à La Venise Verte l’accès aux réseaux wifi et tél est limité. Pas de souci il y a des zones wifi qui permettent les appels WhatsApp.

Alors plus aucune hésitation, partez profiter de vos vacances et déconnecter !

 178 Rte des Bords de Sèvre, 79510 Coulon
Site : https://www.camping-laveniseverte.fr/

Contact Presse
Alice Delacroix-Verchet
Tel : +33 9 52 93 08 31
alice@edissio.com

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Barbizon

Barbizon, un village où art & nature se conjuguent en toute harmonie.
Retrouver les bienfaits de « l’ARBRE » à la fois sur le corps et l’esprit, c’est ici, à Barbizon que toute sera possible en ce beau week-end de mai.

À une heure de Paris, osez « parcourir l’arbre ».
Georges Feterman, présidente de l’association éponyme vous invite à un rendez-vous insolite. Rendez-vous avec la nature, les arbres, les impressionnistes qui ont laissé une trace indélébile, les plantes et la biodiversité.
Des ateliers, des conférences, des balades dans cet écrin qu’est la forêt de Fontainebleau, osez « parcourir l’arbre » comme l’a écrit Andrée Chedid.

Deux conférences
Hugues Peuvergne auteur de « Cabanes de jardin » parlera des constructions de cabanes dans les arbres, samedi après-midi. Il est aussi auteur de Carnet de travail d’un jardinier paysagiste.
Dimanche après-midi Georges Feterman, professeur agrégé de sciences naturelles, donnera une conférence suivie d’un débat après projection d’un documentaire : Arbres et forêts remarquables et un univers à explorer, co-écrit avec Jean-Pierre Duval.

Des expos
Incontournables dans la ville des peintres, des ateliers, des animations et la présence du libraire Michel de Fontainebleau proposera un choix éclectique d’ouvrages.
Et partout dans la ville ateliers, expos, jardins, pépiniéristes, producteurs. Tout pour réjouir les amateurs d’art et de nature.

Mairie de Barbizon
13 Grande-Rue. 77630
+33 160 664 193

Commissaire de Barbizon, Fêtes des parcs et jardins :
Isabelle Olier
+33 629 138 512
Isabelle.olier-parcsetjardins@barbizon.fr

Contacts presse
Amand Berteigne
+33 684 288 065
amand.berteigne@orange.fr